Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

 

Déchets de cuisine, épluchures de fruits et légumes, restes de repas froids, aliments avariés, voilà ce que le citoyen de Wallonie Picarde peut désormais déposer dans six recyparcs gérés par l’intercommunale Ipalle. Ce projet pilote lest une première en Wallonie. “Nous avons lancé il y a une dizaine d’années des campagnes de compostage” nous explique Laurent Dupont, ingénieur technique chez Ipalle, “on arrive à convaincre de 10 à 15% de la population, il y a donc une fraction de celle-ci qui reste réfractaire à cette méthode de recyclage de déchets donc on offre un nouveau service à ceux qui souhaitent trier leurs déchets organiques. Et puis à Ipalle, nous ne sommes pas pour les collectes de ce type de déchets en porte à porte”.   

Les déchets concernés par cette opération sont en fait tous les déchets compostables. Le citoyen intéressé est invité à jeter un coup d’œil attentif à la liste des produits acceptés (http://www.ipalle.be/Portals/0/pdf/autocorganiques.pdf) car, attention aux idées préconçues, certains déchets, comme l’herbe coupée, les feuilles ou les déchets d’élagage, ne peuvent faire partie du voyage pour cette collecte.

Une opération sur base volontaire

Tous les citoyens qui le souhaitent peuvent participer gratuitement à l’opération pour autant qu’ils soient en possession d’une carte d’accès à l’un des six recyparcs concernés. Pour le transport des matières organiques, Ipalle préconise l’achat de bio-seaux de 25 litres dans les différents recyparcs participants. Ces récipients lavables sont vendus au prix de 5€ pièce. Et les habitants que nous avons rencontrés au parc de Kain sont plutôt convaincus: “tous mes déchets de cuisine vont dans le compost, moi, mais c’est bien pour ceux qui habitent en ville et en appartement”, je trouve que c’est une bonne solution car les sacs poubelles coûtent chers et de toute façon ce sera peut-être un jour obligatoire, alors autant changer nos habitudes maintenant”.

Ce projet est testé pour une durée de six mois, si cela marché, l’opération sera…

Source : Wallonie Picarde: 6 recyparcs d’Ipalle peuvent désormais recevoir vos déchets organiques

Start IT@KBC dresse son bilan après 3 ans ainsi que ses priorités pour les mois à venir: l’élargissement de son mentoring aux «intrapreneurs» dans les (grandes) entreprises, l’entrepreneuriat féminin et un suivi trimestriel systématique des start-up coachées.

Parmi les premières initiatives privées d’accompagnement et hébergement de start-ups, le programme Start IT de la banque KBC a déjà vu défiler 430 jeunes entreprises en 3 ans. Soit environ 1.400 fondateurs, associés et collaborateurs. 70 % de ces start-up sont toujours en vie. Un premier bilan plutôt positif, même si les cofondateurs de Start IT, Lode Uytterschaut et Katrien Dewijngaert, ont toujours dit que le vrai bilan ne pourra être tiré qu’après 5 ans.

Parsify, Posyx, Flavr, Medianeut, Gustaf ou Theoplayer sont quelques-uns des « bébés » de Start IT qui ont bien grossi, employant déjà dans le cas de Theoplayer (un lecteur vidéo HTML5) plus de 30 personnes.

Start IT présentait ce midi sa nouvelle promotion de 38 start-up, choisies parmi 143 candidatures. Ces nouveaux venus vont rejoindre les incubateurs d’Anvers, Gand, Hasselt, Louvain, Courtrai et Bruxelles. On y retrouve une grande diversité d’idées et de secteurs évidemment, avec tout de même quelques fils rouges : les besoins de formation et de développement des compétences, la mobilité douce (bornes de rechargement, vélos électriques…), la logistique via les drones…

« Depuis 3 ans, nous constatons que les secteurs les plus prisés par nos start-up sont, classés par ordre, tout ce qui touche à l’informatique et la productivité des PME, des plateformes de mise en relation de l’offre et le demande sur des marchés spécifiques,….

Source : Start IT, l’incubateur de KBC, va aussi accompagner les «intrapreneurs» | Entrepreneuriat – lesoir.be

Choisissez les deux arbres avec l’histoire la plus intéressante et sélectionnez-les dans la liste. Après, cliquez “votez”. Si vous voulez nous soutenir, cliquez “votez et donnez”.

Pourquoi donner?

Les votes seront ouverts du 1er au 28 février 2017. Ils seront secrets pendant la dernière semaine du vote (du 22 au 28 février) et les résultats intermédiaires ne seront pas consultables sur notre site. Les résultats seront annoncés lors de la cérémonie de remise des prix à Bruxelles, le 21 mars.

Source : Arbre européen de l’Année – Home page

‘union européenne devrait atteindre ses objectifs 2020 en matière de renouvelables et d’efficacité énergétique. Reste toutefois un point noir : le secteur des transports qui n’affiche quasiment pas de progrès.

L’Union européenne est en bonne voie pour atteindre son objectif de 20% de renouvelables en 2020 et de 20% d’efficacité énergétique à la même date. Le rythme de développement des renouvelables est supérieur à celui prévu et la consommation d’énergie finale est déjà inférieure à celle fixée pour 2020. Le tableau est bon, à une exception : le secteur des transports qui ne progresse quasiment pas dans les deux domaines. Telles sont les principales conclusions du deuxième rapport sur l’état de l’Union de l’énergie, publié le 1er février par la Commission européenne.

50% d’électricité renouvelable en 2030 ?

La part des renouvelables a représenté 16,4% de la consommation énergétique finale en 2015, permettant une réduction des émissions de gaz à effet de serre européennes de 436 millions de tonnes en équivalent CO2 (MtCO2eq). Par ailleurs, le rapport dédié au sujet rappelle que “la trajectoire indicative pour 2015/2016 est 13,8%”. Vingt-cinq Etats membres dépassent leur objectif prévisionnel, le meilleur élève étant la Suède (54,1% de renouvelables, pour un objectif de 43,9%). A l’opposé, la France, le Luxembourg et les Pays-Bas sont les trois pays à ne pas atteindre l’objectif intermédiaire. Seuls les Pays-Bas ont informé la Commission et présenté un plan de rattrapage. Quant à la France, la consommation énergétique finale n’est couverte par les renouvelables qu’à hauteur de 14,4%, pour un objectif intermédiaire de 16% et un objectif final de 23% en 2020.

L’UE atteindra-t-elle l’objectif de 20% en 2020 ? Etant donnée l’avance, il est probable que ce sera le cas. Mais l’exécutif européen affiche une confiance mesurée : La trajectoire devient progressivement plus raide dans les années à venir et il faudra intensifier les efforts pour atteindre l’objectif européen”. La Commission attire aussi l’attention sur le secteur des transports qui reste à la traine. Non seulement, la part de renouvelables est largement en deçà de la trajectoire fixée, mais elle a tendance à stagner sur la décennie écoulée. En 2015, la part des renouvelables dans les transports est de 6%, ce qui rend improbable l’atteinte de l’objectif de 10% en 2020 fixé pour le secteur. En revanche, elle affiche son optimisme pour la production électrique renouvelable : elle est passée de 21,7% en 2011 à 28,3% en 2015. A ce rythme, les renouvelables “devraient atteindre 50% d’ici 2030”….

 

Source : Actu-Environnement

 

TENDANCE – Avec l’arrivée prochaine du texte sur l’autoconsommation, les entreprises se placent sur ce marché qui doit exploser dans les prochaines années. Pour faire face à Tesla et à son Powerwall, des industriels européens fourbissent leurs armes, à l’image de Terreal ou de Solarwatt. Découverte.

Les Français ont hâte de pouvoir consommer leur propre électricité, produite sur leur toiture. A en croire les sondages réalisés par OpinionWay pour Qualit’EnR ou Enerplan, 78 % des personnes interrogées souhaitent couvrir leurs besoins énergétiques par leurs propres moyens et 47 % d’entre elles sont prêtes à investir pour parvenir à l’autonomie totale (15 %) ou à un certain degré d’autonomie (32 %). André Joffre, président de Qualit’EnR, déclarait, voilà quelques jours : “L’autoconsommation est en cours d’examen au Sénat et à l’Assemblée nationale. On aura enfin un cadre juridique qui sortira ce statut du no man’s land juridique où il se trouve“. Une tendance forte qui entraîne un développement rapide de solutions de stockage domestique d’électricité….

Source : Systèmes de stockage d’électricité solaire : les solutions se multiplient

La 14ème édition des journées internationales de l’élevage et de l’agriculture bat son plein encore aujourd’hui à Tournai expo. L’occasion d’approcher le monde agricole

Ces journées internationales de l’élevage et de l’agriculture ne s’adressent donc non seulement aux professionnels de l’agriculture mais également au grand public. L’occasion aussi pour nos travailleurs de la terre de sensibiliser le public à la cause agricole et à l’importance d’une activité familiale dans nos régions. Le circuit court, comme mode de consommation, est d’ailleurs l’un des axes de cette édition. Ils sont presque cent exposants présents. En 2015, la foire avait attiré plus de 12.000 visiteurs. Un record qui devrait être battu cette année…[…]

Source : Toute la richesse de l’agriculture à Tournai-Expo ce dimanche – nordeclair.be

La société tunisienne Tyer Wind a annoncé une éolienne à ailes battantes, sans livrer de chiffres de performances. Un concept qui laisse pour le moment les spécialistes sceptiques.

C’est une machine surprenante qu’a présenté la société tunisienne Tyer Wind début janvier 2017. Dans une vidéo promotionnelle (voir ci-dessous), l’entreprise a présenté une éolienne baptisée “Tyer” (dont le nom évoque “oiseau” en arabe). Et pour cause, au lieu d’être pourvue de pales mises en rotation par la force du vent, la Tyer est équipée d’ailes battantes, comme un oiseau. Et pas n’importe lequel : le colibri, “un oiseau miracle dont l’efficacité énergétique dépasse celle des drones ou hélicoptères“, s’enthousiasme Anis Aouini, inventeur de la technologie et PDG de Tyer Wind. De ce fait, les ailes ne se contentent pas de battre verticalement : elles effectuent un mouvement complexe reproduisant au plus près ceux de “l’oiseau miracle”. Un mouvement si complexe qu’il a nécessité, selon l’inventeur, la mise au point “d’une nouvelle cinématique révolutionnaire capable d’imiter n’importe quelle articulation animale” poursuit Anis Aouini. Cette articulation d’un nouveau genre auquel l’inventeur a donné son nom “cinématique aouinienne tridimentionnelle” (sic) a fait l’objet d’une présentation à Berlin en juin 2016, dans le cadre d’un congrès lié à la sécurité énergétique……

Source : Une étrange éolienne à ailes battantes – Sciencesetavenir.fr

 

Derniers chiffres disponibles sur l’e-commerce en Belgique: 55,2% des consommateurs belges (entre 16 et 74 ans) ont passé au moins une commande en ligne en 2015 (soit: 64,2% des internautes sont e-acheteurs), sur base de l’enquête TIC 2016 ménages et individus de la DG Statistique du SPF Economie.

Classement des provinces belges par rapport aux régions limitrophes:

Si le niveau d’éducation influence sensiblement ce taux, le facteur “niveau de revenu par ménage” se révèle le plus discriminant: ¾ de la population dont le ménage dispose d’un revenu élevé a fait des achats en ligne, contre moins de 3/10 de la population dont le ménage dispose d’un faible revenu (dernier quartile).

Ce facteur explique vraisemblablement l’essentiel des variations observées par province: la proportion plus importante d’e-acheteurs est observée au niveau des 2 brabants (wallons et flamands) et la plus faible dans les provinces du Hainaut et de Liège.

 

Fréquence et budget d’achat en ligne en Belgique

Le budget consacré au cours des 3 derniers mois est très variable. Cela dépend des e-acheteurs: si 12% ont dépensé moins de 50 €, 20% ont par contre dépensé plus de 500 € et 40% entre 100 et 500 € sur le trimestre.

Plus de 10% des e-acheteurs belges ont commandé plus de 5x en ligne au cours des 3 derniers mois.

Selon la fédération COMEOS (enquête 2016):

  • 54% des e-acheteurs dépensent au moins 100 €/mois;
  • la moyenne des dépenses serait de 2388 €/an/ménage;
  • 35% des e-consommateurs font des achats au moins une fois par mois;
  • L’e-commerce atteindrait un peu plus de 7% du chiffre d’affaires du commerce de détail;
  • 33% des consommateurs ont acheté en ligne en 2015 en substitution d’achats effectués auparavant en boutique physique;
  • mais 37% des consommateurs ont acheté en ligne des biens / services supplémentaires.

Le consommateur belge « e-importe » massivement

Paradoxalement, si la balance commerciale de la Belgique est globalement positive, avec une économie tournée vers l’exportation, cette situation est opposée en matière de commerce en ligne : les consommateurs belges achètent en ligne massivement à l’étranger.

Ainsi 63% des e-consommateurs  (soit 34 % des consommateurs) déclarent avoir commandé en ligne au cours des 12 derniers mois au moins une fois auprès de vendeurs d’autres pays de l’U.E. (moyenne européenne: 15,9%), et 15% auprès de vendeurs hors U.E.

Selon une enquête réalisée par BeShopping en novembre 2014, parmi les 100 e-shops les plus fréquentées par les e-acheteurs belges, 75% sont étrangères (répartition NL: 22%, D: 15%, F: 14%).

 

Par contre, il n’y a pas assez d’e-shops belges et celles-ci ne vendent pas suffisamment à l’étranger.

Les e-shops belges

Il n’existe pas en Belgique de répertoires fiables des e-commerçants. Ceux-ci sont estimés à un ordre de grandeur de 10 à 20 000 en 2015.

Quelques exemples d’e-commerçant….

Source : L’e-commerce en Belgique: statistiques – RETIS

 

Un projet européen veut remédier aux problèmes que rencontrent les petits producteurs actifs dans le secteur agroalimentaire. Au menu:plus de soutien, de visibilité et des actions en faveur d’une alimentation durable. Restent toujours les freins “psychologiques” à lever. “Work in progress”, comme on dit! Explications et témoignages.

La rencontre a lieu à la Brasserie Au Baron, à Gussignies. Pas choisie au hasard…C’est là que Xavier Bailleux brasse “la Jonquille”, une bière spéciale dont il écoule 300 000 bouteilles chaque année. Le commerce transfrontalier? “Ah que c’est compliqué! Un vrai casse-tête, au quotidien. On dit ‘c’est l’Europe’, mais en fait…rien n’est pareil! Ni la TVA, ni les droits de douane, les accises. Sur le plan administratif, il faut sans cesse trouver des subterfuges. Nous devons avoir une comptabilité différente, et deux entités différentes, pour pouvoir travailler sur le marché belge”. Xavier y passe des heures et des heures. “Ca coûte du temps, de l’argent aussi…Pour livrer notre bière parfois à deux kilomètres d’ici! Ce n’est pas si intéressant, même si on vend plus, c’est tellement de paperasses, de démarches! Mais que voulez-vous, on est d’ici, on voulait vendre au marché local, belge ou français“.

Comme lui, Françoise Meulemeester a une grande expérience du commerce transfrontalier. Elle produit de l’escavèche. “Aujourd’hui à Macquenoise, côté belge, pas loin de Chimay. Mais auparavant nous étions implantés dans le nord de la France, c’est là que j’ai commencé“. Elle a d’ailleurs conservé les deux recettes, la belge et la française, pour plaire à tous ses clients. “Mais savez-vous que lorsque j’ai déménagé, j’ai dû changer de numéro de TVA. Il ne commençait plus par FR mais par BE. Hé bien ça m’a coûté des clients. Une enseigne dans la distribution, qui s’adressait à moi, a tout arrêté, du jour au lendemain. Juste parce que je sortais de la liste ‘producteur local’, parce que j’allais en Belgique. Ce sont des bêtises, je trouve…

Source : Faire du business de l’autre côté de la frontière? Souvent casse-tête!

Le projet «Filière AD-T», initié dans le cadre du programme INTERREG V, a été officiellement lancé mardi à Gussignies, dans le Nord de la France. 19 opérateurs français, wallons et flamands unissent leurs compétences pour mettre en œuvre un dispositif d’accompagnement pour les TPE/PME du secteur agroalimentaire.

Le projet «Développement d’une Filière Agroalimentaire Durable Transfrontalière (AD-T)» a été officiellement lancé mardi à Gussignies, village français frontalier située tout près de l’entité de Honnelles, dans le Hainaut. Ce projet a pour objectif de soutenir et d’accompagner les TPE/PME, belges et françaises, actives dans le secteur agroalimentaire dans leurs démarches de développement transfrontalier.

Le projet «Filière AD-T» se veut un tremplin commercial pour les entreprises belges et françaises de l’agroalimentaire. Il entend ainsi mettre en réseau les acteurs de la filières agroalimentaires, pour, notamment, leur permettre de se connaître, de nouer des relations d’affaires, de booster la complémentarité plutôt que la concurrence….

Source : Lancement d’une coopération transfrontalière franco-belge dans l’agroalimentaire – sudinfo.be

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