Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Les producteurs laitiers italiens doivent désormais indiquer l’origine des matières premières utilisées sur les étiquettes de leurs produits, y compris pour le fromage. Un article de notre partenaire, Italia Oggi.

Les producteurs transalpins sont désormais obligés d’indiquer l’origine des matières premières utilisées dans leurs produits laitiers et fromagers, directement sur les étiquettes de ces derniers. Cette mesure concerne notamment le lait UHT, le beurre, les yaourts, la mozzarella, les fromages et les laitages.

L’obligation, qui découle d’un décret interministériel du 9 décembre 2016, s’applique au lait de vache, de brebis, de chèvre, de bufflonne et de toute autre origine animale. Ainsi, l’origine du lait devra être indiquée sur l’étiquette de manière claire et visible, soit avec la mention du pays de traite, soit avec celle du pays de conditionnement ou de transformation.

Si le lait est extrait, conditionné et transformé dans le même pays, et ce, même lorsqu’il est utilisé comme simple ingrédient d’un produit laitier ou fromager, une seule mention s’appliquera. Par exemple, on pourra lire sur une confection de mozzarella produite entièrement en Italie : « Origine du lait : Italie. »

En revanche, si les phases de conditionnement et de transformation ont lieu sur le territoire de plusieurs pays, autres que l’Italie, les entreprises peuvent utiliser, selon la provenance, les mentions suivantes :

  • « lait d’un pays membre de l’UE », si le lait a été extrait dans un ou plusieurs pays européens ;
  • « lait conditionné ou transformé dans un pays membre de l’UE », si ces phases de production ont été réalisées dans un ou plusieurs pays européens.

Enfin, si certaines…

Source : L’Italie adopte un étiquetage très exigeant pour les produits laitiers – EURACTIV.fr

À l’heure du Digital, la Wallonie en général et la Province de Hainaut en particulier ne veulent pas être en reste. Pour pallier le manque existant de startups numériques performantes, les repérer, les accompagner et accélérer leurs premières levées de fonds, les Invests et leurs partenaires d’accompagnement de la Province de Hainaut annoncent ce mercredi le lancement de Digital Attraxion.

Pour quoi faire?

Pour Digital Attraxion, aider les startups digitales et innovantes passe d’abord par une évaluation des projets et de leur potentiel à court, moyen et long terme. Un accompagnement dans leur plan de croissance est prévu, il est d’une durée de trois à neuf mois. Il y a également la formation d’équipes et la proposition d’un plan de financement.

Pour qui ?

L’accélérateur de startups met en relation les entreprises, il s’adresse donc au B2B. I

À l’heure du Digital, la Wallonie en général et la Province de Hainaut en particulier ne veulent pas être en reste. Pour pallier le manque existant de startups numériques performantes, les repérer, les accompagner et accélérer leurs premières levées de fonds, les Invests et leurs partenaires d’accompagnement de la Province de Hainaut annoncent ce mercredi le lancement de Digital Attraxion.

Pour quoi faire?

Pour Digital Attraxion, aider les startups digitales et innovantes passe d’abord par une évaluation des projets et de leur potentiel à court, moyen et long terme. Un accompagnement dans leur plan de croissance est prévu, il est d’une durée de trois à neuf mois. Il y a également la formation d’équipes et la proposition d’un plan de financement.

Pour qui ?

L’accélérateur de startups met en relation les entreprises, il s’adresse donc au B2B. …

Source : Lancement de Digital Attraxion, premier accélérateur de startups digitales dans le Hainaut

Où se situent les sociétés belges en matière d’adoption numérique?

PwC et Oxford Economics ont sondé plus de 2.200 cadres commerciaux et informatiques supérieurs de 53 pays et plus de 30 secteurs industriels. Sur 10 années de mesure du Digital IQ, un constat s’impose: la plupart des organisations n’ont pas consenti suffisamment d’efforts pour suivre le rythme de la révolution numérique.Les sociétés belges sont en avance par rapport au reste du monde sur certains points d’évaluation du Digital IQ mais pour la majorité elles sont à la traîne en amtière d’adoption numérique. Elles estiment, par exemple que les compétences numériques de leurs organisations et et de leurs dirigeants sont supérieures à celles de leurs homologues dans le monde. En même temps, elles sont moins enclines à dire que leurs PDG est un champion du numérique (60% contre 68% dans le reste du monde). Il semble y avoir un problème à définir clairement le “numérique” au sein des entreprises belges, puisque 50% des sondés en Belgique explique que le numérique est uniquement synonyme d’informatique pour eux. Et les CIO de notre pays pourraient s’améliorer : 63% des sondés estiment le Digital IQ de leurs CIO supérieur à 70 contre 83% dans le reste du monde….

Source : Où se situent les sociétés belges en matière d’adoption numérique?

 

La deuxième édition du Parlement jeunesse du développement durable qui a rassemblé l’espace de trois journées, 40 étudiants de l’enseignement supérieur universitaire et non universitaire issus de disciplines diverses, s’est clôturée mercredi avec 27 propositions adressées au ministre wallon de l’environnement en charge du développement durable, Carlo Di Antonio.

La création d’un mois de l’agriculture, la création de chèques fruits et légumes en faveur des personnes isolées et à dépenser auprès de producteurs locaux, l’introduction d’un programme scolaire sur le thème de l’alimentation, la valorisation de la transformation des déchets ou encore une réglementation sur l’affectation des terres agricoles font notamment partie des recommandations formulées.

«Je partage la plupart des projets proposés, même s’il faut reconnaître que nous travaillons déjà sur des projets similaires», a déclaré le ministre. Ce dernier s’engage a analyser ces demandes et à informer les étudiants sur l’avancement des projets qui en découleraient, car les étudiants l’ont évoqué, ils espèrent que leur voix sera prise en compte….

Source : Le Parlement jeunesse du développement durable se clôture av… – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

Alors que 40 fermes familiales disparaissent chaque mois, un mouvement urbain veut une agriculture centrée sur la qualité alimentaire. À Liège, un festival pointe les nouveaux liens avec le monde agricole.

En Wallonie et à Bruxelles, 70 à 80 % de ce que nous mangeons provient d’ail-leurs alors que, depuis 10 ans, 40 fermes disparaissent chaque mois entraînant une perte de 3000 emplois par an. » Dans la version 5.0 de leur pièce Nourrir l’humanité, c’est un métier, Alexis Garcia, metteur en scène, et Charles Culot, comédien et fils d’agriculteur, enchaînent les constats « coups de poing ». Surendetté et sous-payé, un certain monde agricole se meurt. Dans le même temps, les cohortes de consommateurs attachés aux produits bio et locaux grossissent, en particulier dans les vil-les. Comment rapprocher les deux ?

En quelques mois, les auteurs de « Nourrir l’humanité, c’est un métier » et les responsables de la Ceinture Aliment-Terre liégeoise ont mis sur pied un festival baptisé « Nourrir Liège 2017 » (lire ci-dessous). Outre la présence de leur parrain José Bové et une foule d’animations et de débats, ce festival met en lumière des initiatives où le monde agricole trouve de nouvelles voies. Avec un défi : comment l’agriculture locale de demain pourra-t-elle nourrir les villes ?

Marché court-circuit

Mis en place l’an passé, ce marché organisé le jeudi après-midi et en soirée au cœur de Liège ne propose que des aliments produits dans un rayon de 50 kilomètres. Ravis de l’initiative de la Ville de Liège, les 24 producteurs redémarrent le 27 avril prochain avec une mise en bouche le 16 mars dans le cadre du festival…

Source : Rapprocher ville et agriculture – lesoir.be

La commune vient de se fixer un objectif ambitieux concernant ses émissions de gaz à effet de serre: -40% d’ici 2030. Tout le monde est concerné: administrations, entreprises et surtout particuliers.

C’est un fameux défi que se lance la commune de Frameries: celui de baisser de 40% les émissions de CO2 d’ici 2030. Et ce sur l’ensemble du territoire de la commune, pas uniquement à l’administration communale.

Cet engagement, la commune l’a pris lors de la Convention des Maires en décembre 2016. Sur base d’initiatives locales et d’investissements dans les énergies renouvelables, les communes signataires ont pris l’engagement de baisser de 40% leur production de CO2. Adhèrent à la Convention des maires 7000 communes du monde entier, dont la plupart sont situées en Europe.

Ce qui a poussé Frameries à s’engager dans cette dynamique? Un principe appelé le surcoût de l’inaction. “En 2013, Frameries a payé une facture d’énergie de 380 000 euros pour tous ses bâtiments, électricité et gaz compris”, explique Alan Willame, le conseiller énergie de la commune. “Et si on ne fait rien pour réduire notre consommation, la facture va continuer d’augmenter puisque le coût de l’énergie ira croissant. Il y a deux scénarios: un optimiste et un négatif. Suivant le scénarion optimiste, on passerait de 380 000 € à 680 000 € d’ici 2030. Suivant le pessimiste, on atteindrait une facture de 4 150 000 €!”…

Source : Frameries se met à l’heure du développement durable – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

On n’est pas des pigeons a analysé le menu d’un enfant. Le constat est édifiant. 38 traces de pesticides se retrouvent dans son assiette tout au long de la journée. Au total, on dénombre 24 substances actives dont certaines dangereuses pour la santé. Si les limites maximales autorisées ne sont jamais dépassées, un tel cocktail pose question.

C’est une enquête d’envergure. Pour la mener à bien, l’émission de consommation a collaboré avec Magali Jacobs, nutritionniste à l’Institut Paul Lambin et le Professeur Bruno Schiffers, responsable du laboratoire de Phytopharmacie à Gembloux Agro-Bio Tech – ULg. Ils ont élaboré ensemble un menu crédible pour un enfant de huit ans. “Je suis partie pour ce travail des résultats de l’enquête de consommation alimentaire qui a été réalisée en Belgique en 2014. Ce n’est pas une alimentation idéale mais ça représentait ce que les petits garçons de huit ans mangent vraiment en Belgique“, nous explique la nutritionniste. Le Professeur Schiffers a quant à lui adapté ce menu en privilégiant certains aliments courants où les risques de contamination étaient probables. …

Source : https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/detail_sur-une-journee-votre-enfant-avale-38-residus-de-pesticides?id=9551112

“Epiderme” vivant de notre planète, le sol est l’un des rares milieux naturels à ne faire l’objet d’aucune protection juridique au niveau européen.

On marche dessus tous les jours, il nous nourrit, nous soigne, nous habille… Le sol est un élément essentiel de la biodiversité. D’une épaisseur pouvant aller de quelques centimètres à quelques mètres, il abrite de nombreuses matières premières essentielles à la survie de l’homme et contient 25% des espèces de la planète, selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).

Elément essentiel de notre écosystème, le sol fournit 95% de notre alimentation, il participe à la purification de l’eau de pluie, permet, en l’absorbant, d’éviter des inondations et préserve l’homme des aléas climatiques. A l’heure actuelle, 70% des antibiotiques que nous utilisons sont issus de champignons et de bactéries découverts dans le sol, détaille France Nature Environnement

Vers une réglementation européenne…

Source : VIDEO. Le sol, un trésor à préserver

 

L’activité humaine perturbe complètement le cycle des glaciations. Notre planète devrait rentrer dans une période de refroidissement, mais ce n’est pas le cas. Les conditions ne sont en effet pas réunies car il y a trop de CO2 dans l’atmosphère, rapporte une étude de l’UCL.

Tout d’abord, comment fonctionne ce cycle de périodes glaciaires de la Terre? C’est une succession de froid, glace et de fonte de ces glaces. Ce refroidissement s’étale sur de longues périodes, un cycle s’étend sur 100 000 ans. Tout débute avec la glaciation, comme l’explique Michel Crucifix, chercheur de l’UCL: “Il faut imaginer l’équivalent de dix fois le Groenland sur la Scandinavie et puis vous imaginez quinze fois le Groenla…

Source : La Terre saute une période de glaciation à cause de l’activité humaine

La Commission vient de publier la troisième édition de l’indice de compétitivité des 263 « régions » européennes. En considérant que « la compétitivité régionale est la capacité d’une région à offrir un environnement attrayant et durable dans lequel les entreprises et les résidents puissent vivre et travailler ».

Bonne ou mauvaise nouvelle ? Les provinces wallonnes (c’est à ce niveau administratif que l’Europe intègre la Belgique dans ce classement) se situent dans la moyenne et en milieu de classement : de la 121e à la 147e place. Sans surprise, les provinces flamandes se situent bien au-dessus, toutes dans le premier quart des 263 entités recensées….

Source : Bruxelles dans le top 20 européen des villes attractives | Economie – lesoir.be

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