Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

De nouvelles règles de certification et de contrôle des produits alimentaires bio vont entrer en vigueur dans l’Union européenne en 2021, après leur approbation jeudi par les députés européens à Strasbourg.

A 466 voix favorables (124 contre), les eurodéputés ont validé, avec quelques amendements, un accord arraché fin juin 2017 entre le Parlement européen et le Conseil de l’UE après plus de trois ans de négociations.

Cet accord, qui doit encore recevoir l’aval purement formel des ministres de l’UE en mai avant de s’appliquer à partir de janvier 2021, vise à renforcer les contrôles le long de la chaîne d’approvisionnement.

Cela doit notamment permettre de garantir que les produits biologiques importés pour pouvoir faire face à l’appétit croissant des consommateurs européens pour le bio soient conformes aux normes de l’UE.

C’est une bonne nouvelle pour les paysans bio, pour les consommateurs et pour l’environnement“, s’est réjoui l’eurodéputé écologiste José Bové.

Un autre enjeu de cette nouvelle réglementation est de faciliter la conversion d’agriculteurs européens vers le bio. Ainsi les petits producteurs pourront obtenir une certification de groupe afin d’économiser temps et argent. L’approvisionnement en semences biologiques et animaux doit être augmenté.

Les agriculteurs seront par ailleurs contraints d’appliquer “un ensemble de nouvelles mesures pour éviter la contamination” par des pesticides chimiques ou des engrais synthétiques, au risque de perdre le statut de produit biologique, explique par ailleurs le Parlement européen.

Néanmoins la question sensible des seuils de pesticides acceptables n’a pas été résolue dans cette révision, face à des avis et des législations très différents selon les Etats.

Le collectif IFOAM-EU, basé à Bruxelles, qui regroupe les différents acteurs de la chaîne de production bio, a estimé, dans un communiqué, qu'”un nombre de points devaient encore être clarifiés” pour s’assurer que cette nouvelle réglementation “soit applicable au travail quotidien de toutes les parties de la chaîne de production du bio“.

Selon ce collectif, l’agriculture bio occupait en 2016 6,7% des terres agricoles européennes et les ventes de produits bio ont atteint 30,7 milliards d’euros, avec une vive…

Source : De nouvelles règles pour l’alimentation bio en Europe dès 2021, avec des contrôles renforcés

Vous avez une idée ? Osez la concrétiser ! Vous avez un projet ? Faites-le décoller !

Et pour vous y aider, Creative Valley met un réseau et des outils créatifs à votre disposition.

Comment ? Le 25 avril, passez une ou deux heures, ou toute la journée pour expérimenter les différentes étapes du parcours de l’entrepreneur, de la transformation d’une idée au projet concret. Venez rencontrer les entrepreneurs qui sont passés par ces étapes et partagez les bonnes (et mauvaises) expériences. Découvrez aussi qui, parmi les partenaires et la communauté de Creative Valley, peut vous donner un coup de pouce, comme ils l’ont fait pour les porteurs de projets que vous découvrirez tout au long de la journée. L’occasion aussi de tester les outils et les bonnes pratiques pour aller plus loin dans vos projets.

Quoi ? Beaucoup de partages d’expériences, une conférence d’un artiste entrepreneur, des sessions d’informations pratiques sur des thématiques-clés comme le numérique, les initiatives sociétales, l’économie circulaire, l’underground (Makers/artistes), l’échec… et une soirée speed-dating.

Pourquoi ? Démystifier l’entrepreneuriat, le rendre accessible à tous… et booster le désir d’entreprendre quel que soit le domaine d’activité !

Pour qui ? Porteurs de projets et entrepreneurs de secteurs variés, commerçants, citoyens, startup, personnes en reconversion, étudiants, artistes, profs, indépendants complémentaires,…

Où ? Anciens Abattoirs de Mons (rue de la Trouille 17 – 7000 Mons)

Quand ? Mercredi 25 avril, entre 8h30 et 21h30. Vous consultez le programme et identifiez le ou les moments de la journée qui vous intéressent.

Gratuit sur inscription : https://goo.gl/yJQ7zf

 

Source : Creative Valley • Agenda

La Commission européenne annonce de nouveaux garde-fous censés garantir une meilleure transparence lors de l’examen de cas liés à la sécurité alimentaire et la délivrance d’autorisations.

 

Selon la Commission européenne, ces nouvelles mesures relatives à la sécurité alimentaire inaugurent « une nouvelle donne pour les consommateurs ».

 

EFSA : l’UE pourra mener ses propres études

Lait infantile contaminé, oeufs contenant du fipronil, viande de cheval au lieu du boeuf dans les steaks hachés… Les scandales alimentaires n’ont pas manqué ces dernières années ! S’y ajoute une profonde insatisfaction qu’une certaine catégorie de la population éprouve à l’égard de l’autorisation pour 5 ans supplémentaires du glyphosate, une décision prise dans des conditions que certains auraient souhaitées plus transparentes.

 

La Commission européenne se saisit donc de la question et propose de nouveaux procédés. Premier pilier de ce chantier : l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), l’agence de l’UE chargée de la délivrance d’autorisations dans le secteur alimentaire, prenait jusqu’ici ses décisions sur la base d’études commandées et financées par les industriels eux-mêmes.Désormais, « dans des cas exceptionnels », des études complémentaires et financées par le budget de l’UE pourront être commandées par l’EFSA.

Les études défavorables pour les industriels ne pourront plus être dissimulées

Autre nouveauté : lors de l’examen de leurs dossiers par l’EFSA, les industriels devront lui soumettre l’ensemble des études portant sur la question, et non plus uniquement les études qu’ils estiment pertinentes. Ce garde-fou est censé empêcher les industriels de dissimuler les résultats des études qu’ils pourraient juger désavantageux pour leurs intérêts. D’autre part, les avis scientifiques formulés par l’EFSA devraient désormais être mieux expliqués, de façon à ce qu’ils soient le plus compréhensibles possible par les consommateurs….

 

Source : Sécurité alimentaire : à la Commission européenne, la EFSA annonce de nouvelles mesures

Pour nourrir le monde tout en sauvant la planète du réchauffement, l’ONU encourage désormais l’agroécologie, un tournant historique après plusieurs décennies de “révolution verte” basée sur l’agriculture intensive pour lutter contre la faim dans le monde.

Des systèmes alimentaires durables

Nous avons besoin de promouvoir des systèmes alimentaires durables (…) et de préserver l’environnement: l’agroécologie peut aider à y parvenir“, a déclaré mardi le directeur-général de l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) José Graziano da Silva, en ouverture du deuxième symposium international sur l’agroécologie à Rome.

Le système de production alimentaire basé sur des systèmes agricoles utilisant beaucoup d’intrants et de ressources a eu un prix élevé pour l’environnement. Le résultat a été que les sols, les forêts, l’eau, la qualité de l’air et la biodiversité continuent de se dégrader alors que l’augmentation de la production à tout prix n’a pas éradiqué la faim“, a-t-il ajouté.

L’agroécologie tourne le dos au productivisme encouragé par l’agrochimie et la mécanisation agricole depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, en faisant appel aux connaissances locales des agriculteurs et des scientifiques, à de meilleurs soins du sol pour qu’il soit plus fertile et stocke plus de carbone, à une biodiversité des espèces plantées et à une réduction de la dépendance envers les engrais synthétiques.

Nous devons nous écarter du système de monoculture tel qu’il a dominé le siècle précédent“, a pour sa part souligné le président du Fida (Fonds international de développement agricole) Gilbert Houngbo, une autre agence onusienne chargée de soute…

 

Source : Agriculture: l’ONU se convertit à l’agroécologie

La BERD, c’est la banque européenne pour la reconstruction et le développement, un institution qui a été créée dans la foulée de la chute du mur de Berlin pour aider initialement au évdeloppement économique des pays de l’est de l’Europe.  L’institution qui fédère plusieurs dizaines de pays et deux institutions internationales  dont la Commission européenne investit aujourd’hui des milliards d’euros dans des projets d’infrastructure, des entreprises, … dans des pays allant du Maroc à la Mongolie.

Ces projets ainsi que les études préalables et la consultance associée, sont autant d’opportunités de marchés pour des entreprises spécialisées.
C’est ce qu’on bien compris les 27 entreprises belges dont 9 wallonnes actives dans le domaine de l’environnement et de la green energy qui se sont déplacées à Londres ces 22 et 23 mars derniers dans le cadre d’une mission organisée conjointement par FIT, l’AWEX, BIE, BECI et EEN Wallonie.

Au programme, dans les locaux de l’Ambassade de Belgique , une rencontre avec des entreprises anglaises mobilisées par notre partenaire EEN local, la London Chamber of Commerce.  Et le lendemain, découverte de la banque, présentations générales et rencontres avec les chargés de projet de la banque.

Avec au final, des entreprises wallonnes très satisfaites de leur déplacement et se promettant d’en tirer parti le plus rapidement et le plus efficacement possible.

 

Tout le programme : https://www.hainaut-developpement.be/agenda/mission-dentreprises-a-banque-europeenne-reconstruction-developpement-londres/

 

A Courtrai Expo se tenait  une nouvelle édition du B2B organisé conjointement par les partenaires belges d’EEN à l’occasion du salon Tavola consacré à l’épicerie fine.

Succès à nouveau dans une version orientée cette fois complètement vers les besoins des distributeurs inscrits avec au final 173 participants de 17 pays et plus de 160 rendez-vous internationaux réalisés.  Et probablement l’annonce d’accords de partenariat transnationaux lors du suivi individuel que les partenaires feront dans les prochaines semaines et prochains mois, comme c’est le cas lors de chacune de nos actions de B2B.

 

Plus d’infos : https://www.facebook.com/note.php?note_id=582387292127984

Source : Petit retour sur les B2B EEN à Tavola

kesako?Labels

Parmi la pléthore de labels de qualité, des plus sérieux aux parfois les plus farfelus, la Commission européenne a proposé 3 systèmes de reconnaissance concernant les produits du terroir visant à promouvoir et protéger les désignations des produits agricoles et denrées alimentaires de qualité.

 

Ces systèmes ont également pour objectif de favoriser la diversification de la production agricole et de protéger les produits contre les usurpations et les imitations.

  • l’Appellation d’Origine protégée (AOP) désigne la dénomination d’un produit dont   toutes les étapes de fabrication ont lieu dans une aire géographique définie, avec   un savoir-faire connu et reconnu. Il doit exister un lien exclusif entre le produit et  son terroir d’origine.
  • L’Indication géographique protégée (IGP) désigne les produits dont les caractéristiques sont étroitement liées à une zone géographique déterminée, dans   laquelle se déroule au moins une étape de leur élaboration. Le lien entre le produit et son terroir d’origine n’est pas exclusif.
  • La Spécialité traditionnelle garantie (STG) permet de protéger une méthode de fabrication ou une composition traditionnelle d’un produit, sans lien avec une aire géographique.

La valorisation des produits du terroir: AOP, IGP,STG…Afin d’aider au montage des dossiers auprès de l’Union européenne et de parcourir plus aisément les méandres administratifs, la Wallonie a crée la “CAIG”, la Cellule d’Appui aux Indications géographiques, en collaboration avec les universités de Namur et de Liège (via son pôle Gembloux Agro-Bio Tech). Cette instance aide les groupements de producteurs à rédiger leur cahier de charge en fonction de la réglementation européenne encadrant l’usage des indications géographiques, à décrire les spécificités du produit et ses caractéristiques et à étayer et documenter l’ancienneté du produit.

Au niveau hainuyer, plusieurs groupements de producteurs ont souhaité introduire une demande d’aide auprès de la CAIG. Parmi ceux-ci, à l’heure actuelle, un seul produit doit encore passer le cap de l’acceptation finale par l’Union européenne: l’Escavèche de Chimay. Ce dossier est porté par 3 producteurs dont en Hainaut, l’Escavèche du Val d’Oise.

Après des années de démarches et d’accompagnement par Hainaut Développement, notamment, et sans coup de théâtre, ce produit pourrait bénéficier prochainement, et de manière officielle, de l’Indication géographique protégée (IGP), ce qui lui permettra de préserver sa spécificité territoriale et de promouvoir ses bienfaits auprès des professionnels mais également des particuliers.

Les candidatures relatives aux bières dites “de saison”, de la “blanche saucisse” et du “pagnon borain” sont en cours de suivi auprès de la CAIG. Puissent ces dossiers aboutir aussi positivement que celui de l’Escavèche de Chimay…

Martin PAUL – Hainaut Développement

PERMANENCE EXPORT

L’AWEX, en partenariat avec la Fondation Chimay Wartoise, le Géco et Hainaut Développement, met ses compétences à votre service pour vous conseiller, répondre à toutes vos questions en matière d’exportation, de réglementation européenne ou d’économie. Nous sommes là pour vous aider à mettre en place une stratégie d’exportation qui vous corresponde!

Nous serons à Chimay les mardis:

06/03 – 03/04 – 08/05 – 05/06/2018

 

Adresse: Hainaut Développement – Antenne Sud Hainaut – rue Rogier 10 – 6460 Chimay

Inscription indispensable

PERSONNE DE CONTACT: Benoît DESPIEGELEER – 071/277.108 –

Ces permanences sont accessibles gratuitement aux entreprises ou aux porteurs de projet à potentiel d’internationalisation. Elles sont organisées chaque premier mardi du mois à l’exception du mardi 1er mai qui est férié. Votre Centre Régional AWEX de Charleroi reste à votre disposition pour tout renseignement (071/277.100 – charleroi@awex.be). Details #772 Ouvert Priorité: Priorité Normale Type de demande: News: mise à jour Demandeur: Aurore Bayet Opérateur: Valérie Delferière Visibilité: Publique Date de création: 16 mars 2018 10 h 16 min Ouvert depuis: 19 mars 2018 9 h 06 min Dernière mise à jour: 21 mars 2018 17 h 35 min Fichiers attachés 29244...n.jpg (114.94 Kb) Download There are 1 files attached with total size of 0.11 Mb Actions Mode Edition Fermer Permanences Export à Chimay

 

 

Objectif Blue Stone souhaite relancer l’image de marque de la pierre bleue. À la clef, la reconnaissance d’un savoir-faire local, mais aussi une possibilité de développement sur le plan économique, comme sur celui de l’emploi.

 

 

Corentin Destres est « facilitateur de la pierre bleue ». Derrière cette appellation, un rôle: valoriser la pierre bleue, que l’on trouve dans notre bel Avesnois, et aussi outre-Quiévrain, du côté de Soignies. Et qui est utilisée par des artisans (tailleurs, maçons) des deux côtés de la frontière.

À Maubeuge se tenait ce jeudi le premier des trois modules organisé par Objectif Blue Stone, programme interrégional liant le sud du Nord et le Hainaut belge. Le but? Que les artisans présents puissent croire en leur potentiel. «  Pour…

Source: La pierre bleue, un atout des deux côtés de la frontière – La Voix du Nord

Ernest Shop

Après 10 ans de vie et de travail d’infographiste à Bruxelles, Olivier CAHAY s’est installé à Soignies où il a conçu et développé son propre projet d’entreprise. Architecte d’intérieur de formation, et multi-passionné, il a rassemblé ses talents et envies dans un même espace, l’Ernest Shop, une boutique pas comme les autres.

 

“Je suis parti du constat qu’il est fort difficile, soit de faire des cadeaux originaux à des hommes, soit même de s’en offrir. Il existe beaucoup de magasins pour enfants ou pour femmes mais pas pour hommes, dans la région. J’ai donc décidé de rassembler mes passions, pour la mode, pour la musique, pour la déco, notamment, dans un espace original, d’aspect assez brut mais néanmoins convivial, chaleureux et accueillant”.

Ernest Shop est donc un “concept store, unique dans la région, pensé, achalandé et décoré pour les mecs“, peut-on lire sur la page Facebook qui attend avec impatience son cousin de communication: le site Internet. “J’y travaille mais ça traîne un peu“, nous avoue Olivier qui a bénéficié, pour créer son business, de l’aide précieuse d’Avomarc, une structure d’accompagnement des porteurs de projets.

Ils m’ont été d’une grande aide car, quand je suis allé les voir pour la première fois, mon projet n’était pas encore très clair. Puis, le fait d’en parler, la dynamique du groupe, les rencontres et la formation intensive du début m’ont permis d’élaborer, de construire mon rêve. Avomarc m’a suivi en tout durant 18 mois. Sans ce soutien, je ne me serais jamais lancé!

En maternité

Ernest Shop est hébergé dans l’une des artères les plus fréquentées de Soignies, la rue de Mons. Olivier y est en couveuse,… dans la maternité commerciale inaugurée par la ville, il y a près de 2 ans.

Le bâtiment appartient en effet à la ville et je loue l’espace, à des conditions favorables par rapport au marché privé, pour une période de 3 ans. Comme j’y suis depuis presque 2 ans, je vais devoir penser à déménager!“.

Ernest Shop

En ce début 2018, Olivier CAHAY va donc se mettre en quête d’un nouvel espace pour son magasin. Il aimerait rester à Soignies où, progressivement, il s’est fait connaître et apprécier. Son commerce, très distinctif, assoit peu à peu sa réputation. “On m’avait bien dit que cela prendrait un peu de temps, nous confirme-t-il, mais je ne regrette rien. Je m’amuse dans ma boutique“.

Caverne d’Oli Baba!

 Une boutique dans laquelle on trouve des vêtements, des accessoires, des produits d’entretien de la barbe, des bracelets, des vinyles, des montres, des casquettes, des bretelles, des lunettes de soleil ainsi que de la déco et des gadgets. Bref, un peu de tout, car Olivier aime dénicher des produits très spéciaux. “J’ai énormément de produits et de fournisseurs. Ce n’est pas simple à gérer mais c’est ça aussi qui m’amuse dans mon boulot. Chercher, fouiner, pour trouver le produit un peu rare qu’on ne trouve pas partout. Pour l’instant, les vinyles fonctionnent moins bien. C’est un peu par période. J’adore ça et j’espère pouvoir continuer, mais c’est compliqué car on en trouve partout, dans les grandes surfaces et sur Internet. Et c’est impossible pour moi d’avoir les mêmes prix! Je vais essayer de tenir“.

Fort heureusement pour Olivier, quand certains produits déclinent, d’autres prennent le relais. Par exemple, les petits porte-cartes en alu sont très en vogue en ce moment et participent à l’évolution de la notoriété du magasin, selon le gérant. “Ce sont des produits costauds, fabriqué aux Pays-Bas. On les sort souvent de sa poche et c’est clairement le type d’objets qui aide à me faire connaître“.

Olivier CAHAY participe annuellement à quelques foires et salons -comme Maison & objets, à Paris- dans l’optique de dégoter les pièces rares qui feront de l’effet dans ses présentoirs. Le reste de son imposante palette provient d’Internet où de belles trouvailles sont toujours possibles.

Michel BELLEFONTAINE

 

 

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