UCM a réalisé une enquête auprès de 284 patrons de PME et d’indépendants francophones, en collaboration avec l’AdN et l’AEI.
Les résultats confirment certaines tendances dont on avait déjà conscience mais révèlent également des chiffres et des constats parfois étonnants.
88 % des personnes interrogées disent accorder de l’importance à la sécurité informatique de leur entreprise.
La majorité disent en outre être conscientes (voire persuadées) que la cybersécurité ne concerne pas uniquement les grandes structures – une bonne chose en soi.
Seuls 2,2% du panel considèrent que la cybersécurité est pas un risque qui ne touche que les grandes entreprises. Mais, de manière plus étonnante, on trouve aussi parmi les réponses un interloquant 16,7% qui disent estimer que “la cybercriminalité n’existe pas”.
Les mesures de sécurité prises au sein de leur société?
- 94 % utilisent un anti-virus ou d’un logiciel anti-spam
- 70,4 % protègent leurs accès WiFi
- 62,8 % mettent régulièrement à jour leurs logiciels
- 58 % réalisent des sauvegardes hebdomadaires de leurs données
- 46,4% vérifient l’auteur des mails qu’elles reçoivent
- 45,6% confient la sauvegarde de leurs données à un site ou serveur en dehors de leurs murs
- 45,6% également disent recourir à des mots de passe complexes
- 17,2% (seulement) veillent à informer ou sensibiliser régulièrement leurs collaborateurs
- 10,8% (beaucoup trop peu également) procèdent régulièrement à des tests de sécurité
- 10,4% cryptent leurs données stockées
- 10% opèrent un traçage des connexions Internet.
Qui prend en charge la gestion de cette sécurité? La grande majorité des personnes interrogées (indépendants comme PME) – et cela n’étonnera personne – s’en chargent elles-mêmes, personnellement (62,3%). Dans 3,1% des cas, c’est un collègue.
13,6% font appel à une société spécialisée et 9,7% à un intervenant (individuel) externe.
Il y a malgré tout 5,8% des personnes sondées qui déclarent que “personne ne gère leur sécurité” et 1,6% qui disent qu’elles “n’en ont pas besoin.”
De plus en plus cibles et victimes
50,9% des PME interrogées avouent avoir rencontré un souci lié à la cybersécurité….
SOURCE : https://www.regional-it.be/detached/cybersecurite-pme-demandent-aide/
Prêt depuis 2012, le nouveau parc d’activités de l’IDEA à Mons a été inauguré officiellement ce mercredi 8 février. Il est uniquement alimenté via la géothermie. Une première en Belgique. Reste maintenant à remplir le zoning.
Source : Mons: le parc Geothermia enfin inauguré – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net
Ce parc énergétique reste néanmoins derrière les centrales à gaz, en termes de capacités présentes sur le continent.
Les capacités installées en Europe d’énergie éolienne ont dépassé en 2016 celles des centrales à charbon
selon des données publiées jeudi 9 février par les industriels du secteur. Avec 153,7 gigawatts (GW) au total, l’énergie éolienne devient « le second plus grand parc de capacité de production d’électricité en Europe », écrit ainsi WindEurope dans son bilan annuel.
L’an dernier, 12,5 GW de nouvelles capacités éoliennes ont été installées, en baisse de 3 % en un an, mais elles ont représenté plus de la moitié (51 %) de l’ensemble des nouvelles capacités de production de courant mises en service l’an dernier, toutes énergies confondues. Dans le détail, 10,9 GW ont été mis en place sur terre et 1,56 GW en mer.
Lire aussi : Eoliennes, hydroliennes… Où en sont les énergies marines en France ?
Ce parc reste néanmoins derrière les centrales à gaz, en termes de capacités présentes sur le continent.
Record de nouvelles installations
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2017/02/09/en-2016-l-eolien-a-depasse-les-capacites-installees-de-centrales-a-charbon-en-europe_5076828_1653054.html#Z5LjxRFbsPzuimeq.99
Source : En 2016, l’éolien a dépassé les capacités installées de centrales à charbon en Europe
Ce qui représentait autrefois un marché de niche est maintenant une tendance bien installée: les énergies renouvelables prennent une part croissante sur le marché, la concurrence et l’innovation permettent de faire baisser le prix de technologies qui s’améliorent par ailleurs rapidement. Les panneaux solaires photovoltaïques, par exemple, ne sont aujourd’hui plus une utopie, mais bien une option qui devient attrayante autant sur le plan environnemental que financier.Les batteries constituent donc le chaînon manquant à une autoproduction domestique vraiment verte. En effet, devoir stocker une énergie renouvelable et propre dans des batteries sulfure-plomb ou lithium, toxiques, inflammables et polluantes peut en rebuter plusieurs… avec raison!
….
Source : Le produit du mois: la batterie à l’eau salée (sodium) | Nouvelle | Écohabitation
Le ministre wallon de l’Environnement Carlo Di Antonio a lancé mercredi un appel à candidatures invitant les communes wallonnes à s’engager dans le « zéro déchet ». L’opération sera la première d’une telle envergure organisée dans la région et a pour objectif de réduire au maximum la production de déchets des communes et de ses citoyens. Les dix communes sélectionnées bénéficieront d’un accompagnement gratuit pendant deux ans. Le projet s’inscrit dans le Plan wallon « Déchets-Ressources » et vise à réduire la quantité de déchets ménagers par habitant en Wallonie s’élevant actuellement à environ 145 kilos par habitant et par an. « L’objectif est d’atteindre 50 à 100 kg de déchets résiduels d’ici 2025, en fonction du taux de départ des communes », explique le ministre. « Nous souhaiterions qu’à termes 90% des déchets soient recyclés », ajoute-t-il.
Poursuivant l’exemple de la ville de Roubaix en France qui a réussi à inculquer le « zéro déchet » à ses habitants, le ministre souhaite que les communes s’inscrivent, elles aussi, dans cette dynamique.
Le « zéro déchet » a pour objectif d’éviter les déchets….
Source : Environnement – La Wallonie recherche dix communes prêtes à s’engager dans le “zéro déchet” | Metro
Déchets de cuisine, épluchures de fruits et légumes, restes de repas froids, aliments avariés, voilà ce que le citoyen de Wallonie Picarde peut désormais déposer dans six recyparcs gérés par l’intercommunale Ipalle. Ce projet pilote lest une première en Wallonie. “Nous avons lancé il y a une dizaine d’années des campagnes de compostage” nous explique Laurent Dupont, ingénieur technique chez Ipalle, “on arrive à convaincre de 10 à 15% de la population, il y a donc une fraction de celle-ci qui reste réfractaire à cette méthode de recyclage de déchets donc on offre un nouveau service à ceux qui souhaitent trier leurs déchets organiques. Et puis à Ipalle, nous ne sommes pas pour les collectes de ce type de déchets en porte à porte”.
Les déchets concernés par cette opération sont en fait tous les déchets compostables. Le citoyen intéressé est invité à jeter un coup d’œil attentif à la liste des produits acceptés (http://www.ipalle.be/Portals/0/pdf/autocorganiques.pdf) car, attention aux idées préconçues, certains déchets, comme l’herbe coupée, les feuilles ou les déchets d’élagage, ne peuvent faire partie du voyage pour cette collecte.
Une opération sur base volontaire
Tous les citoyens qui le souhaitent peuvent participer gratuitement à l’opération pour autant qu’ils soient en possession d’une carte d’accès à l’un des six recyparcs concernés. Pour le transport des matières organiques, Ipalle préconise l’achat de bio-seaux de 25 litres dans les différents recyparcs participants. Ces récipients lavables sont vendus au prix de 5€ pièce. Et les habitants que nous avons rencontrés au parc de Kain sont plutôt convaincus: “tous mes déchets de cuisine vont dans le compost, moi, mais c’est bien pour ceux qui habitent en ville et en appartement”, je trouve que c’est une bonne solution car les sacs poubelles coûtent chers et de toute façon ce sera peut-être un jour obligatoire, alors autant changer nos habitudes maintenant”.
Ce projet est testé pour une durée de six mois, si cela marché, l’opération sera…
Source : Wallonie Picarde: 6 recyparcs d’Ipalle peuvent désormais recevoir vos déchets organiques
Start IT@KBC dresse son bilan après 3 ans ainsi que ses priorités pour les mois à venir: l’élargissement de son mentoring aux «intrapreneurs» dans les (grandes) entreprises, l’entrepreneuriat féminin et un suivi trimestriel systématique des start-up coachées.
Parmi les premières initiatives privées d’accompagnement et hébergement de start-ups, le programme Start IT de la banque KBC a déjà vu défiler 430 jeunes entreprises en 3 ans. Soit environ 1.400 fondateurs, associés et collaborateurs. 70 % de ces start-up sont toujours en vie. Un premier bilan plutôt positif, même si les cofondateurs de Start IT, Lode Uytterschaut et Katrien Dewijngaert, ont toujours dit que le vrai bilan ne pourra être tiré qu’après 5 ans.
Parsify, Posyx, Flavr, Medianeut, Gustaf ou Theoplayer sont quelques-uns des « bébés » de Start IT qui ont bien grossi, employant déjà dans le cas de Theoplayer (un lecteur vidéo HTML5) plus de 30 personnes.
Start IT présentait ce midi sa nouvelle promotion de 38 start-up, choisies parmi 143 candidatures. Ces nouveaux venus vont rejoindre les incubateurs d’Anvers, Gand, Hasselt, Louvain, Courtrai et Bruxelles. On y retrouve une grande diversité d’idées et de secteurs évidemment, avec tout de même quelques fils rouges : les besoins de formation et de développement des compétences, la mobilité douce (bornes de rechargement, vélos électriques…), la logistique via les drones…
« Depuis 3 ans, nous constatons que les secteurs les plus prisés par nos start-up sont, classés par ordre, tout ce qui touche à l’informatique et la productivité des PME, des plateformes de mise en relation de l’offre et le demande sur des marchés spécifiques,….
Source : Start IT, l’incubateur de KBC, va aussi accompagner les «intrapreneurs» | Entrepreneuriat – lesoir.be
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Source : Arbre européen de l’Année – Home page
‘union européenne devrait atteindre ses objectifs 2020 en matière de renouvelables et d’efficacité énergétique. Reste toutefois un point noir : le secteur des transports qui n’affiche quasiment pas de progrès.
L’Union européenne est en bonne voie pour atteindre son objectif de 20% de renouvelables en 2020 et de 20% d’efficacité énergétique à la même date. Le rythme de développement des renouvelables est supérieur à celui prévu et la consommation d’énergie finale est déjà inférieure à celle fixée pour 2020. Le tableau est bon, à une exception : le secteur des transports qui ne progresse quasiment pas dans les deux domaines. Telles sont les principales conclusions du deuxième rapport sur l’état de l’Union de l’énergie, publié le 1er février par la Commission européenne.
50% d’électricité renouvelable en 2030 ?
La part des renouvelables a représenté 16,4% de la consommation énergétique finale en 2015, permettant une réduction des émissions de gaz à effet de serre européennes de 436 millions de tonnes en équivalent CO2 (MtCO2eq). Par ailleurs, le rapport dédié au sujet rappelle que “la trajectoire indicative pour 2015/2016 est 13,8%”. Vingt-cinq Etats membres dépassent leur objectif prévisionnel, le meilleur élève étant la Suède (54,1% de renouvelables, pour un objectif de 43,9%). A l’opposé, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas sont les trois pays à ne pas atteindre l’objectif intermédiaire. Seuls les Pays-Bas ont informé la Commission et présenté un plan de rattrapage. Quant à la France, la consommation énergétique finale n’est couverte par les renouvelables qu’à hauteur de 14,4%, pour un objectif intermédiaire de 16% et un objectif final de 23% en 2020.
L’UE atteindra-t-elle l’objectif de 20% en 2020 ? Etant donnée l’avance, il est probable que ce sera le cas. Mais l’exécutif européen affiche une confiance mesurée : “La trajectoire devient progressivement plus raide dans les années à venir et il faudra intensifier les efforts pour atteindre l’objectif européen”. La Commission attire aussi l’attention sur le secteur des transports qui reste à la traine. Non seulement, la part de renouvelables est largement en deçà de la trajectoire fixée, mais elle a tendance à stagner sur la décennie écoulée. En 2015, la part des renouvelables dans les transports est de 6%, ce qui rend improbable l’atteinte de l’objectif de 10% en 2020 fixé pour le secteur. En revanche, elle affiche son optimisme pour la production électrique renouvelable : elle est passée de 21,7% en 2011 à 28,3% en 2015. A ce rythme, les renouvelables “devraient atteindre 50% d’ici 2030”….
Source : Actu-Environnement
TENDANCE – Avec l’arrivée prochaine du texte sur l’autoconsommation, les entreprises se placent sur ce marché qui doit exploser dans les prochaines années. Pour faire face à Tesla et à son Powerwall, des industriels européens fourbissent leurs armes, à l’image de Terreal ou de Solarwatt. Découverte.
Les Français ont hâte de pouvoir consommer leur propre électricité, produite sur leur toiture. A en croire les sondages réalisés par OpinionWay pour Qualit’EnR ou Enerplan, 78 % des personnes interrogées souhaitent couvrir leurs besoins énergétiques par leurs propres moyens et 47 % d’entre elles sont prêtes à investir pour parvenir à l’autonomie totale (15 %) ou à un certain degré d’autonomie (32 %). André Joffre, président de Qualit’EnR, déclarait, voilà quelques jours : “L’autoconsommation est en cours d’examen au Sénat et à l’Assemblée nationale. On aura enfin un cadre juridique qui sortira ce statut du no man’s land juridique où il se trouve“. Une tendance forte qui entraîne un développement rapide de solutions de stockage domestique d’électricité….
Source : Systèmes de stockage d’électricité solaire : les solutions se multiplient