Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Le climat se réchauffe. Si on ne fait rien, le réchauffement pourrait atteindre plus de 4°C. Pendant ce temps, en Belgique, des milliards d’euros sont toujours investis dans les énergies fossiles, la cause première de ce réchauffement.

Nous, étudiant(e)s, bruxellois(e)s, wallon(ne)s et flamand(e)s, nous demandons à nos universités de faire en sorte que leurs banques arrêtent d’investir l’argent qu’elles leur ont confié dans les énergies fossiles. Une des responsabilités de nos universités vis-à-vis de la société est de tourner le dos aux énergies fossiles pour permettre un futur durable et renouvelable.

Cet appel arrive à un moment crucial. L’accord de Paris est entré en vigueur depuis 6 mois maintenant, mais le temps imparti pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C fond comme neige au soleil. Si la quantité actuelle d’émissions est maintenue, la limite de 1,5°C sera atteinte dans 8 ans . Il est impératif d’agir ici et maintenant pour avoir une chance réelle d’éviter les effets les plus catastrophiques du changement climatique.

Pour cela, 85% des réserves d’énergies fossiles doivent rester sous terre. Et une partie des réserves d’énergies fossiles déjà exploitée devra être abandonnée. Si – et seulement si – ces mesures sont prises, nous aurons alors 50% de chances de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C….

Source : Universités, pour le climat, désinvestissez des énergies fossiles ! – Environnement – LeVif.be

La Région wallonne déploie son nouveau système d’aides.

Depuis mi-mars, la Région wallonne déploie son nouveau système d’aides dites de premier niveau (bourses de préactivité, primes à la transformation numérique, etc.), sous forme de chèques numériques (www.cheques-entreprises.be). Cette réforme est largement saluée pour ses objectifs de simplicité et de rapidité (décision sur un dossier en 5 jours), par rapport à un ancien système avec des délais de traitement souvent supérieurs à un an.

Toutefois, spécifiquement pour les primes e-business et Rentic (aides à des consultants e-business agréés, remplacées par des chèques à la transformation numérique), le règlement du « passif » génère encore pas mal d’interrogations et de grogne parmi les intéressés. Certains nous ont fait part d’un manque de transparence et dès lors d’un sentiment d’arbitraire dans la liquidation de dossiers de 2016 qui traînent parfois depuis plus d’un an. Il faut savoir que les primes Rentic étaient devenues un business en soi pour certains consultants, les montants dépassant parfois allègrement les 100.000 euros.

Le cabinet du ministre régional de l’économie Jean-Claude Marcourt veut calmer le jeu : «  un seul cas litigieux est problématique. Pour le reste, les 150 derniers dossiers en attente seront analysés, traités et décidés d’ici le 30 juin 2017 au plus tard.  » Le ministre avait octroyé une rallonge budgétaire de 1,5 million en novembre dernier. «  Il n’y a aucune tension à ce niveau  » nous précise son porte-parole. Dont acte.

Avis aux créatifs

La Wallonie invite toutes les bonnes volontés à « fabriquer l’innovation »….

Source : Le «passif» de la réforme des aides wallonnes | Entrepreneuriat – lesoir.be

D’Estaimpuis à Chimay, peu de zones de notre province échappent à la pression des développeurs éoliens. Le Hainaut compte aujourd’hui 107 éoliennes, réparties dans une quinzaine de parcs. C’est un tiers de ce que compte la Wallonie. Mais ce sont encore une trentaine de projets hennuyers qui se trouvent dans les cartons des opérateurs : certains n’en sont encore qu’au stade de l’étude d’incidence, mais d’autres sont déjà en cours de concrétisation. La Wallonie doit en fait répondre à des objectifs européens en matière d’énergie éolienne : elle s’est engagée à en produire 1250 Mégawatts d’ici 2020, 2000 d’ici 2030, alors qu’elle en produit aujourd’hui 750. Nous vous avons recensé les différents parcs éoliens hennuyers sur une carte interactive, en fonction de leur état d’avancement: en bleu, les projets existants; en jaune, les projets soumis à une étude d’incidence; en violet, les projets en demande de permis; en rouge, les projets qui font l’objet d’un recours; en vert, les projets autorisés ou en construction. (source: Facilitateur énergies renouvelables). Cette liste est arrêtée au 31 décembre 2016, et n’est donc pas exhaustive. Elle ne comprend pas non plus les projets frontaliers, côté flamand (Herne, Avelgem…) ou côté français. …

Source : Quels projets éoliens près de chez vous? Notre carte interactive du Hainaut

La Belgique a atteint en 2016 un taux de recyclage de ses emballages ménagers de 87,4%, indique lundi l’asbl Fost Plus qui prend en charge la collecte, le tri et le recyclage. Ce qui assure à la Belgique un “statut de leader européen” à cet égard, selon Fost Plus.

Au cours de l’année écoulée, l’asbl annonce aussi avoir poursuivi son objectif d’élargissement de la collecte des emballages plastiques, ainsi que celui de la lutte contre les déchets sauvages.

Outre le taux de recyclage, Fost Plus se félicite aussi du taux de valorisation qui s’élève à 90% en 2016.

Enfin, les recettes issues de la vente de matériaux sont passées de 60,4 millions d’euros à 59,6 millions (-1,3%). Cette baisse est attribuée principalement à la diminution des revenus générés par le PET recyclés dont les prix ont atteint un niveau particulièrement bas.

Fost Plus a, en outre, décidé de lancer une étude stratégique sur le système de collecte, de tri et de recyclage des déchets d’emballages ménagers devant déboucher sur un plan d’actions permettant d’améliorer le système.

Le projet-test lancé l’an dernier pour une collecte élargie des emballages en plastique et qui a vu, dans six communes, le sac bleu remplacé par un sac mauve, permettant de collecter de nouveaux plastiques rigides, s’est révélé prometteur, selon…

Les coûts opérationnels liés à la collecte sélective et au recyclage ont augmenté en 2016 en raison, notamment, des moyens supplémentaires libérés dans le cadre de la lutte contre les déchets sauvages, note encore l’asbl.

Source : La Belgique leader européen du recyclage – Environnement – LeVif.be

Département français disposant de la plus grande frontière avec la Belgique, le Département du Nord s’est investi depuis près de trente ans dans une coopération riche et multiple avec ses partenaires voisins belges.
Le 12 décembre dernier, les élus départementaux ont réaffirmé par une délibération-cadre leur volonté de renforcer la dynamique de coopération transfrontalière pour relever, avec l’ensemble des acteurs, les défis qui leur sont communs : construire des territoires attractifs et prospères et assurer le mieux être
des populations.
Ainsi, ils ont acté le principe d’une nouvelle stratégie départementale de coopération transfrontalière avec deux ambitions fortes, correspondant au rôle du Département de chef de file des solidarités humaines et territoriales :

  • l’amélioration des conditions de vie des habitants, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale, l’accès à l’emploi, la santé et l’accès aux services au public ;
  • l’attractivité et l’aménagement durable des territoires, avec une attention particulière au développement des territoires les plus vulnérables, urbains comme ruraux.

Cette nouvelle stratégie sera présentée le 3 juillet 2017 en séance plénière du Conseil départemental. Pour en préciser les orientations et la décliner en actions concrètes, le Département du Nord souhaite engager une large concertation avec les acteurs de la coopération transfrontalière franco-belge.

Dans cette perspective, participez à  la rencontre territoriale prochaine du Hainaut-Cambrésis le :

Mercredi 10 mai 2017 de 14h à 17h
Collège Jean Lemaire de Belges – salle polyvalente
28, rue du Vieux chemin – 59570 BAVAY

Programme : 

  • 14h45 Coopérer demain : quelles perspectives ? Quelles orientations ?

    Gérald MOORTGAT, Vice-président du Collège provincial du Hainaut chargé de
    l’Economie, l’Agriculture, l’Environnement et la Santé

    Arnaud DECAGNY, Vice-Président du Conseil départemental du Nord chargé
    des Infrastructures et du Transport

  • 15h05 Echange avec la salle
  • 5h20 Pause
  • 15h30 Deux ateliers de co-production : quelles pistes d’actions pour relever les
    enjeux de développement du territoire transfrontalier ?

    • inclusion sociale, accès à l’emploi, santé, sport, alimentation, éducationformation,
      jeunesse, personnes âgées…
    • développement territorial durable, environnement, tourisme, culture, projets
      urbains, ruralité, accès aux services au public, voirie, mobilité…
  • 16h30 Restitution des ateliers
  • 16h50 Conclusion
    Sylvie LABADENS, Vice-Présidente du Conseil départemental du Nord chargée
    des Relations internationales et Relations européennes
    Gérald MOORTGAT, Vice-président du Collège provincial du Hainaut chargé de
    l’Economie, l’Agriculture, l’Environnement et la Santé (sous réserve)
  • 17h00 Fin de la rencontre

En présence de Marie Christine Marghem (MR), ministre fédérale de l’Energie, de l’Environnement et du Développement durable, ce projet pilote a été lancé jeudi matin à l’école des Frères à Tournai.

À ‘initiative du service Changements climatiques du SPF Santé et de l’association GoodPlanet, ces douze “coachs climat”, six francophones et six néerlandophones, ont reçu une formation intensive d’une semaine. Il s’agit de jeunes diplômés universitaires ayant un talent de communication et une formation dans les domaines de l’environnement et de la pédagogie. À leur tour, ils animeront en 2017 les classes du 3e secondaire de 300 établissements scolaires, dans toute la Belgique, à raison de 2h par classe.

Un outil informatique

Pour ce faire, ces coachs utiliseront l’outil web My2050 (www.my2050.be). Cet outil interactif a pour objectif de stimuler un débat sociétal su…

Source : Tournai: douze coachs pour sensibiliser les jeunes à l’environnement

A Charleroi, la société de logements publics La Sambrienne rénove en profondeur une cité des années 50. Amélioration énergétique d’immeubles existants et construction de nouvelles habitations. La phase 1 a été confiée à l’association de deux bureaux d’architecture du Hainaut.

A Charleroi, la cité du Centenaire vient d’achever la première phase de sa modernisation, sa mue même, devrait-on dire : elle s’impose en effet comme le premier écoquartier d’habitations sociales du Hainaut.

Porté par la société publique La Sambrienne, le projet s’articule d’une part sur la rénovation énergétique d’immeubles d’appartements datant de la fin des années cinquante, de l’autre sur la construction de nouveaux logements certifiés passifs. Lauréate d’un concours européen d’architecture lancé à la fin 2012, l’association Startech Management group, où interviennent le bureau d’architectes Marcel Barattucci (Charleroi) et la SPRL Architecture et Création de Nathalie Abrassart (Mons), a relevé le défi d’exploiter les atouts de la situation géographique, de l’offre de mobilité en transports en commun et de la proximité des services et commerces pour inscrire cet ensemble résidentiel dans l’esprit du développement durable. Ce qui a valu au projet de représenter la Wallonie en novembre dernier lors de la 22e  conférence mondiale sur le climat, la COP 22, à Marrakech.

C’est en 1957 que la cité du Centenaire voit le jour. Elle est l’œuvre de l’architecte Victor Bourgeois qui l’imagine sur le modèle de la cité-jardin. Vingt ans plus tard après le premier choc pétrolier, les façades des immeubles sont couvertes de plaques d’amiante, une intervention qui « défigure »…

Source : La cité du Centenaire devient écoquartier | Immo – lesoir.be

PEFC et FSC, deux labels de forêt certifiée, occupent le terrain en Belgique. Une demande qui croît, mais qui est encore limitée par une offre locale trop faible. Une campagne débute aujourd’hui.

Savez-vous si le bois de votre terrasse a été coupé légalement et n’a pas contribué à la déforestation ? Les planches de votre table viennent-elles d’une forêt gérée « durablement », par une entreprise respectant les droits des travailleurs et des communautés locales ? Deux labels, chez nous, apportent une quasi-garantie que le bois estampillé peut-être considéré comme « durable » car il respecte l’homme et la biodiversité et n’hypothèque pas l’avenir. FSC et PEFC : le premier surtout présent en Flandre et à Bruxelles. Le second implanté en Wallonie. Tous deux cherchent à mieux se faire connaître. C’est le sens de la campagne que lance ce mardi le « Forest Stewardship Council », soutenu par Greenpeace et le WWF. En 2016, selon une étude commanditée par la Coopération technique belge (CTB), 42 % de la population connaissaient le FSC. Et 71 % des consommateurs indiquaient que celui-ci aurait une influence sur le choix de leurs achats.

La connaissance des labels progresse, mais elle n’est pas aussi élevée que chez nos voisins (plus de 50 % aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne). Chacun des deux labels multiplie les actions d’information du public en s’appuyant notamment sur la grande distribution, les jardineries, les magasins de meubles et les magasins de bricolage.

« Le bois est renouvelable et écologique à condition que les forêts soient…

Source : Le bois durable doit encore progresser – lesoir.be

En Suède, un centre commercial un peu particulier a ouvert ses portes en 2015. Nommé le ReTuna Återbruksgalleria, celui-ci ne propose à la vente que des produits recyclés.Les centres commerciaux sont le paradis des accros du shopping en quête des derniers produits tendance. Dans ces lieux, où les magasins se comptent par dizaine voire par (…)> Lire la suite

Source : Suède : un centre commercial dédié aux produits recyclés – Reponse Conso

Une des préoccupations de l’Union européenne est d’améliorer, de jours en jours, la sécurité alimentaire et de renforcer la protection du consommateur. En effet, la libre circulation des produits alimentaires et le marché commun nécessitent des règles communes pour le bien des Européens. En application depuis le 13 décembre 2014 mais obligatoire depuis le 13 décembre 2016 (dernière échéance), le règlement européen n° 1169/2011 renforce la politique européenne d’étiquetage en informant davantage le consommateur sur les produits alimentaires.
Celui-ci s’impose à l’ensemble des entreprises agroalimentaires d’Europe opérant à toutes les étapes de la chaîne alimentaire et à toutes les denrées alimentaires destinées au consommateur final et aux collectivités.

Les changements

Ce nouveau règlement INCO (pour INformation au COnsommateur) porte essentiellement sur la présentation des informations à fournir aux consommateurs et rend obligatoire la déclaration nutritionnelle pour tous les produits alimentaires préemballés.
Certaines mentions (12) demeurent obligatoires comme la dénomination de vente, la liste des ingrédients, la quantité de certains ingrédients, les conditions de conservation et d’utilisation, le nom et l’adresse du fabricant, du conditionneur et/ou du vendeur, le pays d’origine ou le lieu de provenance, la date limite d’utilisation optimale (qui devient la date de durabilité minimale) ou date limite de consommation, le mode d’emploi conseillé, la quantité nette du produit et le titre alcoométrique pour les boissons alcoolisées de plus d’1,2 % d’alcool1.
Depuis le 13 décembre 2014, 4 changements se sont opérés:
l’indication d’allergènes, déjà obligatoire, est reconnaissable et mise en évidence par rapport aux autres composants;
la mention du pays d’origine ou du lieu de provenance s’étend notamment à tout type de viandes fraîches, congelées ou réfrigérées;
des mentions obligatoires sont disponibles
la déclaration nutritionnelle est devenue obligatoire le 13 décembre 2016 pour les denrées alimentaires destinées au consommateur final. Cette déclaration reprend la valeur énergétique, les matières grasses, les glucides, les protéines et le sel.

Les exemptés de déclaration nutritionnelle

Même si la déclaration d’allergènes reste obligatoire, certaines denrées alimentaires ne sont pas soumises à la déclaration nutritionnelle2. C’est le cas notamment pour:
les denrées alimentaires emballées mais destinées à une vente immédiate;
les denrées non transformées «qui comprennent un seul ingrédient ou une seule catégorie d’ingrédients»3;
et les denrées alimentaires vendues par les petits producteurs, «y compris de fabrication artisanale, fournies directement par le fabricant en faibles quantités (4 personnes travaillant à temps plein4) au consommateur final ou à des établissements de détail locaux fournissant directement le consommateur final»5.

Une meilleure lecture

Outre ces 12 mentions obligatoires, depuis le 13 décembre 2014, pour tous les Etats membres, les denrées alimentaires doivent présenter objectivement ces informations de manière claire, visible et indélébile. Dorénavant, grâce à l’harmonisation et la simplification de l’étiquetage nutritionnel, le consommateur sera à même de comparer les informations fournies. Il profite d’une meilleure visibilité ce qui pourrait, en théorie, l’inciter à se diriger vers une alimentation plus saine et de qualité.

Les spécificités nationales

Face à ce règlement européen, chaque Etat membre a la possibilité de soumettre des mesures nationales complémentaires, pour autant qu’elles n’entravent pas le libre échange au seinde l’Union européenne. De nombreuses législations peuvent donc exister, divergentes d’un pays à l’autre, notamment au niveau de l’usage des langues, de certaines dénominations de vente et des dispositions pour l’application de transfrontalier, l’étiquetage alimentaire peut être un vrai casse-tête. Entre les règlementations européennes et les législations nationales, ce n’est pas toujours facile de s’y retrouver.

Dans quelle langue?

Le règlement européen stipule que les mentions obligatoires doivent être reprises «dans une langue facilement compréhensible par le consommateur des Etats membres où la denrée est commercialisée»4bis. Les Etats membres sont libres d’imposer une ou plusieurs langues sur leur territoire. C’est pourquoi, en Belgique, la loi du 24 janvier 1977 prévoit l’usage de la ou des langues de la région linguistique où les denrées alimentaires sont vendues. En France, la loi du 4 août 1994 impose l’utilisation de la langue française.

Dispositions particulières belges pour les denrées alimentaires non préemballées

Suite à la nouvelle législation européenne, la Belgique a défini, dans un arrêté royal datant du 17 juillet 2014, des dispositions en matière de déclaration de certaines substances ou certains produits provoquant des allergies ou intolérances pour les denrées alimentaires non préemballées6. Ces informations peuvent être transmises oralement sur demande du consommateur selon une procédure spécifique disponible sur le lieu de vente. C’est pourquoi, le personnel des supermarchés, des restaurants ou des cantines doit être capable de renseigner le consommateur à ce sujet.
Deux phases tests de l’autre côté de la frontière
Depuis le 1er janvier 2017, le gouvernement français a proposé un décret7 pour tester de nouvelles dispositions quant à l’obligation d’indication du pays d’origine de la viande dans les plats préparés et du lait dans les produits laitiers à partir d’un certain seuil (minimum 8 % de viande et 50 % de lait). De plus, en complément de la déclaration obligatoire, le règlement laisse le choix aux Etats membres d’utiliser ou non un mode de présentation. Dès lors, la France teste un affichage nutritionnel simplifié (non obligatoire) pour permettre au consommateur de mieux comprendre cette déclaration grâce à des représentations graphiques ou des symboles.
Les infimes disparités d’étiquetage entre le France et la Belgique sont ainsi complémentaires au règlement mais nécessitent davantage d’attention de la part des professionnels de la filière.

Prochainement, et dans le cadre du projet «Filière AD-T» des séances d’informations sur l’étiquetage européen seront organisées de part et d’autre de la frontière avec la présence d’experts pour répondre à vos questions.

Si cette thématique vous intéresse, contactez-nous.

www.filiere-adt.eu

1 SPF Economie, PME, Classes moyennes et Energie, 2017 2 Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire, 2016 3 DiversiFerm, 2017 4 Document interprétatif du SPF Santé publique, SPF Economie et AFSCA, mai 2016 5-4bis Règlement UE 1169/2011 6 Arrêté royal du 17 juillet 2014 7Décret n°2016-1137 du 19 août 2016 https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2016/8/19/AGRT1607764D/jo/texte

Laurie DILBECK
Hainaut Développement
+32 65 342 621
laurie.dilbeck@hainaut.be

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