Le Projet PROGRES — Project Accelerating Growth, Resources and Enterprise Support — rassemble plusieurs partenaires français, wallons et flamands experts dans l’accompagnement des entreprises. L’objectif du projet est d’accompagner la croissance transfrontalière grâce : au développement des partenariats industriels et commerciaux, au réseautage entre professionnels et à l’émergence d’idées innovantes qui pourront être transformées en nouveaux modèles économiques rentables.
Le projet est financé dans le cadre du Programme Interreg V France-Wallonie-Flandres avec le soutien du Fonds Européen de Développement Régional (FEDER).
Selon une étude de l’Agence internationale des énergies renouvelables, l’éolien et le solaire deviendront prochainement aussi compétitifs que le gaz et le charbon.
Un pas de plus vers la transition écologique pour un avenir plus vert. Selon une étude publiée samedi, les coûts des nouvelles énergies telles que le solaire ou l’éolien vont tant baisser ces prochaines années qu’elles seront bientôt moins chères globalement que les énergies fossiles. L’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena) indique par ailleurs dans son étude que les autres énergies vertes progressent également rapidement.
« Toutes les technologies renouvelables seront compétitives par rapport aux énergies fossiles en 2020 », estime l’Irena dans cette nouvelle étude sur les coûts des énergies vertes. Les coûts moyens des renouvelables devraient atteindre entre 3 et 10 dollars le mégawattheure (MWh) en fonction des technologies (éolien, solaire, géothermie, biomasse, etc.), quand les énergies fossiles affichent des coûts entre 5 et 17 dollars le mégawattheure, note l’étude. Ils varient en fonction des pays, selon les gisements en énergie ou les réglementations.
Déjà l’an dernier, les coûts moyens des nouveaux projets de parcs d’éolien terrestre et de centrales solaires ont fluctué entre 6 et 10 dollars le mégawattheure, avec plusieurs records en dessous de cette moyenne. Cela a été le cas aux Émirats arabes unis, au Chili, au Mexique et au Pérou dans le solaire. Dans l’éolien, des projets sont déjà régulièrement mis en service avec un coût de 4 dollars le mégawattheure.
Davantage de concurrence
Les baisses de coûts sont tirées par l’amélioration constante des technologies mais aussi une concurrence qui s’accentue avec….
Le défi que représente pour l’humanité l’effondrement de la biodiversité est à traiter avec le même niveau d’importance que le défi climatique, explique un collectif d’experts dans une tribune au « Monde ».
Les chercheurs et les acteurs qui, comme nous, travaillent sur la biodiversité saluent l’initiative prise par le président de la République de relancer, à travers la réunion One Planet Summit, la dynamique portée par l’accord de Paris. Au moment où il apparaît clairement que l’objectif de la limite des 1,5 °C ne pourra probablement pas être atteint, mobiliser les acteurs économiques pour réduire les pressions humaines responsables du changement climatique et contribuer aux processus d’adaptation constituait un impératif. Les engagements pris par les donateurs, les Etats ou des organismes comme la Banque mondiale vont dans un sens positif, et il est important que la France ait joué ici un rôle majeur.
A l’heure où de grands acteurs économiques commencent à se soucier fortement de l’impact de leurs activités sur la biodiversité et alors que le récent appel des 15 000 scientifiques du monde entier a rappelé que l’impact croissant des activités humaines compromet notre avenir, on aurait pu souhaiter que ce sommet traite à la fois de la lutte contre le réchauffement climatique et de la lutte contre l’érosion de la biodiversité.
« La dégradation des écosystèmes est notamment à l’origine de la diffusion de certaines maladies à l’homme »A l’image d’une étude qui montre que plus de 75 % de la biomasse des insectes volants a disparu au sein d’espaces pourtant protégés en Allemagne, en vingt-sept ans, les travaux scientifiques récents soulignent tous la gravité des atteintes à la biodiversité. Ils montrent également…
Ce 11 décembre, la Coopérative Bio de la Botte a vu le jour. Après plusieurs mois de réflexions, 18 producteurs bio de la région de Chimay se sont associés pour créer ensemble une Coopérative à responsabilité limitée et finalité sociale.
En se serrant les coudes… Voilà comment une petite vingtaine d’agriculteurs a pris le pari de développer et de soutenir le marché des céréales bio régionales, ainsi que d’autres cultures comme le maïs, le quinoa ou le chanvre.
La coopérative bio de la botte qui vient de voir le jour poursuit quatre objectifs, à savoir :
permettre aux producteurs céréaliers de la région de la botte de venir sécher, trier et stocker leurs céréales pour ensuite les vendre de manière groupée en alimentation humaine et animale ;
développer des ateliers de transformation pour céréales, ainsi que pour d’autres filières bio (exemple : découpage à façon…) ;
mettre à disposition des bâtiments pour développer l’entrepreneuriat bio local ;
proposer aux consommateurs un lieu d’achats rassemblant l’offre bio régionale.
Que ce soit simplement pour soutenir les agriculteurs bio, pour s’investir plus activement dans le développement d’une coopérative locale ou pour profiter des avantages qu’une telle structure peut proposer, le citoyen est invité à investir dans une ou plusieurs parts catégorie B d’une valeur de 50 euros, qui donnera à la partie prenante un statut de coopérateur sympathisant.
Le projet, soutenu par Biowallonie et par le ministre wallon de l’Agriculture, fait partie de la sélection de 18 projets de halls relais. Il pourra dès lors bénéficier d’une subvention de 396.000 € pour sa création. ….
Un logiciel mis au point par la SPI, l’agence de développement économique en province de Liège, a permis d’identifier près de 104.000 sociétés en Wallonie, dont 23.000 ont un impact sur l’environnement socio-économique, rapporte L’Echo mercredi.
D’après Leodica, ce logiciel mis au point par la SPI et le Pr Didier Van Caillie (ULg), la Wallonie compte près de 104.000 entreprises ayant au moins 1.000 euros d’actifs et ayant publié leurs comptes à la BNB. Parmi elles, on dénombre près de 23.000 entreprises dites “structurantes”, soit le quart du total. Une entreprise structurante a une valeur contributive au niveau local et un impact sur l’emploi direct et indirect. L’analyse des données indique donc qu’une entreprise sur quatre développe le tissu économique wallon.
La province du Hainaut abrite 32% des entreprises structurantes et, Liège 30,7%. Le Brabant wallon en accueille 17,5% et Namur, 13,8%. Pour l’emploi, le Hainaut arrive en tête avec 140.002 travailleurs équivalents temps plein (ETP), suivi de Liège (129.714 travailleurs).
Pas de doute, l’agriculture bio est moins productive que le conventionnel mais elle a de meilleures performances économiques, estime l’INSEE dans une nouvelle étude. Grâce à des ventes en circuit court, l’absence notable d’intrants chimiques et des prix de vente plus élevés, les agriculteurs bio s’en sortent mieux.
C’est une étude d’une ampleur inédite que vient de publier l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) sur la performance économique de l’agriculture biologique comparée à celle du conventionnel. L’Institut a étudié la rentabilité de 1 800 fermes bio et de 28 000 exploitations conventionnelles. Trois secteurs sont représentés : le maraîchage, la viticulture et la production laitière. Selon ces travaux, l’agriculture bio est plus rentable que le conventionnel.
Davantage de salariés mais des économies sur les intrants chimiques
Du côté des viticulteurs bio, le chiffre d’affaires moyen est de 17 000 euros par hectare, soit… 46 % de plus qu’en conventionnel ! Une différence d’autant plus surprenante que les frais de personnel y sont une fois et demi supérieur. “Près de 0,14 équivalent temps plein salarié par hectare en bio contre 0,08 en conventionnel”, détaille l’INSEE. Cela s’explique, d’une part, par des prix de vente supérieurs de 10 % à 40 % selon les produits. D’autre part, la différence est due au nombre d’exploitations bio en zone AOP (Appellation d’origine protégée). Au final, l’excédent brut d’exploitation (EBE) est de “6 400 euros à l’hectare contre 3 700 euros pour les viticulteurs conventionnels”.
Pour le secteur du maraîchage, le chiffre d’affaires des producteurs de légumes bio est inférieur à celui des producteurs conventionnels (10 900 euros contre 12 500 à l’hectare). Mais “les maraîchers bio utilisent moins d’intrants de synthèse (engrais, amendements, produits de protection des plantes…) et économisent ainsi sur les consommations intermédiaires”, note l’institut. L’EBE est donc de 3 300 euros en moyenne pour les bio contre 2 500 pour les conventionnels.
De la vente en circuit court permet de “capter davantage de la valeur finale du produit”.
Une pâture de 4 ha en plein village de Marchipont (Honnelles). C’est là que paissent les chevaux dont s’occupe Lauriane Carlier et Pierre Lion. Elle gère une pension pour chevaux et souhaitait leur permettre d’évoluer dans un milieu le plus proche…
Une pâture de 4 ha en plein village de Marchipont (Honnelles). C’est là que paissent les chevaux dont s’occupe Lauriane Carlier et Pierre Lion. Elle gère une pension pour chevaux et souhaitait leur permettre d’évoluer dans un milieu le plus proche possible de leur habitat naturel “Le cheval ne se nourrit pas que d’herbe, mais aussi de racines, de baies, de feuillage. Il a aussi besoin de zones naturelles où il peut se mettre à l’abri du soleil et des intempéries“. La jeune femme a fait appel au Parc naturel des Hauts Pays et à Hainaut Développement, pour recréer cet environnement, finalement assez proche du paysage bocager traditionnel de la région. “Autrefois les terres étaient plus morcelées, avec des haies qui délimitaient les propriétés. Cela a progressivement disparu avec l’apparition d’une agriculture plus intensive. Ce qui fait qu’on a beaucoup perdu en termes de biodiversité, de protection. Aujourd’hui nous essayons de favoriser la réintroduction de ces éléments“, explique Romain Jenard, chargé de mission en agroforesterie au sein d’Hainaut Développement.
Réinstaurer la confiance envers la nature
Cette semaine toute une équipe de planteurs était donc à pied d’œuvre pour mettre en place des haies, des vergers, des alignements d’arbres. Ce sont en tout un millier de plants de diverses espèces indigènes qui ont été répartis sur le site. Un futur petit paradis pour les chevaux, mais aussi une belle vitrine de ce qu’est l’agroforesterie pour le Parc naturel. Car tout un travail de sensibilisation est en cours auprès des agriculteurs locaux. “On ne leur demande pas de passer du jour au lendemain à la plantation de haies et de vergers, mais on veut leur montrer que la diversification est bénéfique pour leurs sols, pour la biodiversité et même en matière de production, car les haies et les vergers protègent les cultures. Il faut réinstaurer chez eux cette confiance envers la nature“, insiste Sébastien Delfar, du Parc naturel.
Une contrainte supplémentaire pour les agriculteurs?
Les monocultures intensives sont aujourd’hui pointées du doigt lors de grosses intempéries. Les arbres et les haies, au contraire, retiennent les terres et empêchent les eaux de ruisseler C’est un des arguments mis en avant par les partenaires. Tout comme les revenus générés par ces plantations: “On propose des espèces choisies en fonction de la qualité de leur bois, de leur potentiel de production“, ajoute Romain Jenard. Certains agriculteurs s’imaginent aussi qu’il s’agit d’une contrainte supplémentaire. Sébastien Delfar prend l’exemple d’un verger planté dans une prairie. “On peut planter avec suffisamment de distance pour permettre aux machines de passer.Il y a très peu d’entretien à faire. Juste une taille de formation quand les arbres sont jeunes. Mais une fois qu’ils sont partis, ce seront des récoltes, un abri pour son bétail, et cela fixera son sol“. De son côté, Lauriane Carlier s’attend effectivement à devoir faire un peu de taille d’ici quelques années, “mais les chevaux vont nous aider en mangeant les branches qui dépassent“….
Les matériaux solaires transparents qui peuvent être appliqués aux fenêtres représentent une source importante d’énergie inexploitée. Ils pourraient permettre de stocker autant d’énergie que les unités solaires plus grosses et plus encombrantes sur les toits, signalent des scientifiques, dans la revue Nature Energy.
Dirigés par des chercheurs en ingénierie de l’université de l’État de Michigan, les auteurs affirment que l’utilisation généralisée des modules solaires transparents sur les toits pourrait presque satisfaire la demande en électricité des États-Unis et réduire considérablement l’utilisation des combustibles fossiles.
« Les cellules solaires hautement transparentes représentent la voie de l’avenir pour les nouvelles applications solaires », a déclaré Richard Lunt, professeur agrégé de génie chimique et de science des matériaux à l’université d’État du Michigan (MSU).
Ils ont analysé leur potentiel et montré qu’en ne récoltant que de la lumière invisible, les appareils peuvent fournir une production en électricité similaire à celui du solaire sur le toit tout en offrant des fonctionnalités supplémentaires pour améliorer l’efficacité des bâtiments, des automobiles et de l’électronique mobile.
Lunt et ses collègues de MSU ont été les premiers à mettre au point un concentrateur solaire luminescent transparent qui, placé sur une fenêtre, crée de l’énergie solaire sans perturber la vue. Le matériau mince et plastique peut être utilisé sur les bâtiments, les vitres de voiture, les téléphones cellulaires ou d’autres appareils à surface transparente.
Le système solaire transparent utilise des molécules organiques développées par Lunt et son équipe pour absorber les longueurs d’onde invisibles du soleil. Les chercheurs peuvent « régler » ces matériaux pour ne capter que l’ultraviolet et les longueurs d’onde proche de l’infrarouge, puis convertir cette énergie en électricité….
Les prix des batteries et de l’électricité propre ont chuté si brutalement que même les projections imaginant un système à 85-90 % de renouvelables pour 2035 semblent aujourd’hui « ridiculement conservatrices ».
« Nous sommes très confiants vis-à-vis des renouvelables ». Pour Lord Adair Turner, le président de la Commission sur les transitions énergétiques, une coalition d’organisations commerciales, financières et énergétiques, les projections actuelles frôlent le ridicule.
Selon lui, les projections les plus optimistes avancées par le passé, y compris celles de Greenpeace, sont aujourd’hui complètement dépassées par la réalité et l’effondrement du prix de l’installation des générateurs d’énergie renouvelable.
En se basant sur des prévisions prudentes, la Commission sur les transitions énergétiques a calculé qu’un système énergétique 100 % fondé sur les renouvelables était à présent atteignable – et sans doute plus rapidement qu’on ne le pense.
« Nous sommes à peu près convaincus que dans dix ou 15 ans un système presque entièrement renouvelable est possible, à 85 ou 90 % et appuyé sur les renouvelables intermittentes », assure le Britannique. « Nous disons 2035, mais cette dateest probablement ridiculement conservatrice. »
La baisse des prix devrait se poursuivre, estime-t-il, prédisant qu’aux enchères, le solaire pourrait valoir moins d’un centime d’euro par kilowatt heure dans un avenir proche, après une vente à 1,66 centime d’euro le kilowatt heure enregistrée la semaine dernière au Mexique.
La chute des prix des batteries a aussi dépassé les attentes avec un prix du stockage par kilowatt en baisse de 70 % entre 2010 et 2016. Et cela continuera, assure-t-il, citant l’ambition de Tesla de construire la toute première batterie au lithium de 100 mégawatts d’ici le 1er décembre.
Une véritable tempête
« La dynamique est presque hors de contrôle », indique Auke Lont, PDG de Statnett, le gestionnaire du réseau norvégien. C’est une vraie tempête sur les marchés économiques mondiaux en ce qui concerne l’énergie propre.
« C’est tout simplement incroyable, chaque semaine il se passe quelque chose quelque part dans le monde », continue-t-il, citant une vente aux enchères en Allemagne, où 1 gigawatt d’éolien terrestre a été vendu à 38 euros le mégawatt heure la semaine dernière.
Les nouvelles estimations de la Commission sur les transitions énergétiques devraient donner du poids aux propositions actuellement débattues au niveau de l’UE. Le 28 novembre, les eurodéputés ont en effet soutenu un objectif de 35 % d’énergies renouvelables d’ici 2030, une amélioration par rapport aux 27 % proposés il y a un an par la Commission européenne…..
La transition énergétique vers des sources d’énergies renouvelables, comme le solaire ou l’éolien, risque d’être assez globalement défavorable à la croissance économique. C’est ce qu’on peut lire mardi matin dans une étude publiée par la revue Regards économiques.
Jusqu’ici, beaucoup d’économistes avaient tendance à considérer que cette transition énergétique, qui consiste à utiliser de moins en moins d’énergies fossiles et de plus en plus de renouvelables, soutiendrait la croissance économique, notamment au travers d’investissements considérables, et donc la création d’emplois. La revue Regards économiques tempère cet optimisme. Selon elle, il faudrait utiliser de plus en plus d’énergie pour produire une quantité d’énergie donnée.
“Pour les énergies renouvelables, on a 2 difficultés : une première qui dit que ces énergies offrent un taux de rendement plus faible que le taux de rendement du non renouvelable de la meilleure qualité, et par ailleurs on est soumis a un effet de localisation. C’est-à-dire qu’au fur à mesure qu’on va étendre les capacités de production en renouvelable, on va devoir glisser vers des sites qui sont moins propices. La chute du taux de rendement énergétique qu’on peut attendre de l’exploitation du renouvelable est donc liée à cet effet de localisation. Au fur et à mesure que nous allons chercher à davantage capter le soleil ou le vent, nous allons devoir installer nos équipements productifs dans des endroits moins performants. Sans compter que s’agissant de l’éolien, le fait d’installer beaucoup d’éoliennes à un endroit peut aussi influencer la quantité de vent qui souffle à cet endroit“; explique Jean-François Fagnart, professeur d’économie aux facultés universitaires Saint-Louis.
Investir pour moins de rendements?
On remarque le même phénomène avec les énergies non renouvelables comme le gaz, le pétrole et le charbon. Le taux de rendement se détériore également. Il est beaucoup plus cher d’extraire du pétrole en eaux profondes, dans les océans, ou des sables bitumineux du Canada que dans le puits de pétrole dans le désert saoudien.
Cette situation risque de mobiliser une partie de plus en plus import…
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