Peut être avez-vous déjà entendu parler des écolieux ? Ces sites où on partage, recherche, démontre et forme pour diminuer son impact sur l’environnement et tendre vers plus d’autonomie énergétique, alimentaire ou en eau.
Ces sites existent sous forme associative, ou de façon un peu plus lucrative en entreprise, sans véritablement chercher à faire fortune, mais surtout pour transmettre des savoirs, pour échanger en communauté ou expérimenter de nouvelles solutions moins impactantes pour l’homme et son environnement. D’autres y pratiquent plus un loisir, un art ou tout simplement leur activité professionnelle. Enfin certain y ont développé un écosite de villégiature, un lieu de ressourcerie pour se couper de la vie urbaine et revenir aux fondamentaux.
L’économie sociale se distingue de l’économie classique par sa finalité, qui est l’intérêt de la collectivité, le renforcement de la cohésion sociale et le développement durable.
Les entreprises d’économie sociale répondent à la définition de l’économie sociale, soit «les activités économiques productrices de biens ou de services, exercées par des sociétés, principalement coopératives et/ou à finalité sociale, des associations, des mutuelles ou des fondations, dont l’éthique se traduit par les principes suivants:
- finalité de service à la collectivité ou aux membres, plutôt que finalité de profit,
- autonomie de gestion,
- gestion démocratique et participative,
- primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus».1
L’emploi dans le statut juridique des entreprises de l’économie sociale en province du Hainaut
*Coop.: coopérative. *F.S.: finalité sociale. *C.N.C: Conseil national de la Coopération (les coopératives agréées par le C.N.C. ont l’agrégation pour attester de
leur mode de gestion et d’organisation et non pas pour une finalité particulière qu’elles poursuivent).
Le tableau ci-dessus indique le nombre total d’emplois (emplois à temps partiel + emplois à temps plein).
En 2015, le taux emploi à temps partiel en Hainaut est de 54,8 % soit supérieur à la moyenne wallonne qui est de 52 %. En 2010, l’emploi à temps partiel en Hainaut représentait 53,17 % de l’emploi total.
Depuis 2010, l’emploi total dans l’économie sociale en Hainaut a progressé de 8,95 % alors que, dans le même temps, le nombre d’entreprises a diminué de 2,97 %.
Répartition par arrondissement hainuyer de l’emploi dans le secteur de l’économie sociale en 2015:
L’arrondissement de Charleroi est, de loin, le plus grand arrondissement pourvoyeur d’emplois dans l’économie sociale en Hainaut.
Répartition de l’emploi par genre en province du Hainaut
Les femmes sont presque 3 fois plus présentes que les hommes dans l’économie sociale en Hainaut. L’emploi à temps partiel est aussi davantage une caractéristique de l’emploi féminin. La majorité des femmes travaillent à temps partiel, 67 % en Wallonie, tandis que les 3/4 des hommes sont occupés
à temps plein.
On relève également cette tendance dans l’économie classique: la proportion de femmes travaillant à temps partiel est supérieure à celle des hommes.
Répartition de l’emploi par secteur d’activité en province du Hainaut:
66,38 % des postes de travail dans l’économie sociale en Hainaut sont actifs dans le domaine de la santé. Celui-ci englobe les hôpitaux pour 34,88 % des emplois et le secteur de la santé humaine et l’action sociale pour 31,5 % des emplois.
Conclusion
L’emploi dans l’économie sociale progresse en province du Hainaut. Cependant, cette progression est contrastée, certains secteurs affichent une augmentation d’emplois et d’autres, une diminution. L’économie sociale n’est pas un secteur mais un ensemble de différentes organisations poursuivant l’ambition de placer l’être humain au centre de leurs activités.
Sources: l’ensemble des données ont été fournies par CONCERTes et résultent de l’ETATS DES LIEUX de l’économie sociale en 2015. Nous remercions tout particulièrement Monsieur le Secrétaire général Sébastien PEREAU
Jean-François CORNEZ
Hainaut Développement
+32 65 342 614
jean_francois.cornez@hainaut.be
La pollution est une vraie plaie pour les citadins, qui voient leur qualité de vie et leur santé affectées. Des innovations tentent de rendre l’air de ces agglomérations plus respirables.
Selon l’agence Santé publique France, la pollution atmosphérique en France entraîne une perte d’espérance de vie pouvant dépasser deux ans dans les villes les plus exposées, et provoque plus de 40.000 décès par an. Dans des pays comme la Chine ou l’Inde, la dégradation de la qualité de l’air est encore plus dramatique. Et les conséquences sur la santé publique, en toute logique, bien plus graves. Ainsi, en Inde, les décès liés à la pollution ont bondi de 737.400 en 1990 à 1,09 million en 2015.
Les autorités publiques ont naturellement leur part de responsabilités pour faire baisser cette pollution, en privilégiant des énergies vertes, en durcissant les normes environnementales pour l’industrie, en abaissant les vitesses de circulations ou encore en lançant des programmes d’incitation pour mettre au rebut les véhicules les plus anciens. Mais des designers, des cabinets d’architectes, des ingénieurs s’emparent également du problème et planchent sur des solutions, à plus petite échelle, qui pourraient participer à rendre l’air plus respirable. Tour d’horizon de ces innovations….
Source : Ces inventeurs qui veulent rendre l’air des villes aussi pur que celui des campagnes
L’ensemble de la population belge consomme chaque année un milliard de sacs en plastique, soit 98 sacs par personne, rapporte dimanche Het Nieuwsblad, sur la base d’une enquête effectuée par le service d’études de Groen.
Les frais liés à l’élimination de ces sacs à Bruxelles et en Flandre s’élèvent à 61,5 millions d’euros.
Depuis que les supermarchés ont mis fin en 2004 à la distribution de sacs jetables, l’utilisation de sacs en plastique a baissé de 89%. Quelque 4,5 tonnes de plastique ont pu être évitées. “Mais on peut en faire plus”, estime le parti écologiste flamand. “Il est grand temps d’instaurer une interdiction totale de ces sacs dans notre pays”, a indiqué la députée bruxelloise Annemie Maes….
Source : Les Belges utilisent chaque année 1 milliard de sacs en plastique – Environnement – LeVif.be
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Source : L’annuaire Build Green des écolieux français | Build Green
Dans le cadre de l’appel à projets « Prime’vert » organisé par la Région wallonne en début 2017, la Province de Hainaut par le biais de la Cellule technique de l’Environnement de Hainaut Développement a collaboré à la réalisation d’un projet d’aménagement d’un jardin communautaire à Mouscron.
Malgré la réponse négative obtenue par la Région wallonne (malheureusement à cause d’un document manquant), la commune a tenue à réaliser ce projet pour ses citoyens en tenant compte des plans d’aménagement réalisés par Hainaut Développement et de leurs moyens financiers, humains et techniques.
Ce jardin, toujours en cours d’améliorations supplémentaires, a vu éclore une dizaine de parcelles potagères, entretenues par les citoyens motivés de produire leurs propres fruits et légumes 100 % bio. Un futur poulailler y sera implanté ainsi que plusieurs plans de petits fruits qui serviront à délimiter les parcelles des jardiniers. De plus, grâce à l’action « Ipalle », un compostage communautaire verra bientôt le jour.
Bref un beau projet province/commune/citoyen mené à bien … 🙂
Quel est l’impact des néonicotinoïdes sur les abeilles, et plus généralement les insectes pollinisateurs, en conditions réelles ? Développés dans les années 1990, ces analogues synthétiques de la nicotine, neurotoxiques pour les insectes, sont largement utilisés comme pesticides dans l’agriculture de par le monde, car au-delà d’une certaine dose ingérée, ils entraînent une paralysie létale pour ces animaux. Parfois épandus sur les plantes en cas d’urgence, les néonicotinoïdes sont le plus souvent appliqués par enrobage des graines : lorsque la plante grandit, l’insecticide s’insère dans ses tissus et on le retrouve jusque dans son pollen, son nectar et même ses fluides de transpiration, ce qui protège la plante des insectes nuisibles à toutes les étapes de sa vie.
Ces vingt dernières années, de nombreuses expériences menées sur des abeilles ont montré que, à faible dose (supposé sous le seuil de létalité), les néonicotinoïdes ont divers effets sur ces insectes : ils perturbent leurs aptitudes cognitives, ce qui modifie leurs performances comportementales et fragilise la colonie. De plus, ils diminuent leurs défenses immunitaires, facilitant leur infection par des virus ou des parasites.
Toutefois, la plupart de ces recherches consistaient à exposer les abeilles à diverses doses de ces insecticides en laboratoire ou en conditions expérimentales, telles qu’un terrain cultivé de quelques dizaines de mètres carrés. Que se passait-il pour les abeilles et les pollinisateurs sauvages vivant près des champs cultivés ? Deux études en plein champ, à une échelle inédite et sur des temps longs, apportent quelques réponses. …
Source : Un cocktail de pesticides grandeur nature – Pour la Science
En effet, la Loi du 5 mars 2017 concernant le travail faisable et maniable entend moderniser le droit du travail et donne aux employeurs de nouvelles opportunités pour aménager la vie de leur entreprise. Dès lors, l’objectif est de rendre le travail plus faisable pour les travailleurs et plus maniable pour
les employeurs.
Quelles sont les principales mesures proposées par la Loi Peeters pour améliorer l’organisation du travail?
La petite flexibilité
La petite flexibilité permet à l’employeur d’adapter les horaires de travail en fonction des besoins de l’entreprise. Elle comporte, toutefois, deux limites:
- le nombre d’heures prestées par jour peut varier de 2 heures en plus ou en moins par rapport à l’horaire normal avec un maximum de 9 heures par jour;
- le nombre d’heures prestées par semaine peut varier de 5 heures en plus ou en moins par rapport à l’horaire normal avec un maximum de 45 heures par semaine (43 heures dans le secteur non marchand).
La loi prévoit de fixer la limite interne à 143 heures pour tous les secteurs. Cette limite peut être augmentée mais pas diminuée.
Pour ces heures, aucun sursalaire n’est dû si la durée hebdomadaire maximale de travail est respectée (par l’octroi de jours de repos compensatoires) sur la
période de référence, à savoir une année civile (ou une période de 12 mois). Il ne sera donc plus possible de prévoir une période plus courte.
Les heures supplémentaires
Avec la nouvelle loi, il est permis au travailleur de prester jusqu’à 100 heures supplémentaires par année civile. Une convention collective de travail peut
porter ce nombre à 360 heures maximum.
Ce dépassement ne peut se faire qu’à l’initiative du travailleur et avec son accord. Il n’est également possible que dans la mesure où l’employeur souhaite
faire prester ces heures.
Ces heures supplémentaires ne font pas l’objet d’une récupération mais bien d’un sursalaire.
Les horaires flottants
Les horaires flottants sont pratiqués depuis longtemps, mais aucune base légale ne les encadrait jusqu’ici. La réforme légalise enfin les horaires flottants.
Ils peuvent s’appliquer aux travailleurs à temps plein et aux travailleurs à temps partiel dont l’horaire est fixe. Ils ne sont, par contre, pas compatibles
avec un temps partiel à horaire variable.
Ils doivent être introduits par convention collective de travail ou règlement de travail et comporte des périodes fixes et des périodes variables. Durant
les périodes fixes, le travailleur doit obligatoirement être présent et à la disposition de l’employeur dans le respect de la durée du travail. Durant les
périodes variables, il peut choisir luimême le début et la fin de sa journée de travail, ainsi que ses moments de pause.
La durée de travail ne peut excéder 9 heures par jour et 45 heures par semaine.
Ces limites peuvent toujours être dépassées en cas de surcroit extraordinaire de travail, de nécessité imprévue des travaux, de réparations urgentes ou dans le cadre des heures supplémentaires volontaires.
En cas d’instauration d’un horaire flottant, un «système de suivi du temps» doit être mis en place pour chaque travailleur concerné.
Dans un tel système, le règlement de travail doit indiquer:
- le début et la fin des plages fixes et mobiles ainsi que la durée des intervalles de repos;
- la durée maximale de travail journalier et hebdomadaire;
- la durée journalière moyenne de travail;
- le début et la fin de la période de référence;
- les modalités et les conditions de récupérations;
- les sanctions en cas de non-respect des règles applicables à l’horaire flottant.
N’est pas considéré comme travail supplémentaire, le travail effectué dans le cadre des horaires flottants.
Pour le paiement de la rémunération, le travailleur a droit, à chaque période de paie, à la rémunération hebdomadaire moyenne de l’horaire flottant.
Si le travailleur n’a pas récupéré les heures qu’il a prestées en plus de la moyenne hebdomadaire au cours de la période de référence (ou dans les
3 mois qui suivent la période de référence), il ne pourra plus prétendre au repos et au paiement pour ces heures excédentaires effectuées, sauf dans l’hypothèse où les heures excédentaires auraient été faites à la demande de l’employeur.
Le télétravail occasionnel
Cette nouveauté ne s’applique qu’aux travailleurs du secteur privé.
Le télétravail occasionnel (il ne s’agit pas du télétravail tel que visé par la CCT n° 85) utilisé pour raisons personnelles (visite du chauffagiste, enfant malade, etc.) ou en cas de force majeure (grève, etc.) dispose désormais d’un cadre légal.
Le travailleur doit formuler sa demande à l’employeur dans un délai raisonnable et indiquer le motif. Ce n’est pas un droit absolu. L’employeur peut refuser la demande mais doit motiver par écrit la décision de son refus.
Le télétravailleur bénéficie des mêmes droits et obligations qu’au sein de l’entreprise. Il gère l’organisation de son travail dans le cadre de la durée du travail applicable dans l’entreprise. L’accord doit préciser ce qu’il en est de la mise à disposition de l’équipement et du support technique, de la disponibilité du travailleur et de la prise en charge de frais.
Le cadre dans lequel peut être demandé le télétravail peut être précisé dans une CCT ou dans le règlement de travail.
Les jours de formation
Les entreprises qui comptent au moins 10 travailleurs (par équivalent temps plein) doivent mettre en place 5 jours de formation en moyenne par équivalent temps plein et par an. Le résultat est global (= certains travailleurs auront plus ou moins de jours).
Un régime dérogatoire fixé par arrêté royal sera déterminé pour les employeurs occupant au moins 10 et moins de 20 travailleurs.
Cela n’entraîne pas de frais supplémentaires pour les employeurs.
Il faut noter que la loi distingue les formations formelles (externes) et les formations informelles (internes).
La mise en oeuvre de cette réforme peut se faire, soit au niveau du secteur, soit au niveau de l’entreprise.
La formation suivie peut se dérouler durant ou en dehors des heures de travail.
Quand la formation est suivie en dehors des heures de travail, les heures sont rémunérées normalement et donc sans sursalaire.
Si le travailleur n’a pas épuisé son crédit formation, le crédit est reporté l’année suivante.
Le travail à temps partiel
La gestion des travailleurs à temps partiel, qu’ils aient un horaire variable ou fixe, se simplifie avec la nouvelle loi.
A partir d’octobre 2017, le règlement de travail ne devra plus reprendre tous les régimes et tous les horaires fixes et variables des travailleurs.
Les horaires de travail à temps partiel fixes sont uniquement renseignés dans le contrat de travail du travailleur.
Quant aux horaires variables, le contrat de travail ne doit reprendre que le régime convenu et le règlement de travail doit préciser la plage journalière des prestations, les jours de prestations, la durée minimale et maximale des prestations ainsi que la manière et le délai suivant lesquels les travailleurs sont informés de leurs horaires.
Le contrat de travail précisera aussi l’ordre dans lequel les horaires journaliers sont prestés dans le cadre du travail à temps partiel fixe organisé par cycle.
Les horaires variables pourront être communiqués aux travailleurs via des «outils modernes de communication».
L’employeur a l’obligation de consigner toute dérogation à l’horaire à temps partiel dans un document de contrôle.
Le compte épargne carrière
Ce système permet au travailleur d’épargner du temps pour le convertir ultérieurement en jours de congé.
Un travailleur ne peut être obligé de participer à un régime d’épargne-carrière.
La mise en place requiert une CCT sectorielle, à défaut d’une CCT d’entreprise.
L’épargne est gérée par l’employeur, par une institution externe ou par un fonds de sécurité d’existence.
Le travailleur a droit au paiement intégral de son avoir d’épargne au moment où son contrat prend fin.
Le don de congés conventionnels
Il s’agit de la possibilité pour un travailleur qui dispose de congés conventionnels (il ne peut en aucun cas s’agir d’un don de congés légaux) dont il peut disposer librement d’y renoncer au bénéfice d’un autre travailleur de l’entreprise qui assume la charge d’un enfant âgé de moins de 21 ans atteint d’une maladie ou d’un handicap ou victime d’un accident d’une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants.
Le travailleur qui souhaite bénéficier du don doit en faire la demande à son employeur. Lorsqu’il bénéficie du don, il maintient sa rémunération.
Le groupement d’employeurs
Le groupement d’employeurs permet à plusieurs entreprises de se regrouper et de partager des travailleurs. La nouvelle loi en simplifie la procédure.
Ce sujet sera amplement détaillé lors de notre séance d’information du 21 septembre.
Pour conclure, cette réforme qui fait peur à de nombreux travailleurs a au moins le mérite de faire évoluer le monde du travail en lui offrant un cadre législatif.
Aussi bien les travailleurs que les entreprises peuvent tirer profit de cette nouvelle loi à condition qu’ils concluent ensemble de bons accords mutuels.
- 23 novembre 2017 Les contrats de remplacement (Plus d’infos prochainement sur notre site)
Wendy QUAIRIAUX
Hainaut Développement
+32 65 342 640
wendy.quairiaux@hainaut.be
Lundi soir, rue Albert Allard où il régnait un petit air de fête des voisins, des habitants ont pris part au lancement d’un «espace comestible».
Source : A Tournai: nourriture à partager pour rue devenue comestible – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net
L’électro-herbicide est utilisé au Brésil depuis de nombreuses années et un essai a eu lieu le mois dernier dans le canton de Soleure. Le prototype qui a été testé début juin à Biezwil est un tracteur équipé d’un générateur à l’arrière et de deux rangées de spatules métalliques montées sur l’attelage frontal. Le système envoie dans le sol une décharge électrique de 5000 à 15’000 volts, qui fait éclater les vaisseaux des plantes avant de retourner au générateur.
Rentabilité et durabilité comme objectifs
C’est suite au succès brésilien de cette approche, qui se veut rentable et durable, que le groupe Zasso a pris la décision de déployer et d’affiner la technologie en Europe. “Elle répond à une demande non seulement des agriculteurs, qui cherchent à travailler autrement, mais aussi des consommateurs qui cherchent à mettre de plus en plus de durable dans leur consommation”, explique l’un des directeurs du groupe Benjamin Ergas….
Source : Un système de désherbage électrique suisse pour remplacer le glyphosate – rts.ch – Sciences-Tech.
Tour d’inspiration très réussi à Berlin dans le cadre du projet INTERREG PROGRES avec les entrepreneurs du Nord de la France, de la Wallonie et de la Flandre!
Merci à tous de votre implication et bonne humeur!