Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Un duo de restauratrices lance le Panier toqué, pour cuisiner vite, bien et sainement.

Voilà une bonne idée ! Catherine Pélissier et Emmanuelle Durand lancent le Panier toqué. Il s’agit d’un petit kit avec les ingrédients secs et une fiche pratique pour réaliser une recette. En prime, une vidéo sur leur page Facebook permet de réaliser le plat pas à pas.

Pour l’heure, on trouve ces paniers au magasin de producteurs la Ferme de Vialard à Sarlat. Ils devraient rapidement se trouver dans de nombreux points de vente : bouchers, magasins de producteurs, poissonneries, épiceries fines…

Catherine Pélissier et Emmanuelle Durand, qui ont également une activité de traiteur et un restaurant à Sarlat, La Maison Dupéliac, y travaillent depuis plus de deux ans. Elles ont fait appel au financement participatif pour monter leur projet, qui a reçu en 2015 le premier prix Innovation commerciale au concours Novus Aquitaine, qui soutient l’innovation artisanale dans la région.

Source : Vidéo. Sarlat : des kits de recette pour valoriser les produits locaux – Sud Ouest.fr

Projet mené en partenariat avec Hainaut Développement .

Un verger citoyen dans le parc de Châtelet, un projet qui devient réalité… A terme, cela signifie que tous ceux qui le souhaitent pourront venir y cueillir des pommes, des cerises, des poires et des prunes… Ce sont les élèves de l’école d’horticulture de Châtelet qui s’occupent de la plantation de A à Z: creuser les trous, protéger les racines contre les rongeurs, placer les tuteurs et, évidemment planter les différentes essences de fruitiers. Une opération qui devrait être terminée à la fin de la semaine prochaine. Mais pour la récolte, il faudra patienter quelques années.

Source : Un verger citoyen s’implante dans le parc de Châtelet – Télésambre

Jean-Baptiste Thomaes du Mylord est présent aux journées internationales de l’élevage et de l’agriculture.

Ces 4 et 5 février se tiennent les journées internationales de l’élevage et de l’agriculture de Tournai. De nombreux exposants sont présents avec machines agricoles, matériel, aliments, ou encore animaux.

Hainaut Développement propose un stand particulier qui met à l’honneur le Blanc Bleu Belge. Durant deux jours, il est cuisiné par de grands chefs, en présence des éleveurs et des bouchers. Ce samedi, c’est Jean-Baptiste Thomaes du Mylord qui est derrière les fourneaux. Dimanche, c’est Tanguy de Turck du Vieux Château qui cuisine cette viande bien de chez nous.

Yves-Marie Desbruyères, agriculteur et membre d’Hainaut Développement, explique la philosophie de ce stand.

Source : Le Blanc Bleu Belge cuisiné par de grands chefs au salon de l’agriculture

Tournai Expo a vibré ce week-end pour les Journées internationales de l’élevage et de l’agriculture de Tournai. Parmi les nombreux exposants présents, la Province de Hainaut. Elle militait pour le Blanc Bleu Belge de qualité. Et pour se faire entendre, elle avait convié de grands chefs sur son stand.

Source : La province de Hainaut défend le Blanc Bleu Belge au salon de l’agriculture

UCM a réalisé une enquête auprès de 284 patrons de PME et d’indépendants francophones, en collaboration avec l’AdN et l’AEI.

Les résultats confirment certaines tendances dont on avait déjà conscience mais révèlent également des chiffres et des constats parfois étonnants.

88 % des personnes interrogées disent accorder de l’importance à la sécurité informatique de leur entreprise.

La majorité disent en outre être conscientes (voire persuadées) que la cybersécurité ne concerne pas uniquement les grandes structures – une bonne chose en soi.

Seuls 2,2% du panel considèrent que la cybersécurité est pas un risque qui ne touche que les grandes entreprises. Mais, de manière plus étonnante, on trouve aussi parmi les réponses un interloquant 16,7% qui disent estimer que “la cybercriminalité n’existe pas”.

 

 

 

 

Les mesures de sécurité prises au sein de leur société?

  • 94 % utilisent un anti-virus ou d’un logiciel anti-spam
  • 70,4 % protègent leurs accès WiFi
  • 62,8 % mettent régulièrement à jour leurs logiciels
  • 58 % réalisent des sauvegardes hebdomadaires de leurs données
  • 46,4% vérifient l’auteur des mails qu’elles reçoivent
  • 45,6% confient la sauvegarde de leurs données à un site ou serveur en dehors de leurs murs
  • 45,6% également disent recourir à des mots de passe complexes
  • 17,2% (seulement) veillent à informer ou sensibiliser régulièrement leurs collaborateurs
  • 10,8% (beaucoup trop peu également) procèdent régulièrement à des tests de sécurité
  • 10,4% cryptent leurs données stockées
  • 10% opèrent un traçage des connexions Internet.

Qui prend en charge la gestion de cette sécurité? La grande majorité des personnes interrogées (indépendants comme PME) – et cela n’étonnera personne – s’en chargent elles-mêmes, personnellement (62,3%). Dans 3,1% des cas, c’est un collègue.

13,6% font appel à une société spécialisée et 9,7% à un intervenant (individuel) externe.

Il y a malgré tout 5,8% des personnes sondées qui déclarent que “personne ne gère leur sécurité” et 1,6% qui disent qu’elles “n’en ont pas besoin.”

De plus en plus cibles et victimes

50,9% des PME interrogées avouent avoir rencontré un souci lié à la cybersécurité….

SOURCE : https://www.regional-it.be/detached/cybersecurite-pme-demandent-aide/

Prêt depuis 2012, le nouveau parc d’activités de l’IDEA à Mons a été inauguré officiellement ce mercredi 8 février. Il est uniquement alimenté via la géothermie. Une première en Belgique. Reste maintenant à remplir le zoning.

Source : Mons: le parc Geothermia enfin inauguré – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

Ce parc énergétique reste néanmoins derrière les centrales à gaz, en termes de capacités présentes sur le continent.

Les capacités installées en Europe d’énergie éolienne ont dépassé en 2016 celles des centrales à charbon
selon des données publiées jeudi 9 février par les industriels du secteur. Avec 153,7 gigawatts (GW) au total, l’énergie éolienne devient « le second plus grand parc de capacité de production d’électricité en Europe », écrit ainsi WindEurope dans son bilan annuel.

L’an dernier, 12,5 GW de nouvelles capacités éoliennes ont été installées, en baisse de 3 % en un an, mais elles ont représenté plus de la moitié (51 %) de l’ensemble des nouvelles capacités de production de courant mises en service l’an dernier, toutes énergies confondues. Dans le détail, 10,9 GW ont été mis en place sur terre et 1,56 GW en mer.

Lire aussi :   Eoliennes, hydroliennes… Où en sont les énergies marines en France ?

Ce parc reste néanmoins derrière les centrales à gaz, en termes de capacités présentes sur le continent.

Record de nouvelles installations

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2017/02/09/en-2016-l-eolien-a-depasse-les-capacites-installees-de-centrales-a-charbon-en-europe_5076828_1653054.html#Z5LjxRFbsPzuimeq.99

Source : En 2016, l’éolien a dépassé les capacités installées de centrales à charbon en Europe

Ce qui représentait autrefois un marché de niche est maintenant une tendance bien installée: les énergies renouvelables prennent une part croissante sur le marché, la concurrence et l’innovation permettent de faire baisser le prix de technologies qui s’améliorent par ailleurs rapidement. Les panneaux solaires photovoltaïques, par exemple, ne sont aujourd’hui plus une utopie, mais bien une option qui devient attrayante autant sur le plan environnemental que financier.Les batteries constituent donc le chaînon manquant à une autoproduction domestique vraiment verte. En effet, devoir stocker une énergie renouvelable et propre dans des batteries sulfure-plomb ou lithium, toxiques, inflammables et polluantes peut en rebuter plusieurs… avec raison!

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Source : Le produit du mois: la batterie à l’eau salée (sodium) | Nouvelle | Écohabitation

 

Le ministre wallon de l’Environnement Carlo Di Antonio a lancé mercredi un appel à candidatures invitant les communes wallonnes à s’engager dans le « zéro déchet ». L’opération sera la première d’une telle envergure organisée dans la région et a pour objectif de réduire au maximum la production de déchets des communes et de ses citoyens. Les dix communes sélectionnées bénéficieront d’un accompagnement gratuit pendant deux ans. Le projet s’inscrit dans le Plan wallon « Déchets-Ressources » et vise à réduire la quantité de déchets ménagers par habitant en Wallonie s’élevant actuellement à environ 145 kilos par habitant et par an. « L’objectif est d’atteindre 50 à 100 kg de déchets résiduels d’ici 2025, en fonction du taux de départ des communes », explique le ministre. « Nous souhaiterions qu’à termes 90% des déchets soient recyclés », ajoute-t-il.

Poursuivant l’exemple de la ville de Roubaix en France qui a réussi à inculquer le « zéro déchet » à ses habitants, le ministre souhaite que les communes s’inscrivent, elles aussi, dans cette dynamique.

Le « zéro déchet » a pour objectif d’éviter les déchets….

Source : Environnement – La Wallonie recherche dix communes prêtes à s’engager dans le “zéro déchet” | Metro

 

Déchets de cuisine, épluchures de fruits et légumes, restes de repas froids, aliments avariés, voilà ce que le citoyen de Wallonie Picarde peut désormais déposer dans six recyparcs gérés par l’intercommunale Ipalle. Ce projet pilote lest une première en Wallonie. “Nous avons lancé il y a une dizaine d’années des campagnes de compostage” nous explique Laurent Dupont, ingénieur technique chez Ipalle, “on arrive à convaincre de 10 à 15% de la population, il y a donc une fraction de celle-ci qui reste réfractaire à cette méthode de recyclage de déchets donc on offre un nouveau service à ceux qui souhaitent trier leurs déchets organiques. Et puis à Ipalle, nous ne sommes pas pour les collectes de ce type de déchets en porte à porte”.   

Les déchets concernés par cette opération sont en fait tous les déchets compostables. Le citoyen intéressé est invité à jeter un coup d’œil attentif à la liste des produits acceptés (http://www.ipalle.be/Portals/0/pdf/autocorganiques.pdf) car, attention aux idées préconçues, certains déchets, comme l’herbe coupée, les feuilles ou les déchets d’élagage, ne peuvent faire partie du voyage pour cette collecte.

Une opération sur base volontaire

Tous les citoyens qui le souhaitent peuvent participer gratuitement à l’opération pour autant qu’ils soient en possession d’une carte d’accès à l’un des six recyparcs concernés. Pour le transport des matières organiques, Ipalle préconise l’achat de bio-seaux de 25 litres dans les différents recyparcs participants. Ces récipients lavables sont vendus au prix de 5€ pièce. Et les habitants que nous avons rencontrés au parc de Kain sont plutôt convaincus: “tous mes déchets de cuisine vont dans le compost, moi, mais c’est bien pour ceux qui habitent en ville et en appartement”, je trouve que c’est une bonne solution car les sacs poubelles coûtent chers et de toute façon ce sera peut-être un jour obligatoire, alors autant changer nos habitudes maintenant”.

Ce projet est testé pour une durée de six mois, si cela marché, l’opération sera…

Source : Wallonie Picarde: 6 recyparcs d’Ipalle peuvent désormais recevoir vos déchets organiques

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