Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Transformer le tableau périodique des éléments de Mendeleïev en une expérience interactive et ludique au sein du Pass, le parc d’aventure scientifique installé à Frameries, c’est le pari un peu fou mais réussi d’Hovertone, l’agence de Design montoise. Un exemple parmi d’autres des réalisations de la jeune entreprise qui, petit à petit, se fait une place dans l’univers du design interactif.

Hovertone, l’humain au cœur du design interactif

Crée en 2015, Hovertone est une agence de design qui propose de faire vivre des expériences immersives et interactives grâce au recours aux nouvelles technologies. Installée dans les bâtiments de Maison du Design, à Mons, la start-up née dans les couloirs de l’UMONS développe des outils qui permettent notamment aux visiteurs de musées de plonger dans une expérience participative et de devenir des acteurs de leur visite. “Nous plaçons l’humain au centre des projets que nous créons. Nous réfléchissons en permanence à créer de nouvelles interactions entre les personnes, leur environnement et les objets qui les entourent. Et, en devenant acteur d’une expérience, on retient beaucoup mieux le message”, explique Joëlle TILMANNE, co-fondatrice d’Hovertone aux côtés de Nicolas D’ALESSANDRO.

2017: Le tournant, le chant des
machines

Avoir des idées et des projets, c’est bien. Les concrétiser et surtout démontrer concrètement ses compétences, c’est encore mieux. Et c’est ce qui s’est produit avec “Le Chant des Machines” au Pass, à Frameries. Une structure monumentale en bois installée dans l’ancienne salle des machines du charbonnage et qui offre aux visiteurs une expérience tactile unique. Une première réalisation majeure pour la start-up montoise qui a changé ses rapports avec ses futurs clients potentiels. “Il était important pour nous de pouvoir faire vivre l’expérience car, bien souvent, c’est assez difficile pour les gens de se rendre compte de ce qu’on peut faire grâce aux nouvelles technologies. Ici, avec le Chant des Machines, nos idées, nos techniques, notre créativité ont pu prendre forme et ça nous a ouvert de nouvelles portes”, explique Joëlle TILMANNE.

Pas la technologie pour la technologie

Si les nouvelles technologies sont évidemment au cœur des projets d’Hovertone, l’équipe créative n’en fait pas une obsession et surtout, les technologies employées se mettent au service du projet. Souvent de manière discrète, voire même, parfois, invisible. L’élément central est surtout l’humain, l’utilisateur et la ou les technologie(s) employées doivent se mettre à son service. “Notre objectif, c’est l’expérience de l’utilisateur”, détaille la co-fondatrice d’Hovertone. “Nous souhaitons faire vivre des émotions aux visiteurs et ce, grâce aux nouvelles technologies. Cela passe notamment par la création de nouveaux outils, de nouvelles interactions. Aujourd’hui, le visiteur d’une exposition doit être un acteur de ce qu’il voit. Sa visite doit être active et les outils que nous développons y contribuent”.

Hovertone, l’humain au cœur du design interactif

Et, depuis décembre 2015, date de création de l’entreprise, le projet Hovertone a bien grandi. Les deux fondateurs ont été rejoints par deux nouveaux associés, un motion designer et une scénographe, et les projets se sont multipliés. Pass, Cité des Sciences et Musée de l’Homme, à Paris, expo Niki de Saint-Phalle au BAM ou encore, bientôt, Euro Space Center où Hovertone va installer un mur interactif de 11 m de long. Un projet développé depuis plusieurs mois et qui prendra vie lors de la réouverture du site, en juin prochain. Et, si les musées sont, aujourd’hui, les clients principaux de la PME montoise, ils ne sont pas les seules cibles de l’agence. “Nous avons déjà eu des projets avec des entreprises; par exemple, avec L’Oréal. Lorsque, sur un salon, une entreprise veut communiquer efficacement avec les visiteurs, proposer une expérience immersive peut être une solution”, explique Joëlle TILMANNE.

A la recherche d’un nouvel
hébergement

Si l’équipe s’est agrandie et que les projets se multiplient, l’enjeu, pour demain, est d’assurer la diversification avec un accent mis, notamment, sur le marketing et la communication des entreprises. Un domaine où les débouchés sont particulièrement nombreux et où Hovertone a clairement une carte à jouer. Un développement de la start-up qui devra se faire en dehors de Maison du Design. “Nous arrivons à la fin de notre période d’hébergement, ici, et nous cherchons donc un nouvel espace. Un lieu suffisamment grand pour accompagner notre développement où nous pourrions aussi tester nos créations. Ce qui n’est pas toujours possible à la Maison du Design” explique Joëlle TILMANNE. Et après 4 ans d’aventure, l’équipe d’Hovertone a un seul regret, comme le confie Florent SCHIRRER, le motion designer: “Nous n’avons pas le temps de nous amuser suffisamment avec nos créations…”.

Aurélien LAURENT

Rencontre avec Candice DE RIJCKE qui, depuis 2 ans, a lancé son activité de joaillerie. Un retour vers la création pour cette architecte d’intérieur de formation qui n’avait jamais vraiment abandonné l’idée de faire de sa passion son activité professionnelle principale.

C’est à l’ombre de son moulin, à Lessines, habitation familiale insolite, que Candice DE RIJCKE a installé son atelier. C’est là qu’elle imagine, conçoit et produit ses collections de bijoux. Une reconversion professionnelle qui est apparue comme une évidence pour cette architecte d’intérieur passée par le commercial. “J’ai travaillé 12 ans comme architecte d’intérieur et ensuite, 8 ans comme déléguée commerciale d’une marque d’ameublement”, explique la joaillière.

Mais, lassée de passer une grande partie de sa vie sur la route, elle avait en charge le marché du BENELUX, Candice DE RIJCKE a décidé de réorienter sa carrière et de revenir vers l’univers de la création. “Peu après la fin de mes études, en 2003, j’ai suivi une formation en joaillerie à Bruxelles. Mais c’était, avant tout, un hobby, une passion, rien de plus”.

Mais une fois la décision prise de réorienter son parcours, Candice n’a pas réfléchi longtemps avant de savoir quelle voie emprunter. “Je voulais me rapprocher de ma famille, passer plus de temps avec mes enfants, ce qui n’était pas possible avec mon ancien job et revenir aussi à la création” se souvient sans regret la joaillière. Candice a alors repris 3 ans de formation en joaillerie, en cours du soir, à Anvers à la TNA. Une formation qui a lui permis également de se créer un réseau de fournisseurs.

En juin 2016, Candice DE RIJCKE a donc rejoint une couveuse d’entreprise, la SACE, avant, en janvier 2018, de voler de ses propres en ailes en franchissant une étape indispensable pour chaque joaillier. “Avant de confectionner ses propres bijoux, chaque joaillier doit disposer de son poinçon de maitre. C’est, en quelque sorte, sa signature. Une marque de fabrique délivrée par la Monnaie Royale de Belgique”. Poinçon en main, Candice a alors pu lancer ses premières collections. “Des collections composées de pièces en argent, en vermeil (argent plaqué or) et, éventuellement, serties de pierres semi-précieuses. Je réalise également, mais sur commande, tout ce qui est bijoux en or comme des alliances par exemple”, détaille la créatrice.

Des créations que Candice DE RIJCKE vend via son web-shop mais aussi par l’intermédiaire de 4 boutiques partenaires à Bruxelles, Anvers et Gand. Et, en parallèle, la créatrice lessinoise est également présente sur des salons. Des événements qui contribuent plus à renforcer sa notoriété que ses ventes, mais qui restent, néanmoins, indispensables afin de développer la visibilité de ses collections. Et après 2 ans d’activité, le défi, aujourd’hui, est d’étendre son réseau de vente: “J’espère trouver de nouvelles boutiques où vendre mes créations, notamment dans le nord de la France mais aussi à Liège. J’ai également rempli un dossier afin de participer à des pop-up stores à Lille, Courtrai et Tournai dans le cadre de Lille 2020, capitale mondiale du Design”. Des points de vente indispensables au modèle économique de Candice DE RIJCKE car, en tant que créatrice indépendante, avoir son propre magasin serait particulièrement difficile. “Je suis un peu au four et au moulin”, explique la créatrice. “Créer mes bijoux et tenir une boutique, c’est difficilement conciliable”.

Coté style, l’univers de Candice DE RIJCKE est lié à son parcours et, en particulier, à celui d’architecte d’intérieur avec une grande sobriété dans ses créations. “J’essaie de faire des bijoux assez intemporels, épurés et qui ne seront pas vite démodés. C’est aussi pour ça que je travaille avec des métaux précieux, comme ça, le jour où un bijou ne plait plus, on peut toujours le refondre”. Avec le secret espoir, pour Candice, que ses créations se transmettent de génération en génération.

Si le nouveau métier de Candice est ancestral, en 2020, difficile de se passer d’une pointe de modernité. Notamment en termes de communication. En plus de son site internet, la joaillière est donc présente sur les réseaux sociaux. Une facette de son activité dont elle avait peut-être sous-estimé l’importance est surtout le temps à y consacrer. “Aujourd’hui, quand je rencontre le responsable d’une boutique, la première chose qu’il me demande c’est si j’ai un compte Instagram et combien de followers me suivent. Et donc, c’est important de développer ça mais ça prend du temps et de l’argent”. Candice DE RIJCKE peut, dans ce domaine, profiter du programme Progress d’Hainaut Développement, via un accompagnement dans le domaine de la communication du marketing.

Et au moment de jeter un œil dans le rétroviseur, Candice DE RIJCKE n’a aucun regret. Heureuse même d’avoir complètement réorienté sa carrière. Un choix de vie audacieux, non dénué de risques mais qu’elle assume avec plaisir. Fière aussi du chemin parcouru et enthousiaste face aux défis de demain.

Aurélien LAURENT

Le 9 mai – Journée de l’Europe – Tous ensemble pour la solidarité

Ce samedi, le 9 mai, nous commémorons le 70e anniversaire de la déclaration Schuman. Cette déclaration a été le début d’une Union européenne, calquée sur les valeurs de la paix, de la solidarité et de la démocratie. Afin d’honorer ce travail de plusieurs générations d’Européen(ne)s motivé(e)s par ses valeurs, et de transmettre ces dernières à nos jeunes, on vous invite à rejoindre notre mosaïque européenne.

Comment?

  • Vous téléchargez un dessin d’une étoile européenne – ou vous faites vous-même votre dessin d’étoile – et vous le travaillez à votre guise, en utilisant la technique de votre choix.
  • Vous dédiez votre étoile à une cause ou à une personne.
  • Vous partagez votre œuvre en la mettant en ligne. Attention: les mineurs d’âge devront demander le consentement d’un parent ou d’un(e) autre représentant(e) légal(e) pour la mise en ligne, afin de respecter la législation en matière de traitement des données personnelles.

 

Votre dessin fera partie d’une mosaïque collective reproduisant le drapeau européen.

Vous pouvez participer tout au long du mois de mai.

 

Avec les étoiles comme repères, soyons plus solidaires!

 

Ce projet de mosaïque européenne est organisé par la Représentation de la Commission européenne en Belgique avec l’aide des Centres d’Information Europe Direct.

Retrouve toute l’actualité européenne en Belgique sur www.eu4be.eu

 

Le 9 mai, c’est la Journée de l’Europe. Cette année, suite à la crise du Coronavirus, les institutions européennes n’organiseront pas leur traditionnelle journée portes ouvertes, qui drainait pourtant des milliers de visiteurs.

Coloriage « A la recherche des 12 étoiles du drapeau européen »

Voici un petit jeu qui permettra malgré tout à vos enfants ou vos élèves de connaître les différentes institutions européennes avec ce coloriage.

Comment cela fonctionne-t-il?

    1. Téléchargez le tableau de coloriage européen
    2. Imprimez la feuille de coloriage
    3. Trouvez les 12 étoiles
    4. A l’aide de vos crayons, coloriez l’Europe

 

 

 

 

 

 

 

 

Creative unitePlateforme Creative Unite

Dans le cadre de la crise sanitaire du Covid-19, une nouvelle plateforme européenne a été lancée ce 5 mai 2020, dont l’objectif est d’aider les artistes et professionnels des secteurs culturels et créatifs à partager des idées, des initiatives, des bonnes pratiques.

CREATIVE UNITE est organisée par secteurs (audiovisuel, musique, etc), par actions (financement, bonnes pratiques, initiatives, etc) et par régions (Europe ou international).

“We want to gather in one place all initiatives/ information related to the CCI sector in the EU with respect to response to the COVID crisis.”

https://creativesunite.eu/

 

 

Comme vous le savez[1], pour tout marché supérieur à 30 000€, le pouvoir adjudicateur doit obligatoirement vérifier que vous ne rencontrez pas un motif d’exclusion prévu par la Loi. Auquel cas votre demande de participation/offre ne pourra pas être sélectionnée et analysée par le PA.

Parmi ces motifs figure l’existence de dettes sociales et fiscales.

Pour procéder à cette vérification, le pouvoir adjudicateur consulte une base de données centralisée (DIGIFLOW/TELEMARC) pour obtenir une attestation de l’ONSS indiquant votre situation au regard des cotisations sociales. Si vous présentez une dette, vous pourrez être exclu de la procédure de marché public à laquelle vous aurez participé.

Au vu de la crise sanitaire liée au COVID-19, les autorités fédérales ont offert la possibilité aux entreprises de solliciter un report de paiement des sommes[2] dues à l’ONSS, jusqu’au 15 décembre 2020.

Quel est l’impact de cette décision sur les motifs d’exclusion? Si vous participez à un marché public, ces cotisations sociales (et autres sommes) ne risquent-elles pas d’être reprises comme dettes sociales dans les attestations qui sont obtenues par les pouvoirs adjudicateurs?

Interrogé par la Chancellerie du Premier Ministre, l’ONSS a répondu par la négative et précise que les attestations qui sont établies tiennent compte de ces reports d’échéances[3].

 

Si votre entreprise bénéficie du report tel que proposé par le gouvernement, cela ne constitue donc pas un élément potentiellement bloquant pour votre accès aux marchés publics. Bien entendu, cela ne couvre pas les dettes éventuelles que vous auriez contractées auprès de l’ONSS avant la date du report.

 

[1] Voir fiche technique « sélection qualitative » disponible sous: https://www.marchespublics-pme.be/outils-pratiques/les-motifs-dexclusion-et-la-selection-qualitative/

[2] Quelles sont les sommes qui sont inclues dans ce report d’échéance?

  • Les soldes dus sur les cotisations déclarées aux 1er et 2e trimestres 2020
  • Les soldes dus sur la cotisation vacances annuelles exercice 2019
  • Les rectifications de cotisations à payer
  • Les mensualités attendues sur les plans de paiements amiables

[3] https://onss.fgov.be/fr/employeurs-et-onss/mesures-coronavirus/report-de-paiement-des-sommes-dues-l-onss.

Pas d’informations à ce jour sur le sort des dettes fiscales.

Toute l’info sur les Marchés Publics sur notre site: https://www.marchespublics-pme.be/

Les entreprises qui rencontrent des difficultés financières suite à la propagation du coronavirus peuvent demander des mesures de soutien au SPF Finances.

Ces mesures de soutien doivent donner de la marge de manœuvre financière afin de permettre aux redevables de surmonter leurs difficultés financières passagères.

Voici les mesures de soutien TVA dans ce cadre.

Télécharger au format pdf(Source Deloitte)

 

 

 

 

 

 

 

Dans le cadre de Digital Wallonia, le Ministre de l’Economie et du Numérique du Gouvernement wallon a chargé le SNI (Syndicat neutre pour Indépendants), en partenariat avec l’AdN, d’offrir aux commerçants wallons la possibilité de se former en ligne gratuitement à l’usage des réseaux sociaux et de l’e-commerce pour maintenir une activité économique en ces temps de confinement. Pour ce faire, il invite tous les commerçants sur la plateforme e-Learning du projet “Digital Commerce”: www.formationdigitalcommerce.be

Plus que jamais, un profil Google My Business bien documenté, un site web ou encore une page professionnelle sur Facebook, Instagram, permettent de maintenir un lien fort avec sa clientèle et d’être visible par rapport aux recherches effectuées par les internautes afin de ne rater aucune vente.

Cette crise est donc aussi un signal d’alarme pour rappeler que le marketing digital est un corollaire indispensable à toute activité commerciale. L’émergence de ces nouveaux services sera, on l’espère, l’occasion pour les petits commerçants de franchir un saut technologique en matière de vente en ligne.

Conscient des difficultés rencontrées par les opérateurs économiques du fait des mesures de confinement imposées par le Conseil national de Sécurité, le Gouvernement Wallon a adopté une circulaire relative aux conséquences des mesures sanitaires liées au Covid-19 sur les marchés publics wallons.

 

Cette circulaire commence par rappeler que les situations rencontrées doivent être analysées au cas par cas en tenant compte de la particularité de chaque marché et de la continuité du service public.

Elle reprend ensuite une série de recommandations (cette circulaire n’a pas force de Loi et ne peut donc pas être coercitive) à l’attention des pouvoirs adjudicateurs wallons.

En synthèse:

Passation des marchés publics

  • Marchés publiés pour lesquels les invitations à remettre une offre ont été envoyées: il est conseillé de postposer la date de remise des offres, au-delà du 20 avril 2020, via un avis rectificatif.
  • Marchés en cours d’analyse: il est recommandé de solliciter de la part des soumissionnaires des prolongations des délais de validité d’une durée minimale d’un mois.
  • Marchés notifiés mais pour lesquels l’ordre de commencer ou la commande n’a pas encore été donné(e): il est recommandé de le ou la postposer. Dans ce cas, il s’impose de se concerter avec l’adjudicataire pour la fixation du démarrage de l’exécution.

Exécution des marchés publics

Il peut exister trois situations.

1. Soit la poursuite de l’exécution du marché est possible mais des retards sont constatés

Il est recommandé aux Pouvoirs Adjudicateurs:

  • D’aménager les délais d’exécution

Soit d’initiative, soit à la demande de l’adjudicataire (voir pour ce faire note technique « circonstances exceptionnelles Covid-19 »)

  • De régler la question des amendes pour retard

Recommandation:

  • Ne pas appliquer les amendes pour retard si ce retard est justifié par les mesures sanitaires prises par le Conseil national de sécurité.

De même, pour les amendes déjà appliquées, l’adjudicataire peut en obtenir la remise totale ou partielle s’il peut prouver que le retard est dû en tout ou en partie à des « circonstances imprévisibles » (telles que les mesures sanitaires prises contre le coronavirus).

  1. Soit la poursuite de l’exécution est impossible ou tellement compliquée qu’elle ne peut être envisagée sans coûts exorbitants

Recommandations:

  • Ordonner la suspension du marché, de préférence de commun accord avec l’adjudicataire.
  • Aménager les modalités de suspension juridiquement adéquates en cas de demandes faites en ce sens par un adjudicataire (si ces circonstances sont liées à la crise sanitaire).
  1. Soit la poursuite de l’exécution du marché est absolument impossible

Recommandation:

  • Envisager la résiliation du marché, de préférence par voie amiable, chaque partie renonçant à l’exécution totale ou partielle du marché et réglant les conséquences de cette résiliation.

Paiement des marchés publics

Le ministre recommande à chaque pouvoir adjudicateur wallon de tout mettre en œuvre pour assurer la vérification des déclarations de créance et le paiement des factures dans les délais réglementaires.

Sortie de la crise sanitaire

La circulaire prévoit également la situation à la sortie de la crise, et invite les pouvoirs adjudicateurs wallons à préparer une relance concertée des activités liées aux marchés publics (timing de publication des avis de marché et des notifications, ordre de démarrer l’exécution).

 

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