Selon une étude scientifique, le scénario est possible à condition de réduire le gaspillage alimentaire et de limiter la consommation de protéines animales.
Les bénéfices du bio pour la santé et pour l’environnement sont aujourd’hui prouvés. Mais pour ses contempteurs, ce type de production ne pourrait pas être généralisé, faute de rendements suffisants pour subvenir aux besoins d’une planète à la démographie galopante. Une idée répandue que réfutent des chercheurs européens dans une nouvelle étude publiée par la revue Nature Communications, mardi 14 novembre.
Dans ce travail, le plus abouti sur la question, ils affirment qu’il est possible de nourrir plus de 9 milliards d’êtres humains en 2050 avec 100 % d’agriculture biologique, à deux conditions : réduire le gaspillage alimentaire et limiter la consommation de produits d’origine animale. Et ce, sans hausse de la superficie de terres agricoles et avec des émissions de gaz à effet de serre réduites. Un défi de taille, alors que le bio ne représente que 1 % de la surface agricole utile dans le monde – 6 % en France.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/11/14/une-agriculture-100-biologique-pourrait-nourrir-la-planete-en-2050_5214822_3244.html#aE0bFFHF4Trl8LAh.99
Source : Une agriculture 100 % biologique pourrait nourrir la planète en 2050
Avec la nouvelle réglementation entrée en vigueur le 30 juin dernier, les marchés publics sont amenés à se dématérialiser à plus ou moins brève échéance.
En pratique, à quelques rares exceptions, l’ensemble des marchés seront, à l’horizon 2020, réalisés via des moyens électroniques. Pour ce faire, le planning est établi comme suit:
- 30/06/2017: marchés passés par les centrales d’achat;
- 18/10/2018: marchés dont la valeur estimée est égale ou supérieure au seuil fixé pour la publicité européenne (à savoir 209 000 € HTVA pour les fournitures et services, et 5 225 000 € HTVA pour les travaux);
- 01/01/2020: marchés dont la valeur estimée est inférieure au seuil fixé pour la publicité européenne.
Concrètement, la dématérialisation implique que les communications et les échanges d’informations entre l’adjudicateur et les opérateurs économiques,
doivent être réalisés à tous stades de la procédure par des moyens électroniques.
Dans ce cadre, la plateforme e-Procurement, qui informatise les processus et les échanges en matière de marchés publics, est incontournable.
Potentiellement, l’ensemble des échanges nécessaires à la passation d’un marché public peuvent être réalisés via cette plateforme.
Elle est composée de 5 applications, chacune d’elle se rapporte à une phase spécifique de la procédure:
- e-Notification: pour la publication,
- e-Tendering: pour la soumission des offres/demandes de participation,
- e-Awarding: pour l’évaluation et l’attribution,
- e-Catalogue: pour l’utilisation de catalogues,
- e-Auction: pour l’organisation d’une enchère électronique inversée.
Les centrales de marché doivent déjà recourir aux moyens électroniques. D’autre part, l’ensemble des marchés devant faire l’objet d’une publicité sont publiés en ligne.
Par conséquent, il est vivement recommandé à toute entreprise intéressée à travailler avec le secteur public de se former, dès à présent, aux nouvelles méthodes et de disposer d’un accès à e-Procurement qui permet, via les applications e-Notification et e-Tendering, d’obtenir une information sur les marchés en cours et, le cas échéant, d’introduire les soumissions.
Plus précisément e-Notification permet:
- de faire des recherches ponctuelles sur les marchés susceptibles d’intéresser votre entreprise;
- de créer un ou plusieurs profil(s) de recherche qui permet(tent) de suivre les marchés publics et d’être averti automatiquement en fonction de critères préalablement définis;
- d’obtenir les documents du marché.
100 % des marchés publics devant faire l’objet d’une publicité y sont repris via le BDA (Bulletins des Adjudications). Avec les nouveaux seuils applicables
aux marchés publics, seuls les marchés dont le montant est égal ou supérieur à 135 000 € HTVA doivent faire l’objet d’une publicité.
En outre, e-Notification permet également une recherche via le Free market qui permet aux pouvoirs adjudicateurs qui le souhaitent, de publier des marchés
qui se trouvent en deçà des seuils pour la publicité obligatoire.
Pour simplifier les recherches, il est conseillé de recourir aux codes CPV. Il s’agit d’une nomenclature propre aux marchés publics. Les codes sont composés
de 9 chiffres. Cette terminologie permet d’identifier clairement l’objet des marchés. Le pouvoir adjudicateur doit faire référence à cette nomenclature dans ses avis de marchés.
L’application e-Tendering permet, quant à elle, aux entreprises de déposer les offres ou les demandes de participations via les moyens électroniques et aux pouvoirs adjudicateurs de procéder à l’ouverture des offres.
Elle offre de nombreux avantages: réduction des coûts (économie de papier et de frais d’envoi), possibilité de signer l’offre en ligne, pas de risque de voir se
perdre les offres ou demandes de participation, possibilité de consulter le PV d’ouverture.
Notons qu’actuellement, le dépôt via e-Tendering n’est pas généralisé. Pour chaque marché, il convient de s’assurer des modalités de dépôt acceptées, autorisées ou imposées par le pouvoir adjudicateur.
Pour accompagner les entreprises dans leurs démarches, les services e-Procurement ont élaboré une série de manuels disponibles en téléchargement
sous le lien suivant: http://www.publicprocurement.be/fr/entreprises/manuels-check-lists
Ces manuels, pour entreprises, expliquent pas à pas, avec recours à des copies d’écran, les démarches à accomplir pour exploiter au mieux les fonctionnalités des différentes applications.
En pratique, seul un enregistrement est nécessaire pour accéder aux différentes applications. L’utilisation d’e-Procurement est entièrement gratuite.
Virginie BOURGOIS
Hainaut Développement
tél.: +32 65 342 615
virginie.bourgois@hainaut.be
Rejoignez-nous le 30 Novembre pour une soirée inspirante et décalée animée par des entrepreneurs français et belges qui présenteront leurs succès et leurs échecs dans leur croissance à l’international, avec notamment Omar Mohout !
Thinking about taking your company global?
Happy to present, the 30th of November, inspirational talks by Belgian and French entrepreneurs about international successes, failures, dos and don’ts when crossing borders.
Date: 30th of November 2017
Destination: Aquamuse Kuiperskaai 24 – Ghent
Program:
18:00 Live music & bites
18:30 Introduction by Omar Mohout, Entrepreneurship Fellow at Sirris
18:45 Your captains
- Klingele Chocolade (award Leeuw van de Export) – Eline Blanchaert, Sales Director (B)
- Lansweeper – Bart Maes, CEO (B)
- Weba – Stefaan Couvreur, Marketing Director (B)
- Espaciel – Alexi Herve, Founder (F)
- Lightspeed – Jan Hollez, Director (B)
- Silverfin – Joris Van Der Gucht, Co-CEO (B)
- More to be announced soon!
20:45 Conclusions
21:00 Networking & dj
Fee: 25 euro*
* includes: inspiration, bites, drinks and new friends
source : https://www.eventbrite.nl/e/tickets-born-global-sea-the-world-go-international-4806693951
Supported by the Interreg France-Wallonia-Flanders project PROGRES:
L’AWEX vous invite à l’une des 4 étapes de son Roadshow
Vous êtes porteur de projet, étudiant-entrepreneur, start-up, PME avec peu ou pas d’expérience à l’international ?
L’export, vous y pensez mais vous n’avez pas encore franchi le pas ?
L’AWEX est là pour vous guider dans cette aventure !
Venez découvrir les étapes et enjeux d’un projet d’exportation, les services à votre disposition pour mettre toutes les chances de votre côté et surtout, laissez-vous inspirer par les témoignages d’entreprises qui ont franchi le cap avec succès.
Inscrivez-vous sans tarder à l’une des 4 sessions organisées près de chez vous : Liège (6/12), Namur (7/12), Tournai (11/12) et Charleroi (13/12).
Programme
Introduction : pourquoi exporter ?
- Pascale Delcomminette, Administratrice générale de l’AWEX
Inscription dans la base de données AWEX via le Centre régional AWEX
- Liège (6/12) : Marielle Germis
- Namur (7/12) : Sarah Hautfenne
- Tournai (11/12) : Pierre Libioulle
- Charleroi (13/12) : Eric de Clercq
Développer un projet à l’exportation
- Responsable CR
- Stéphane Romans, premier attaché du Département des Incitants financiers
- Liège (6/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à La Haye)
- Namur (7/12) : Frédéric Biava (AEC au Grand-Duché de Luxembourg)
- Tournai (11/12) : Isabella Profeta (AEC à Cologne)
- Charleroi (13/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à la Haye)
Témoignages :
- Liège (6/12) : Joseph Marra, Technical Business Development Officer GDTech – Alain Niessen, COO Widetech
- Namur (7/12) : Gilles Bazelaire, CEO Dogstudio – Eric Poskin, Strategic and Corporate Director Vésale Pharma
- Tournai (11/12) : Thierry Delvigne, Directeur Deltabeam – Sébastien Poliart, Fondateur Quplace
- Charleroi (13/12) : Arnaud Meulemeester, International Business Dirty Monitor – Pierre Van Wetter, Chief Commercial Officer Sonaca Aircraft
Adapter sa communication à l’international
Prospecter à l’étranger
- Chantal De Bleu, Directeur général a.i. de l’AWEX
- Stéphane Romans
- Nicolas Ravenel, Coach Explort
Financer ses projets à l’exportation
Questions-réponses
Conclusion par Mme Pascale Delcomminette
Cocktail dînatoire
Participation gratuite mais sur inscription obligatoire
Source : Roadshow (4 dates) – Comment vous lancer à l’international grâce à l’AWEX? Billets, mer le 6 déc. 2017, 16:00 | Eventbrite
Entreprises, professionnels de l’informatique, policiers, étudiants… Prés de 250 personnes se sont retrouvées au MICX, le centre des congrès de Mons, le lundi 6 novembre. Leur préoccupation commune : la cyber sécurité. L’idée de consacrer une journée à ce thème est venue du business club Synergie, son directeur, Franck Alland est architecte.
Son bureau a lui-même été victime d’une attaque il y a deux ans: “c’est ce qui nous a sensibilisés à ce problème, une société chinoise a pris possession de notre serveur, pendant des semaines, on ne s’est pas rendus compte de ce qui se passait. On a cru que notre matériel ne fonctionnait pas bien. On a peu perdu de données mais on a perdu beaucoup de temps…”.
Source : Cyber Security Day à Mons, la sécurité informatique des entreprises et de tous
La plateforme de petits services entre particuliers Listminut a ouvert le bal en étant une des premières reconnues par le SPF Finance avec la plateforme de repas préparés maison Flavr.be, le service de livraison de repas UberEats ou encore le service de livraison de paquets Bringr.be. “A l’époque, nous répondions à une demande tant de nos prestataires que de nos clients. Cela répondait à une volonté de clarification juridique et fiscale”, explique Jonathan Schockaert, CEO de Listminut….
Les tartes de Françoise est une entreprise qui produit, de manière artisanale, chaque jour plus de 4000 tartes salées et sucrées dans son atelier central situé à Seneffe. Sur ce volume total, 4 à 5% se retrouve “déclassé”: erreurs dans la réalisation de la recette ou dans les commandes. Et pour éviter le gaspillage, la société fait appel à la bourse aux dons, une plateforme qui gère les surplus des entreprises agroalimentaires pour les redistribuer aux plus nécessiteux.
Marie-Christine Rouge et Jean Quinaux sont bénévoles dans une maison de la Croix-Rouge à Jumet. La bourse aux dons les a alertés de la disponibilité d’une trentaine de tartes. “Ils nous font une proposition en disant quels types de tartes sont disponibles. Et si cela nous intéresse, on coche, on réserve, on téléphone pour savoir quand est-ce qu’on peut venir les chercher. En général, on prend tout.” Cette association caritative vient en aide à 1300 personnes. Cela va du bol de soupe au colis alimentaire. Avec parfois, une petite surprise : un morceau de tarte. “On distribuera cela dès 9h du matin à nos malheureux. Et à midi, il n’y en aura plus.”
Limiter les pertes dans la fabrication
Cette entreprise produit 1 200 000 tartes par an. Avec so…
Source : Seneffe: Les tartes de Françoise, un exemple anti-gaspi
Pour Stephan Justin, cette nouvelle “va changer la donne” car il constate une demande de plus en plus grande pour du bois wallon labellisé FSC, ce qui n’existait pas jusqu’alors. – © BelgaLe projet “Sylva Nova“, qui regroupe diverses forêts privées en Wallonie, vient d’obtenir la certification Forest Stewardship Council (FSC) qui atteste de la gestion durable des forêts, annonce mardi l’ONG FSC dans un communiqué. Il s’agit d’une première au sud du pays, la Région wallonne ayant opté pour ses forêts pour un autre label, PEFC (Programme for the endorsement of Forest Certification Schemes).
La certification FSC atteste que la forêt labellisée répond aux exigences imposées en termes de gestion forestière durable. Le bois qui quitte la forêt reçoit le même label. Pour obtenir la certification, le propriétaire doit démontrer qu’il gère sa forêt de manière durable, explique Stéphan Justin, coordinateur de projets pour FSC Belgique. Il doit par exemple déclarer les arbres qui seront prélevés et expliquer pourquoi, comment la biodiversité sera préservée…
L’obtention de cette certification par un groupe de propriétaires privés permet d’ouvrir le marché wallon à ce label, d’autres propriétaires pouvant désormais se joindre à l’initiative. “Le coût de la certification pour un seul petit propriétaire reste important“, souligne Stéphan Justin. La certification groupée facilite la procédure….
Source : Des forêts privées wallonnes pour la première fois certifiées “gestion durable”