À Theux, à 30 minutes de Liège en Belgique, la Ferme biologique de Haute Desnié est un sublime exemple de ce que la permaculture permet d’accomplir. Son potager pédagogique en forme de mandala réunit tout ce que devrait être l’agriculture d’aujourd’hui. Un magnifique équilibre entre l’Homme et la nature.
Jean-Cédric Jacmart a longtemps rêvé d’acquérir un endroit sauvage lui permettant de tourner la page de sa vie citadine pour se consacrer pleinement au maraîchage. Suivant les principes de la permaculture qui prône le respect de l’équilibre des écosystèmes, il a ainsi fondé la Ferme de Haute Desnié. Un lieu créé « pour répondre aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, et en particulier aux enjeux auxquels nos enfants devront faire face demain. »
Son pari ? Créer l’abondance alimentaire sur un sol argileux peu fertile et transformer la ferme en un lieu de formation, d’éducation et de partage.
« Notre démarche est celle de l’action en conscience et celle d’être orienté « solutions ». Nous aimons partager cette citation inspirante de Bill Mollison, le co-fondateur de la permaculture :
« Le choix éthique le plus important est celui de prendre la responsabilité de notre propre existence et de celles de nos enfants ».
Nous savons que la tâche est énorme et que le seul moyen d’y parvenir sera de faire de nouveaux choix personnels et collectifs. À l’instar de la légende du colibri, à la ferme-école en permaculture de Desnié, nous faisons notre part. »
Le domaine abrite des chevaux, un troupeau de moutons rustiques, des ruches, une zone de maraîchage professionnelle biologique en permaculture, un jardin pédagogique en forme de mandala, un verger conservatoire et de nombreux arbres et massifs fruitiers, des mares, des haies, ainsi que des zones dédiées à la contemplation du paysage. Sans oublier une brigade de canards coureurs indiens mangeurs de limaces.
Avant de profiter de vos vacances, venez rencontrer des dizaines de clients potentiels !
Si le développement de vos activités est votre principale responsabilité, vous savez que, pour vendre plus, il est impératif de rencontrer plus de personnes susceptibles d’être intéressées par vos services. Mais où rencontrer ces personnes par définition étrangères à votre sphère immédiate ? Dans quel cadre développer de nouvelles relations de confiance qualitatives et durables ?
Légère, ludique et terriblement efficiente à la fois, la formule a convaincu un cercle toujours plus large d’acteurs, dans le secteur de la production de biens autant que dans celui de la fourniture de services. Jusqu’à devenir le rendez-vous obligé de ceux qui font des échanges avec leurs pairs la clé de leur développement !
Pour mieux percevoir l’intérêt de ces véritables sessions de travail, visionnez sans tarder la vidéo qui reprend différents témoignages de participants :
Ce lundi 2 juillet, dans la magnifique salle de séminaire du Bivouac de l’Empereur au pied du célèbre Lion de Waterloo, nous accueillons des sociétés venant de partout en Belgique et même de France.
Une prospection « clé sur porte » vous est proposée. N’hésitez plus et inscrivez dès à présent.
En vous inscrivant tout de suite, vous pouvez réserver votre place pour l’édition du 2 juillet ou pour celle du 28 août à Namur. Et surtout bloquer ainsi l’exclusivité pour votre secteur. Une réelle opportunité !http://www.discoverymeeting.be/inscription.html
L’APAQ-W (Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité) vient de publier une étude réalisée auprès de 1401 Belges avec le support de la société Dedicated.
elon cette enquête, les consommateurs apprécient les produits issus de l’agriculture de Wallonie pour leur saveur et leur parfum (59%), car ils sont appétissants et sains (58%) et parce que leur origine est précise et identifiable (57%).
62% des personnes interrogées indiquent qu’elles préfèrent les produits en provenance de leur région. Mais où se fournissent-elles ?
79% privilégient les grandes surfaces pour leurs achats alimentaires, devant les commerces de proximité (68%), les marchés traditionnels (54%), les producteurs locaux (39%) ou les magasins bio (29%).
Quand on leur demande ce qui pourrait les pousser à acheter davantage de produits locaux, les sondés réclament une meilleure visibilité dans les magasins (67%), un nombre plus élevé de commerces concernés (67%) et des prix plus accessibles (65%).
Près de 8 Belges sur 10 ne sont par contre pas disposés à parcourir plus de 10 kilomètres pour s’approvisionner en produits locaux.
Menace sur l’avenir
Pour 69% des Belges, agriculteur est un métier pénible à divers égards. Près de ¾ des sondés estiment que les jeunes éprouvent beaucoup de difficultés pour débuter.
Et 51% des personnes qui ont participé à cette étude de l’APAQ-W pensent même que la plupart des enfants d’agriculteurs ne pourront pas reprendre l’exploitation familiale.
Aujourd’hui, plus de 10% des surfaces agricoles wallonnes sont dédiées à la culture biologique.
A Wangenies dans l’entité de Fleurus, Thomas et Hélène Geeraerts, fils et filles d’agriculteurs ont décidé, en parallèle de l’exploitation familiale traditionnelle, de cultiver des légumes bios. En 5 ans, ils sont passés de 40 ares à neuf hectares. Thomas et Hélène font pousser une trentaine de légumes dont des panais, des carottes, différentes variétés de choux ou encore des patates douces qui sont essentiellement vendus à des grossistes ou à des coopératives.
La transition vers le bio n’est pas toujours facile et les consommateurs exigent de plus en plus des légumes aussi beaux que ceux cultivés dans la filière traditionnelle mais le jeune couple d’agriculteurs ne regrette rien :
” Thomas est bio ingénieur. Moi j’ai un Master en gestion mais je suis aussi eco-conseillère, explique Hélène. Nous sommes donc très sensibles à la question de la protection de la terre. Nous voulions nous tourner vers un modèle plus respectueux et plus sain. “
Ces jeunes passionnés sont convaincus que la filière a de l’avenir et misent beaucoup sur la recherche qui permettra, selon eux, de pouvoir mieux lutter contre les maladies et d’améliorer le rendement de la culture biologique.
En Wallonie, 1750 agriculteurs ont comme Thomas et Hélène opté pour le bio. L’objectif du secteur est d’attendre les 2000 producteurs d’ici 2 ans. …
Le potentiel de recyclage de l’acier et de l’aluminium est important. [Shutterstock]
Réutiliser plastique et métal pourrait permettre à l’UE de neutraliser ses émissions d’ici 2050.
Une nouvelle étude de Material Economics estime qu’en augmentant son taux de recyclage, l’UE pourrait réduire ses émissions industrielles de plus de 50 %. Au lieu de se concentrer uniquement sur la décarbonation du volet de l’approvisionnement, qui inclut une énergie plus propre, il est nécessaire de se pencher sur le potentiel du volet de la demande, insistent les auteurs de l’étude.
En réutilisant et en recyclant davantage quatre des matériaux les plus générateurs d’émissions, l’acier, le plastique, l’aluminium et le ciment, l’UE pourrait réduire l’empreinte carbone de son industrie de 56 %, soit l’équivalent d’environ 300 millions de tonnes (mégatonnes) de CO2 par an d’ici la moitié du siècle.
À eux seuls, la réutilisation et le recyclage permettraient de réduire les émissions annuelles de 178 mégatonnes. Des processus plus efficaces et des modèles d’entreprises réformés mèneraient quant à eux à des réductions de 56 et 62 mégatonnes, respectivement.
Selon les estimations, la production de matériaux devrait générer pas moins de 900 milliards de tonnes (gigatonnes) de CO2 d’ici la fin du siècle si la tendance actuelle persiste. Pour amener ce chiffre au volume plus gérable de 600 gigatonnes, il est essentiel de s’appuyer davantage sur l’économie circulaire, estiment les auteurs de l’enquête.
Si celle-ci reconnait qu’il est difficile de rendre le secteur du ciment plus efficace, elle souligne que le potentiel est énorme pour les secteurs de l’acier, de l’aluminium et du plastique, si ces matériaux sont recyclés de manière à préserver leurs qualités.
L’étude indique que 56 % des plastiques pourraient être mécaniquement recyclés et que les processus de conception et de désassemblage en fin de vie doivent changer, afin de rendre le recyclage économiquement viable. Pour l’acier et l’aluminium, le taux de recyclage possible est de 70 et 50 %.
Le renforcement des capacités de recyclage ne sera néanmoins pas possible sans investissement. À long terme, une hausse du prix du carbone serait également utile. Une tonne de carbone vaut actuellement 15 euros dans le cadre de l’ETS, un record depuis sept ans.
spoirs pour 2050
La Commission européenne est justement en train de revoir sa stratégie climatique, qui date de 2011, afin de l’aligner sur l’Accord de Paris.
Les fonctionnaires de l’exécutif auraient déjà été….
Votre entreprise travaille au quotidien avec des substances dangereuses mais offre un environnement de travail sain?
Alors, témoignez de votre bonne gestion en rentrant votre candidature pour le prix des bonnes pratique “Lieux de travail sains”.
Les modèles économiques durables suscitent un intérêt disproportionné par rapport à la taille réelle de l’économie circulaire, c’est évident. “Pourtant, le fait qu’il soit possible de gagner de l’argent avec un modèle circulaire innovant n’est presque plus remis en doute”, assure Aglaia Fischer, Project Manager Circular Finance au sein du Sustainable Finance Lab néerlandais.
“Certes, de nombreuses questions subsistent. Nous ne savons pas suffisamment à quoi ressembleront ces nouveaux modèles économiques circulaires. Techniquement, de nombreux points doivent encore être clarifiés. Comment maintenir plus longtemps des produits en circulation? Comment récupérer les matériaux utilisés dans des produits finis? Et à quel coût? À ce jour, tous les secteurs n’ont pas répondu à ces questions. Loin de là.”
Motifs d’optimisme
Aglaia Fischer entrevoit cependant des raisons d’être optimiste. “Le secteur financier commence à réaliser que les plus grandes opportunités d’investissement résident aujourd’hui dans les modèles durables et circulaires…..
QUELQUES TRUCS À RANGER DANS VOTRE BOITE À OUTILS SI VOUS SOUHAITEZ EXPORTER VOS SERVICES ET/OU VOS PRODUITS EN FRANCE.
Début mai, le BEP a organisé l’atelier « Construisez votre approche du marché français », qui a rassemblé une trentaine d’entreprises du secteur de la construction et des métiers liés. Cet atelier était organisé en collaboration avec l’AWEX, les Clusters CAP 2020 et Eco-construction, la CCW et le réseau EEN. 5 entreprises (Stabilame, Thomas & Piron, Interblocs, Level Architectes et BSolutions) ont témoigné de leur expérience et différents experts ont présenté les opportunités du marché.
Voici un petit résumé des échanges sous forme de trucs et astuces pour ceux qui exportent ou souhaitent exporter sur le marché français.
1 – JOUER SUBTILEMENT DE LA NOTORIÉTÉ BELGE DANS LE SECTEUR
Même si les produits belges gardent la cote et jouissent d’une bonne réputation sur les plans techniques et qualitatifs, il faut de préférence « un Français pour parler aux Français » (c.-à-d. un intermédiaire local – agent, commercial, partenaire, prescripteur, etc.), et rester – sans être péjoratif car cela est apprécié – « le petit Belge » discret mais fiable et compétent.
2 – SE MÉFIER DES « FAUX AMIS » SUR LE PLAN LINGUISTIQUE
La proximité linguistique facilite l’accès au marché, mais sur le plan technique, mieux vaut vérifier que l’on parle exactement de la même chose. Beaucoup de termes sont employés différemment, chaque culture a son jargon et peut générer son lot de quiproquos, voire, moins drôles, d’erreurs dans les devis! (ex : la définition du « bureau d’études », ou de « l’assistance à maîtrise d’ouvrage », le calcul des métrés, etc.).
3 – VÉRIFIER SES RESPONSABILITÉS
L’architecte occupe une position particulière sur le marché français. Son recours n’est pas toujours obligatoire, sa mission nettement définie et les responsabilités davantage reportées sur les corps de métiers, ce qui confère tantôt des avantages, tantôt des inconvénients. Selon le type de construction et de client, mieux vaut bien s’informer et contracter, si possible, les assurances nécessaires pour couvrir les risques.
4 – RESTER PRUDENT
Les relations avec les entreprises ou partenaires français sont rapidement chaleureuses et conviviales, mais il faut rester ferme et prudent dans ses relations, en prenant notamment toutes les garanties pour que la facture soit honorée comme convenu (recourir à l’assurance-crédit, faire payer d’avance, éviter le paiement par chèque – encore d’usage en France, par exemple).
5 – ÊTRE PRÉSENT LOCALEMENT
Un réseau ou partenaire local est très utile, voire indispensable, pour développer le marché et rester informé des appels d’offres, tendances, évolutions des normes (très nombreuses en France!), etc. Cette présence locale peut, selon la stratégie choisie, prendre différentes formes: réseau de partenaires sous-traitants locaux, délégué commercial belge ou français, rachat d’une entreprise locale, contrat/convention de partenariat avec une entreprise française, etc.
VOUS SOUHAITEZ EN SAVOIR PLUS OU ÊTRE CONSEILLÉ(E) DANS VOS DÉMARCHES TRANSFRONTALIÈRES?
L’Union européenne vient d’adopter définitivement son nouveau règlement bio. Il harmonise les pratiques des différents Etats membres et donne de nouvelles garanties pour les consommateurs.
Après 4 ans de négociations, les 28 Etats membres se sont mis d’accord pour adopter les mêmes règles d’encadrement de l’agriculture bio. Retour sur les 7 points principaux.
1. L’homogénéisation des importations
Il n’existe plus désormais de différences réglementaires entre les Etats membres. Les cahiers des charges sont les mêmes quels que soient les produits. Avec des principes clairs. Ainsi, les produits bio européens sont forcément issus de cultures de plein champ. ” Sont ainsi écartés les légumes et fruits produits en hors sol par hydroponie, alors que les USA ont labellisé ce genre de culture ” rappelle Fiona Marty, chargée des affaires européennes à la Fédération nationale de l’agriculture bio (FNAB). Pour les produits tropicaux en revanche, il faudra attendre 2021 que l’Union européenne négocie des cahiers des charges auprès des pays producteurs de café, cacao ou banane. Les autorisations de mise sur le marché de produits phytosanitaires tolérés en bio différent en effet selon les pays et les cultures.
2. Les semences de population autorisées
C’est la fin d’une longue bataille. Les agriculteurs bio peuvent désormais s’échanger les semences issues de leurs terres. Auparavant, seules les variétés possédant un certificat d’obtention végétale (COV) garantissant une production homogène et stable pouvaient être commercialisées. Cette procédure longue et coûteuse excluait les productions à la ferme ainsi que les échanges de variétés rustiques ne faisant pas l’objet de productions à grande échelle. Les agriculteurs bio gagnent donc un droit nouveau qui leur donne cependant un devoir, celui de garantir des semences irréprochables au niveau sanitaire.
3. L’autorisation des groupements de producteurs
Les agriculteurs peuvent désormais se regrouper pour demander en commun une certification en bio. Pour les petits exploitants, c’est une façon de mutualiser les frais administratifs liés à la conversion comme les visites des certificateurs. Cette mesure devrait accélérer le passage au bio notamment dans les pays de l’Est européen où nombre d’exploitations sont restées très familiales.
4. La fin des contrôles annuels
C’est un relâchement que la FNAB regrette. Les contrôles de conformité des exploitations bio se feront tous les deux ans à partir du moment où trois visites de suite n’auront montré aucune faille dans la production. « C’est une garantie de qualité que le consommateur perd » regrette Fiona Marty.
Vu le succès des « Rencontres Internationales de Sculpture Monumentale » à Soignies, le Projet INTERREG V-A FWVL Objectif Blue Stone a décidé d’allier à cet événement une exposition d’un autre genre : regrouper sur un même espace des objets utilitaires, décoratifs ou encore des créations en tout genre en pierre bleue.
Une belle occasion pour faire connaître vos créations !
Vous avez développé un nouveau produit issu de la Pierre Bleue récemment ? Mobilier, bricolage, décoration d’intérieure, arts de la table, bijoux, etc.
N’hésitez pas à postuler dès à présent ! La participation est gratuite, notre objectif est de promouvoir le design et la Pierre Bleue de chez nous !
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