Créée en février 2018, l’asbl montoise Holy-wood donne une seconde vie au bois récupéré principalement au sein de la Communauté Emmaüs de Ghlin. Cette menuiserie solidaire récupère, trie et réalise du mobilier sur-mesure ou en petite série. Un projet à la fois éco-responsable, local et socialement engagé.
C’est au départ de son expérience au sein de la Communauté Emmaüs de Ghlin que Bertrand MERCKX a eu l’idée du projet Holy-wood. “Chaque année, Emmaüs se retrouve avec 50 tonnes de bois inutilisables et invendables, principalement du mobilier. Des meubles soit abimés, soit qui ne correspondent plus aux goûts ou besoins actuels”, explique Bertrand MERCKX, le coordinateur d’Holy-wood. Un stock dont Emmaüs ne sait donc rien faire et qui coûte 5 000 euros par an à l’association. L’idée est donc née de la disponibilité de ce bois et de la volonté de le valoriser.
Un projet basé sur des valeurs
Avec 5 autres partenaires, liés par les mêmes valeurs, Bertrand MERCKX a donc lancé l’aventure Holy-wood avec, comme triple caractéristique, d’en faire un projet social, écologique et viable économiquement. Et, plus d’un an après son lancement, l’asbl a déjà fait ses preuves via de nombreuses réalisations. Des meubles design, uniques et principalement issus de commandes. Et, pour accompagner le développement de son bébé, Bertrand MERCKX y consacre la totalité de son temps avec plusieurs casquettes: la coordination, la gestion commerciale, la communication, la relation avec les clients, etc. Et pour développer les projets, il est épaulé par un designer et un menuisier.
Des meubles, mais pas seulement
Aujourd’hui, grâce à l’expérience accumulée depuis plus d’un an, l’asbl peut proposer un large éventail d’aménagements. De la simple table à la conception d’un ensemble de meubles design. “On travail sur du sur-mesure, donc nous sommes capables de nous adapter à quasiment toutes les demandes, que ce soit pour des particuliers ou des entreprises”, explique Bertrand MERCKX. Et, si l’asbl n’a pas de profil de client type, celles et ceux, privés ou professionnels qui les sollicitent recherchent souvent l’originalité, mais se retrouvent aussi dans la philosophie du projet. “Nous avons réussi à créer une âme à notre projet. Avec un véritable ancrage social. Et, cet aspect là joue aussi auprès de nos clients. La plupart d’entre eux recherchent plus qu’un meuble design. Notre philosophie les intéresse aussi”, s’enthousiasme le responsable d’Holy-wood. Une démarche originale qui rencontre un succès grandissant et qui est bien dans l’air du temps y compris dans le secteur de l’ameublement. “Les gens font de plus en plus attention à ce qu’ils mangent, aux produits, à leurs origines. Une démarque qui commence à concerner d’autres domaines y compris le nôtre. Et c’est là qu’Holy-wood à toute sa place”.
Qui dit meuble design dit aussi budget conséquent. Car, si le bois est issu d’une filière de récupération, le travail à effectuer n’en reste pas moins important. De la sélection dans le stock jusqu’à l’assemblage final du meuble, le bois transite par une multitude d’étapes. Mais, si Holy-wood propose du sur-mesure, l’ambition reste de proposer des tarifs concurrentiels. “Nous sommes dans une gamme de prix tout à fait concurrentielle par rapport à du mobilier design conçu en dehors de la Belgique. Et nos clients viennent aussi chercher plus qu’un meuble”, insiste Bertrand MERCKX. D’autant qu’avec son équipe pluridisciplinaire, architecte, designer, menuisier, Holy-wood est capable de mener à bien des projets complets d’aménagement sur-mesure. Un processus créatif que l’asbl gère de A à Z. De la collecte des matières premières jusqu’à la réception des travaux.
Et pour rendre leur production encore plus accessible, les membres d’Holy-wood planchent sur plusieurs projets comme des productions en petites séries afin d’abaisser les coûts ou encore de jouer le rôle de fournisseur de bois, libre alors au client de l’exploiter selon ses besoins. “Certains projets ne nécessitent pas notre expertise”, explique-t-il. “Un designer n’est, par exemple, pas indispensable pour des réalisations simples. Nous pourrions donc imaginer, à terme, fournir uniquement le bois dont le client a besoin, libre ensuite à lui de solliciter le menuisier de son choix afin d’assembler le meuble”.
Renforcer le lien social
Afin de renforcer le caractère social du projet, l’asbl Holy-wood ne manque pas d’idées. Ainsi, Bertrand MERCKX envisage d’adjoindre au projet un volet réinsertion professionnelle. “Si la fibre sociale fait partie de l’âme d’Holy-wood, ne fut-ce que via notre lien avec Emmaüs, j’aimerais à terme que le projet offre aussi des possibilités de réinsertion socio-professionnelle”, explique-t-il. La boucle serait, en quelque sorte, bouclée. Le bois ne serait plus le seul à se voir offrir une seconde vie.
Aurélien LAURENT
cloud – data analytics – big data – automatisation – robotisation – AI – machine learning – digital modeling – digital twin – hardware embedded systems – cybersécurité – réalité augmentée – réalité virtuelle – IoT – web app – infrastructures intelligentes – traçabilité – supply chain digitalisée – supply chain durable – connectivité – multimodalité – optimisation – performance logistique – blockchain – change management – industrie 4.0 …
♦ Moyens de transport intelligents et efficaces
♦ Infrastructures et systèmes de transport intelligents
♦ Processus logistiques et de production efficaces
entrée en vigueur au 1er janvier 2020
Les « Quick fixes » – les mesures votées par le Conseil européen afin de ‘simplifier’ le régime intracommunautaire
Le Conseil européen a formellement approuvé les propositions relatives à 4 ‘quick fixes’ qui lui avaient été soumises par la Commission européenne. Ces mesures exigeront davantage de rigueur des opérateurs impliqués dans des transactions intracommunautaires, notamment, dans le cadre de l’application de l’exemption en matière de livraison intracommunautaire de biens.
Les « quick fixes » dont question ci-avant portent sur :
- L’ajout de 2 conditions supplémentaires à l’exemption en matière de livraison intracommunautaire de biens ;
- La simplification en matière de transactions en chaine ;
- La simplification en matière de preuves de transport dans le cadre de l’application de l’exemption relative à la livraison intracommunautaire de biens ;
- L’harmonisation du régime simplifié à l’égard des biens vendus dans le cadre d’un contrat de vente en consignation.
Ces différentes modifications vous sont sommairement commentées ci-après.
Quick-fix n° 1 : l’ajout de conditions supplémentaires à l’exemption en matière de livraison intracommunautaire de biens
Suivant les règles actuelles, la détention d’un numéro de TVA valide du client est une condition formelle et non matérielle de l’exemption en matière de livraison intracommunautaire de biens, puisque cette obligation n’est pas textuellement reprise dans la loi. En effet, celle-ci fait référence aux termes « assujetti agissant en tant que tel ». La Cour de Justice de l’Union européenne a d’ailleurs jugé à maintes reprises que l’on ne saurait refuser l’exemption dans le chef du vendeur au seul motif que l’acquéreur des biens n’a pas communiqué de numéro de TVA.
Sous l’empire de la nouvelle règlementation, l’obtention d’un numéro de TVA du client devient une condition matérielle pour pouvoir exonérer de TVA la livraison intracommunautaire de biens. De plus, l’exemption sera également subordonnée à la condition que le vendeur ait renseigné le client dans son relevé des opérations intracommunautaires de biens.
Quick-fix n° 2 : la simplification en matière de transactions en chaîne
Dans le cadre d’une transaction en chaîne intracommunautaire impliquant le transfert successif de propriété de biens entre plusieurs opérateurs, le transport intracommunautaire ne peut être alloué qu’à une seule transaction de la chaîne. Seule cette vente est susceptible de bénéficier de l’exemption relative à la livraison intracommunautaire de biens. Les autres transactions s’analysent généralement comme des transactions locales. En pratique, l’allocation du transport à l’une ou l’autre transaction pose souvent problème.
Sous l’empire de la nouvelle règlementation, le postulat de base est de considérer que la livraison intracommunautaire de biens intervient dans la relation avec l’opérateur/assujetti chargé d’organiser le transport et auquel les biens sont livrés. A titre d’exemple, si l’opérateur ‘C’, de la transaction en chaîne impliquant 4 opérateurs (i.e. A,B,C,D), est chargé de l’organisation du transport, le transport sera, en règle, alloué à la transaction ‘B-C’, une vente susceptible de bénéficier de l’exemption relative à la livraison intracommunautaire de biens, à condition toutefois que ‘C’ communique à ‘B’ un numéro de TVA attribué par un Etat membre autre que celui de départ du transport.
Cependant, les nouvelles règles précisent aussi que le transport doit être alloué à la vente faite par l’opérateur/assujetti qui est chargé du transport et auquel les biens sont livrés, lorsque ce dernier communique à son vendeur un numéro de TVA ayant été attribué par l’Etat membre de départ du transport. Ainsi, dans l’exemple énoncé ci-avant, le transport sera alloué à la vente ‘C-D’ dans l’hypothèse où ‘C’ communiquerait à ‘B’ un numéro de TVA attribué par l’Etat membre ‘B’ (i.e. Etat membre de départ du transport).
Quick-fix n° 3 : la simplification en matière de preuves de transport dans le cadre de l’application de l’exemption relative à la livraison intracommunautaire de biens
Afin de pouvoir légitimement invoquer l’exemption relative à la livraison intracommunautaire de biens, le vendeur doit pouvoir apporter la preuve irréfutable que les biens aient été expédiés à destination d’un autre Etat membre. Actuellement, l’approche divergente des Etats membres à l’égard de la nature de la preuve à apporter fait naître une situation d’incertitude pour les opérateurs impliqués dans le commerce intracommunautaire.
Sous l’empire de la nouvelle règlementation, il existe une présomption réfragable de l’existence du transport physique des biens, lorsque le vendeur est en mesure de produire deux preuves, délivrés par deux parties différentes qui sont indépendantes l’une de l’autre, du vendeur et de l’acquéreur. La nature des preuves est désormais fixée par la loi, et comprennent, le document CMR, le connaissement, la facture de transport, la preuve de paiement, ….
Quick-fix n° 4 : l’harmonisation du régime simplifié à l’égard des biens vendus dans le cadre d’un contrat de vente en consignation
Dans le cadre d’un contrat de vente en consignation, le fournisseur expédie les biens à destination de l’acheteur qui s’en porte acquéreur au fur et mesure des ventes réalisées. Ainsi, le transfert de propriété le fournisseur et l’acheteur n’intervient qu’au moment où la vente à lieu entre l’acheteur et son client.
Suivant les règles actuelles, le transfert des biens par le fournisseur vers son client établi dans un autre Etat membre entraîne des obligations déclaratives dans son chef tant dans l’Etat membre de départ que dans l’Etat membre d’arrivée des biens.
Certains Etats membres avaient déjà prévu des régimes de simplification pour ce type d’opération mais les modalités de ceux-ci différent d’un Etat membre à l’autre, lesquelles n’étaient pas toujours compatibles.
Sous l’empire de la nouvelle règlementation, l’envoi des marchandises par le vendeur vers son client qui est établi dans un autre Etat membre, n’entraînerai plus d’obligations déclaratives ni dans l’Etat membre de départ ni dans celui de l’arrivée. En effet, au regard de la TVA, la livraison intracommunautaire interviendra au moment où le client prélèvera le bien de son stock. Ce régime de simplification harmonisé obéit à plusieurs conditions et, en outre, impose la tenue de registres spécifiques dans lequel il conviendra de renseigner précisément les biens envoyés dans le cadre du régime simplifié.
La 20e édition du Salon de l’alimentation fine TAVOLA, se tiendra les dimanche 15, lundi 16 et mardi 17 mars 2020, sur le site de Kortrijk Xpo.
Dans le cadre du projet “Filière AD-T” – Développement d’une Filière agroalimentaire durable transfrontalière – Hainaut Développement et ses partenaires vous proposent, à nouveau, de rejoindre le Village gourmet franco-belge, regroupant des entreprises françaises et belges, lors du salon TAVOLA, à Courtrai, le rendez-vous incontournable des professionnels de l’alimentation fine et des produits frais en Belgique.
Le Village gourmet franco-belge, d’une superficie de 320 m², comprendra 22 modules pré-équipés, dont cinq réservés aux entreprises hainuyères.
Pour la seconde édition, nous vous proposons un concept tout compris, à savoir, pour votre entreprise:
un stand pré-équipé à coût réduit, avec accès à une réserve commune;
un espace commun d’information avec des tables de discussion;
une présence dans le catalogue du salon et dans un catalogue spécifique au Village gourmet.
Il s’agit d’une véritable opportunité de développer votre activité à des conditions particulièrement intéressantes grâce au soutien du Fonds européen de Développement régional, de la Région wallonne, de la Province de Flandre occidentale et des opérateurs partenaires organisateurs du Village.
Découvrez notre offre détaillée ICI
Le nombre d’emplacements étant inévitablement limité, en cas d’intérêt, veuillez compléter et renvoyer le coupon-réponse, ci-joint, dans les plus brefs délais et, au plus tard, pour le vendredi 18 octobre 2019 à: Laurie DILBECK – Hainaut Développement – à l’adresse e-mail suivante: laurie.dilbeck@hainaut.be ou par fax: +32 65 342 600.
9 octobre 2019
Je m’envole à l’international, vive le digital!
- Pourquoi communiquer à l’international est primordial
- La plus-value de la communication & des réseaux sociaux en B2B et B2C
Contenu du séminaire?
Vous êtes une start-up ou une PME qui vend ou aimerait vendre à l’international?
Apprenez à identifier vos prospects et vos partenaires, diffuser de l’information ciblée, converser dans un contexte international, travailler votre image de marque ou encore finaliser vos ventes grâce aux outils que sont les réseaux sociaux, les blogs et les techniques d’inbound marketing. En deux heures, découvrez des stratégies internationales performantes mises en place par l’expert invité,Marc-Alexandre Legrain.
Programme?
De 17h30 à 18h00 – Verre d’accueil
De 18h00 à 20h00 – Intervention de Marc-Alexandre Legrain – Q&A
A partir de 20h00 – Apero dinatoire & networking
* La participation est gratuite. En cas d’annulation moins de 24h à l’avance, un montant de 20 euros vous sera facturé.
Pour toute question, merci de vous adresser à communication@capinnove.be
S’inscrireVous êtes éleveur et vous avez mis en place des “trucs et astuces” pour simplifier votre travail dans votre élevage.
Alors partagez-les en participant au concours organisé par le CRA-W et remportez un chèque détente ainsi que la cotisation pour un an et demi au service de remplacement agricole ainsi que des heures de prestations pour pouvoir bénéficier du chèque détente.
Vous trouverez toutes les informations en suivant le lien http://www.cra.wallonie.be/fr/3ieme-concours-trucs-et-astuces-en-organisation-du-travail-en-elevage
ou en prenant contact avec Amélie TURLOT (CRA-W) au +32 496 062 734.
En vue de maintenir et de développer sur son territoire une agriculture familiale, productive, innovante et respectueuse de l’environnement, la Province de Hainaut – Hainaut Développement accompagne et encadre les exploitations agricoles hainuyères vers plus de durabilité. Pour répondre au mieux aux attentes et besoins de terrain, Hainaut Développement souhaite concerter ses agriculteurs. Pour ce faire, elle réalise un sondage qui orientera les actions futures.
Le questionnaire ne prend que quelques minutes et restera confidentiel. Si vous souhaitez être recontactés, nous vous remercions de laisser vos coordonnées.
vers le sondage en ligneNous vous remercions pour votre collaboration!
Partez à la découverte de la nature!
2 parcours “Rallye Nature” en Hainaut
A l’aide d’une carte “Rallye Nature”, participez à une chasse aux trésors où vous pourrez observer et admirer la nature, à travers divers jeux et quiz, lors d’une balade pour petits et grands!
Cet outil pédagogique a été créé en collaboration et avec le soutien du projet Tous Eco-Citoyens!, dans le cadre du programme Interreg V France-Wallonie-Vlaanderen. Ce projet réunit 11 partenaires français et belges, dont la Province de Hainaut – Hainaut Développement, et ce, pour une cause commune: la protection de la biodiversité au-delà des frontières.
Découvrez les 2 parcours proposés en Hainaut:
- le “Mystère de la rue du Biez”
Gaspard, le saule têtard, habite la prairie de la rue du Biez à Wadelincourt, un village bucolique en province du Hainaut. Lui qui, d’habitude, est heureux de vivre dans cette belle nature, a beaucoup de chagrin ces derniers temps. Pourquoi me direz-vous? Tout simplement car sa meilleure amie Clara, la Chevêche d’Athéna a disparu. Elle a quitté le nid qu’elle avait fait au creux de Gaspard, un beau matin, et elle n’est plus revenue. Inquiet, Gaspard décide de partir à sa recherche dans le village.Pars avec Gaspard à sa recherche en interrogeant les arbres, les fleurs, les animaux que l’on trouve à Wadelincourt…
Distance du parcours: 2,4 km / Durée: 2h / Terrain plat
Présence ponctuelle d’animaux car éco-pâturage sur le site
Lieu: à 7971 Wadelincourt, dans l’entité de Beloeil (à environ 30 km de Mons)Contact pour se procurer la carte: le Parc naturel des Plaines de l’Escaut – tél: + 32 69 779 810
- l’ “Enquête au marais”
Le hameau de Léaucourt était, autrefois, le siège d’une seigneurie avec une agglomération regroupée autour d’un château, d’un moulin et d’une chapelle (dont il reste un vestige visible à la fin du parcours).
Viens mener l’enquête archéologique avec l’aide de la spécialiste du marais, Harriet, la Gorgebleue. Au fil du parcours, tu découvriras la richesse naturelle de ce site.Distance du parcours: 2 km / Durée: 1h30 /Terrain platLieu: départ de La Maison de Léaucourt, à 7742 Hérinnes (à environ 60 km de Mons et 15 km de Tournai)
Contact pour se procurer la carte: La Maison de Léaucourt – tél: + 32 69 580 613
Activités libres et gratuites.
Contact:
Province de Hainaut – Hainaut Développement
Projet Tous Eco-Citoyens!
Séverine LANDA
Tél.: +32 65 342 587 / +32 493 761 345
Enterprise Europe Network (www.wallonieeurope.be) vous invite à participer au matchmaking organisé lors du:
“RECYCLING AND LIFE CYCLE ASSESSMENT CHALLENGES IN THE AUTOMOTIVE SECTOR”
SEPTEMBER 24TH 2019
On behalf of the consortium of the project Interreg Grande Région, “European Automotive Pole”, TECHNIFUTUR® and the University of Liege invite you to the traditional “AUTOMOTIVE DAY” organized on September 24th in Liege.
A unique day to listen specialized speakers in the automotive and recycling fields, to meet them in a B2B sessions and to visit innovative companies of the area.
Are already attending the event: COMET TRAITEMENT, REVERSE METALLURGY, EIRAVATO, TRAXIO, FEBELAUTO, CRM, CTP, STOLFIG, EPG,…
LOCATION:
BLUEPOINT AGORIA • 191 BD. E. DE LAVELEYE • 4020 LIÈGE
Ne tardez pas à vous inscrire:
Intéressé à participer à la mission AWEX en octobre prochain?
Avec au programme notamment, une journée de B2B à Timisoara organisée avec le partenaire EEN local.
Pour plus d’infos: https://www.wallonieeurope.be/event/walloon-company-mission-to-timisoara-23-oct-2019/
Inscriptions avant le 6 septembre prochain via le formulaire AWEX (suivre le plus d’infos)