Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

La Semaine Européenne du Développement Durable (SEDD) a lieu du 30 mai au 5 juin. Cette initiative entend promouvoir les activités organisées aux quatre coins de l’Europe qui mettent à l’honneur le développement durable.

Vous êtes en charge d’une activité, d’un évènement ou d’un projet qui soutient d’une façon ou d’une autre le développement durable ou les SDG ? Ou vous vous demandez ce qui se fait dans d’autres pays ? Jetez alors un œil au site Internet de la SEDD (link is external) et inscrivez votre initiative !

Source : Coup d’envoi de la Semaine Européenne de Développement Durable | sdgs

Si les batteries des voitures électriques sont devenues bien plus performantes, certains constructeurs pensent à d’autres solutions pour les améliorer.

Qualcomm Technologies, surtout connut pour ses processeurs pour smartphone et pour son rôle dans le déploiement de la 4G et bientôt de la 5G, mais l’entreprise est active dans d’autres domaines, notamment dans celui des voitures électriques.

Si les batteries ont bien évolué, il faut trouver des solutions alternatives pour permettre aux voitures de dépasser les autonomies actuelles. À titre d’exemple, les Model S et Model X de Tesla arrivent à rouler plus de 500Km sur une seule recharge, mais il faut toujours plusieurs heures pour effectuer une recharge complète.

L’idée est donc ici de mettre les routes à contribution, avec ce projet nommé “Halo”. Équipées de cellule à induction, elles transmettent directement de l’énergie aux voitures qui peuvent ainsi consommer moins sur leurs batteries et prolonger l’autonomie. Une fois à l’arrêt, la voiture se recharge automatiquement.

Des tests sur le sol français

Les premiers tests sont en cours en France, où une fausse route de quelques centaines de mètres …

Source : Une route capable de recharger les voitures électriques

Un club d’entomologistes allemands a mesuré scientifiquement les insectes dans une réserve naturelle située au nord-ouest de l’Allemagne de 1989 à 2013. Elle a ainsi constaté une baisse de leur nombre de 78% en 24 ans. Les résultats de leur recherche ont été publiés dans “Science“, indique mardi Natuurpunt (homologue flamand de Natagora).

Le club allemand a utilisé, pour sa recherche, la technique dite du “piège malaise“. Ressemblant à une tente, tous les insectes qui s’y aventurent par hasard atterrissent dans une solution alcoolisée. Alors qu’en 1989, de un à un kilo et demi d’insectes étaient ainsi attrapés dans les prés fleuris, seuls 300 grammes ont été capturés en 2013. La diversité s’est également amenuisée: en 1989, 143 espèces de syrphes (famille de mouches) étaient observées contre 104 en 2013.

Pour Wim Veraghtert de Natuurpunt, les changements dans l’utilisation des terres et la perte de l’habitat expliquent notamment cette baisse….

Source : Le nombre d’insectes a baissé de 78% depuis 1989

Près de 90.000 entreprises créées en 2016. Un taux de survie en hausse. Quelques bémols.

L’Atlas du créateur compilé chaque printemps par l’entreprise d’études de marché Graydon et les organisations de défense des classes moyennes Unizo et UCM est devenu en quelques années un outil statistique incontournable pour prendre le pouls de l’entrepreneuriat en Belgique. Et les nouvelles sont plutôt bonnes…

En hausse en Wallonie aussi

« L’entrepreneur belge en devenir a visiblement retrouvé son appétit. 2016 marque un nouveau record avec une augmentation de 8,7 % du nombre de créations d’entreprises (1), » se réjouit Eric Van den Broele, responsable de l’étude chez Graydon. Cette augmentation est constatée dans toutes les régions, même en Wallonie (+4,9 %) après quatre années de stagnation. La progression wallonne reste toutefois en deçà de celle de la Flandre (+7,2 %) et Bruxelles (+6,7 %). Bruxelles reste proportionnellement la ville la plus dynamique sur ce point.

Petite curiosité en 2016 : l’explosion des sociétés dont le siège principal est basé à l’étranger (+59 %), bien que celles-ci ne représentent “que” 5.500 sociétés. « On ne se l’explique pas encore. Une conséquence du Brexit ? Cela paraît trop tôt… », admet Eric Van den Broele. Une hypothèse pourrait être la multiplication de petites sociétés liées à l’e-commerce ou à l’économie “participative”. Conjuguée à un contexte global favorable, où pas mal d’entreprises internationales ont des excédents de cash et n’hésitent pas à investir dans une représentation ou un bureau de vente au cœur de l’Europe.

Le taux de croissance nette des entreprises belges – le solde entre les créations et les cessations (notons à cet égard que les faillites représentent moins de 20 % des disparitions) – a atteint 2,10 % en 2016, contre 1,57 % en 2015 et 0,27 % en 2014.

© Le Soir.

Tournant pour les sociétés

« 2016 peut en outre être considérée comme….

Source : Un nouveau record de créations d’entreprises | Entrepreneuriat – lesoir.be

La PME écossaise bat les grandes multinationales sur le marché de l’énergie marémotrice

Voir l’article : http://een.ec.europa.eu/succes-story/scottish-sme-beats-big-multinationals-tidal-energy-market

Source : Enterprise Europe Network

Le climat se réchauffe. Si on ne fait rien, le réchauffement pourrait atteindre plus de 4°C. Pendant ce temps, en Belgique, des milliards d’euros sont toujours investis dans les énergies fossiles, la cause première de ce réchauffement.

Nous, étudiant(e)s, bruxellois(e)s, wallon(ne)s et flamand(e)s, nous demandons à nos universités de faire en sorte que leurs banques arrêtent d’investir l’argent qu’elles leur ont confié dans les énergies fossiles. Une des responsabilités de nos universités vis-à-vis de la société est de tourner le dos aux énergies fossiles pour permettre un futur durable et renouvelable.

Cet appel arrive à un moment crucial. L’accord de Paris est entré en vigueur depuis 6 mois maintenant, mais le temps imparti pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°C fond comme neige au soleil. Si la quantité actuelle d’émissions est maintenue, la limite de 1,5°C sera atteinte dans 8 ans . Il est impératif d’agir ici et maintenant pour avoir une chance réelle d’éviter les effets les plus catastrophiques du changement climatique.

Pour cela, 85% des réserves d’énergies fossiles doivent rester sous terre. Et une partie des réserves d’énergies fossiles déjà exploitée devra être abandonnée. Si – et seulement si – ces mesures sont prises, nous aurons alors 50% de chances de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C….

Source : Universités, pour le climat, désinvestissez des énergies fossiles ! – Environnement – LeVif.be

La Région wallonne déploie son nouveau système d’aides.

Depuis mi-mars, la Région wallonne déploie son nouveau système d’aides dites de premier niveau (bourses de préactivité, primes à la transformation numérique, etc.), sous forme de chèques numériques (www.cheques-entreprises.be). Cette réforme est largement saluée pour ses objectifs de simplicité et de rapidité (décision sur un dossier en 5 jours), par rapport à un ancien système avec des délais de traitement souvent supérieurs à un an.

Toutefois, spécifiquement pour les primes e-business et Rentic (aides à des consultants e-business agréés, remplacées par des chèques à la transformation numérique), le règlement du « passif » génère encore pas mal d’interrogations et de grogne parmi les intéressés. Certains nous ont fait part d’un manque de transparence et dès lors d’un sentiment d’arbitraire dans la liquidation de dossiers de 2016 qui traînent parfois depuis plus d’un an. Il faut savoir que les primes Rentic étaient devenues un business en soi pour certains consultants, les montants dépassant parfois allègrement les 100.000 euros.

Le cabinet du ministre régional de l’économie Jean-Claude Marcourt veut calmer le jeu : «  un seul cas litigieux est problématique. Pour le reste, les 150 derniers dossiers en attente seront analysés, traités et décidés d’ici le 30 juin 2017 au plus tard.  » Le ministre avait octroyé une rallonge budgétaire de 1,5 million en novembre dernier. «  Il n’y a aucune tension à ce niveau  » nous précise son porte-parole. Dont acte.

Avis aux créatifs

La Wallonie invite toutes les bonnes volontés à « fabriquer l’innovation »….

Source : Le «passif» de la réforme des aides wallonnes | Entrepreneuriat – lesoir.be

D’Estaimpuis à Chimay, peu de zones de notre province échappent à la pression des développeurs éoliens. Le Hainaut compte aujourd’hui 107 éoliennes, réparties dans une quinzaine de parcs. C’est un tiers de ce que compte la Wallonie. Mais ce sont encore une trentaine de projets hennuyers qui se trouvent dans les cartons des opérateurs : certains n’en sont encore qu’au stade de l’étude d’incidence, mais d’autres sont déjà en cours de concrétisation. La Wallonie doit en fait répondre à des objectifs européens en matière d’énergie éolienne : elle s’est engagée à en produire 1250 Mégawatts d’ici 2020, 2000 d’ici 2030, alors qu’elle en produit aujourd’hui 750. Nous vous avons recensé les différents parcs éoliens hennuyers sur une carte interactive, en fonction de leur état d’avancement: en bleu, les projets existants; en jaune, les projets soumis à une étude d’incidence; en violet, les projets en demande de permis; en rouge, les projets qui font l’objet d’un recours; en vert, les projets autorisés ou en construction. (source: Facilitateur énergies renouvelables). Cette liste est arrêtée au 31 décembre 2016, et n’est donc pas exhaustive. Elle ne comprend pas non plus les projets frontaliers, côté flamand (Herne, Avelgem…) ou côté français. …

Source : Quels projets éoliens près de chez vous? Notre carte interactive du Hainaut

La Belgique a atteint en 2016 un taux de recyclage de ses emballages ménagers de 87,4%, indique lundi l’asbl Fost Plus qui prend en charge la collecte, le tri et le recyclage. Ce qui assure à la Belgique un “statut de leader européen” à cet égard, selon Fost Plus.

Au cours de l’année écoulée, l’asbl annonce aussi avoir poursuivi son objectif d’élargissement de la collecte des emballages plastiques, ainsi que celui de la lutte contre les déchets sauvages.

Outre le taux de recyclage, Fost Plus se félicite aussi du taux de valorisation qui s’élève à 90% en 2016.

Enfin, les recettes issues de la vente de matériaux sont passées de 60,4 millions d’euros à 59,6 millions (-1,3%). Cette baisse est attribuée principalement à la diminution des revenus générés par le PET recyclés dont les prix ont atteint un niveau particulièrement bas.

Fost Plus a, en outre, décidé de lancer une étude stratégique sur le système de collecte, de tri et de recyclage des déchets d’emballages ménagers devant déboucher sur un plan d’actions permettant d’améliorer le système.

Le projet-test lancé l’an dernier pour une collecte élargie des emballages en plastique et qui a vu, dans six communes, le sac bleu remplacé par un sac mauve, permettant de collecter de nouveaux plastiques rigides, s’est révélé prometteur, selon…

Les coûts opérationnels liés à la collecte sélective et au recyclage ont augmenté en 2016 en raison, notamment, des moyens supplémentaires libérés dans le cadre de la lutte contre les déchets sauvages, note encore l’asbl.

Source : La Belgique leader européen du recyclage – Environnement – LeVif.be

Département français disposant de la plus grande frontière avec la Belgique, le Département du Nord s’est investi depuis près de trente ans dans une coopération riche et multiple avec ses partenaires voisins belges.
Le 12 décembre dernier, les élus départementaux ont réaffirmé par une délibération-cadre leur volonté de renforcer la dynamique de coopération transfrontalière pour relever, avec l’ensemble des acteurs, les défis qui leur sont communs : construire des territoires attractifs et prospères et assurer le mieux être
des populations.
Ainsi, ils ont acté le principe d’une nouvelle stratégie départementale de coopération transfrontalière avec deux ambitions fortes, correspondant au rôle du Département de chef de file des solidarités humaines et territoriales :

  • l’amélioration des conditions de vie des habitants, en mettant l’accent sur l’inclusion sociale, l’accès à l’emploi, la santé et l’accès aux services au public ;
  • l’attractivité et l’aménagement durable des territoires, avec une attention particulière au développement des territoires les plus vulnérables, urbains comme ruraux.

Cette nouvelle stratégie sera présentée le 3 juillet 2017 en séance plénière du Conseil départemental. Pour en préciser les orientations et la décliner en actions concrètes, le Département du Nord souhaite engager une large concertation avec les acteurs de la coopération transfrontalière franco-belge.

Dans cette perspective, participez à  la rencontre territoriale prochaine du Hainaut-Cambrésis le :

Mercredi 10 mai 2017 de 14h à 17h
Collège Jean Lemaire de Belges – salle polyvalente
28, rue du Vieux chemin – 59570 BAVAY

Programme : 

  • 14h45 Coopérer demain : quelles perspectives ? Quelles orientations ?

    Gérald MOORTGAT, Vice-président du Collège provincial du Hainaut chargé de
    l’Economie, l’Agriculture, l’Environnement et la Santé

    Arnaud DECAGNY, Vice-Président du Conseil départemental du Nord chargé
    des Infrastructures et du Transport

  • 15h05 Echange avec la salle
  • 5h20 Pause
  • 15h30 Deux ateliers de co-production : quelles pistes d’actions pour relever les
    enjeux de développement du territoire transfrontalier ?

    • inclusion sociale, accès à l’emploi, santé, sport, alimentation, éducationformation,
      jeunesse, personnes âgées…
    • développement territorial durable, environnement, tourisme, culture, projets
      urbains, ruralité, accès aux services au public, voirie, mobilité…
  • 16h30 Restitution des ateliers
  • 16h50 Conclusion
    Sylvie LABADENS, Vice-Présidente du Conseil départemental du Nord chargée
    des Relations internationales et Relations européennes
    Gérald MOORTGAT, Vice-président du Collège provincial du Hainaut chargé de
    l’Economie, l’Agriculture, l’Environnement et la Santé (sous réserve)
  • 17h00 Fin de la rencontre
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