Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Peu onéreux, le pain est souvent gaspillé en grande quantité. S’il n’est pas réutilisé sous forme de pain perdu, il finit bien souvent à la poubelle. Mais saviez-vous que le pain s’utilise pour confectionner de la bière ?

Il y a bien des millénaires, la bière était à la base de l’alimentation. Fabriquée à partir de galettes d’épeautre et d’orge trempées dans de l’eau, c’est donc à juste titre qu’on l’appelait “le pain liquide”. Aujourd’hui, le pain reste à la base de notre alimentation mais finit bien souvent rassis oublié dans un coin de la cuisine. Pire encore dans les boulangeries ou les sandwicheries, le pain finit souvent en fin de journée dans la benne. Il est possible de le réutiliser sous forme de chapelure ou de pain perdu mais aussi … de bière !

Vous reprendrez bien une pinte de pain ?

Pour lutter contre le gaspillage alimentaire, une organisation américaine a eu la superbe idée de récupérer la levure du pain pour en faire de la bière ! L’association 412 Food Rescue est basée à Pittsburgh, aux États-Unis, et travaille en lien avec les restaurants traiteurs et autres fournisseurs alimentaires pour lutter contre le gaspillage alimentaire et distribuer les invendus aux plus démunis. Cette fois, elle a fait équipe avec une brasserie locale, la East End Brewing Company, pour récupérer le pain rassis et le transformer en bière artisanale: la Loaf…

Source : Contre le gaspillage alimentaire, ils transforment le pain rassis en bière | Bio à la une

 

La réforme des aides aux entreprises vient d’être votée au Parlement. Elle répond aux attentes et demandes des entreprises de plus de transparence et de clarté, de facilité et légèreté des démarches, et de personnalisation.

Le Gouvernement wallon (et en particulier le Ministre Jean-Claude MARCOURT avec les Ministres Eliane TILLIEUX et Paul FURLAN) a souhaité créer un véritable « choc de simplification administrative » au bénéfice des entreprises en simplifiant et en recentrant les moyens vers les besoins les plus importants des entreprises.

Actuellement encore, il existe un nombre important d’aides aux porteurs de projets ou aux entreprises, dotée chacune d’une enveloppe budgétaire spécifique : bourse de pré-activité, bourse coopérative citoyenne (projet-pilote), chèque-formation à la création d’entreprise, prime à l’intégration de l’e-Business dans les petites et moyennes entreprises, bourse innovation, aides à l’internationalisation, chèques technologiques et chèques propriété intellectuelle, prime aux services de conseil, prime pour les audits énergétiques, aide à la transmission d’entreprises.

Avec cette réforme, ces aides dites « de premier niveau » seront rassemblées à un seul endroit, au sein d’un portefeuille intégré d’aides. Un seul dispositif d’aides donc, proposant de couvrir, au travers de chèques entreprises, l’ensemble des besoins des entreprises en vue de promouvoir l’entrepreneuriat ou la croissance. Ce portefeuille intégré (montant maximum de 37.500 euros) permettra de rémunérer des prestations couvrant la formation à la création d’entreprises, les conseils délivrés par un prestataire de services, visant exclusivement ou principalement à aider le porteur de projet à mieux définir son projet ou à déterminer la faisabilité du projet, et du coaching pour améliorer l’efficacité personnelle du porteur de projet. Ces chèques concernent 4 domaines :

1. L’innovation 

  • Innovation de produit (« chèques technologiques » et « chèques propriété intellectuelle ») ;
  • Innovation organisationnelle (« chèques excellence opérationnelle ») ;
  • Innovation stratégique (« chèques consultance stratégique »).

2. Le numérique

« Chèques à la transformation digitale » : analyse des besoins de développement numérique, accompagnement à la mise en œuvre, cyber-sécurité.

3. L’international

« Chèques développement international »

  • conseil en commerce extérieur, webmarketing et design pour le lancement de nouveaux produits ou d’un produit existant sur un nouveau marché ;
  • intervention ponctuelle liée à un projet à l’international (mise au point d’un plan stratégique ou résolution d’un problème spécifique à l’international) ;
  • recours à un coach en partenariat international ;
  • formations linguistiques.

4. La transmission

« Chèques transmission » : consultance dans le cadre d’une cession/reprise d’une entreprise (valorisation de l’entreprise, recherche d’un repreneur, réalisation d’une convention de cession,…).

Toutes les entreprises auront accès aux aides de base, mais certaines catégories bénéficieront de conditions particulières pour les aider à grandir. Ainsi, pour aider les entreprises les plus intensives, le dispositif permettra d’augmenter les taux ou les montants d’aide pour les starters, microentreprises, petites ou moyennes entreprises, entreprises avec une trajectoire de croissance et en fonction des priorités de la politique économique.

En ce qui concerne les prestataires de services, une norme de qualité, constituée d’indicateurs généraux relatifs à l’activité, l’expérience, la satisfaction du client, la connaissance du portefeuille d’aides, l’intégrité, et d’indicateurs spécifiques sera déterminée. Tout prestataire de services qui souhaitera participer au portefeuille d’aides devra s’engager dans une démarche qualité en formulant, conformément au référentiel qualité, ses engagements sur le niveau et la qualité des services qu’il garantit aux porteurs de projets ou aux entreprises. Un centre de référence sera reconnu en qualité d’organisme chargé du contrôle du référentiel de qualité et du suivi des prestataires de services.

Principe de confiance, amélioration des échanges et du suivi des dossiers

Le « choc de simplification administrative » vise aussi à généraliser le principe de confiance, à favoriser l’échange d’informations par voie électronique entre administrations et entreprises, et à améliorer encore la traçabilité du suivi des dossiers au sein de l’administration, en raccourcissant le délai de liquidation des aides.

Actuellement, les porteurs de projets et les entreprises doivent fournir un certain nombre de documents avec leur demande d’aide et la plupart des dossiers sont encore établis sur papier. Les processus de traitement prennent du temps, il est difficile pour un bénéficiaire d’avoir une vision claire du traitement de son dossier et les paiements sont encore exécutés dans des délais trop longs.

Avec la mise en œuvre de la réforme, cette situation ne devrait plus se présenter. L’ensemble des échanges entre l’administration et le bénéficiaire se fera de manière électronique, au travers d’une seule et unique plateforme. Cette digitalisation du portefeuille d’aides offrira à chacune des parties prenantes (bénéficiaire, prestataire, administration), une vue complète sur les dossiers et leurs états d’avancement. En outre, la plateforme permettra au prestataire de services d’effectuer tout ou partie des démarches sur la plateforme, au nom et pour le compte du bénéficiaire, en cas d’accord de ce dernier.

La gestion du dossier est simplifiée et l’examen de la demande d’aide par l’administration se limitera, en application du principe de confiance, à vérifier que les pièces nécessaires ont bien été déposées dans l’application, le contrôle étant organisé a posteriori et sur la base d’un échantillonnage. Un délai de rigueur sera fixé, impliquant qu’à l’issue du délai fixé, si aucune réponse n’a été donnée, le dossier sera réputé validé. Le bénéficiaire aura donc une réponse rapide sur sa demande d’aide.

Pour assurer le traitement rapide des paiements entrants (paiement de la quote-part de l’aide par le porteur de projet ou l’entreprise) ou des paiements sortants (paiement du prestataire), un marché public a été lancé pour désigner, à l’instar des titres-services, un émetteur de chèques externes chargé de gérer l’ensemble des flux financiers liés au dispositif. Des délais de traitements rapides des flux financiers ont été imposés.

Une banque de données unique

Le « choc de simplification » comprend également la réalisation d’une banque de données unique de sources authentiques ayant pour effet de ne solliciter qu’une seule fois, auprès des entreprises, les informations nécessaires à la gestion de leurs dossiers.

Actuellement, il n’existe pas en Wallonie de système global d’informations quantifiables uniformisé et harmonisé concernant les entreprises en Wallonie (en dehors de quelques dispositifs pilotes dans le secteur non-marchand). Et donc, lors de l’introduction de chacune de leur demande d’aide, les entreprises doivent chaque fois communiquer aux différents services administratifs et aux organismes publics compétents l’ensemble des informations requises.

La création d’une Banque de données de sources authentiques répond à ce besoin. Cette Banque de données liée au portefeuille intégré d’aides permettra notamment :

  • de simplifier les demandes d’aides dans le cadre du portefeuille intégré par le pré remplissage de certaines données déjà connues ;
  • de donner une meilleure information aux bénéficiaires sur leur consommation d’aides de minimis ;
  • une aide au pilotage et à la gestion du nouveau dispositif ;
  • d’établir de meilleures statistiques.

D’autres sources authentiques liées aux entreprises sont également en création, comme par exemple en matière d’environnement, au travers de la dématérialisation du permis. L’ensemble de ces sources permettront à terme d’avoir une vue plus large sur les données concernant les entreprises en Wallonie. Elle permettra ainsi de réorienter les métiers et expertises de l’administration afin que celle-ci ne soit plus réduite à un rôle de contrôle, mais devienne un véritable partenaire de l’entreprise dans sa volonté de créer de l’activité et de l’emploi.

source : http://www.infos-entreprises.be/fr

Sortie mercredi 11 janvier 2017 en salle du film “power to change”, la rebellion énergétique de Carl Fechner

Le film allemand “Power to change”, en salles ce mercredi, considère la transition vers les énergies renouvelables comme un facteur de paix universelle. Exemple ukrainien à l’appui.

GAZ. Le premier sujet du film de Carl Fechner “Power to change” –au cinéma ce mercredi– n’est pas l’énergie, mais la paix. Pour le cinéaste allemand, s’appuyer sur le vent et le soleil pour s’éclairer et se chauffer est un moyen de faire reculer les conflits. C’est pourquoi son film passe par l’Ukraine. Sa caméra revisite une zone d’un conflit oublié mais pas réglé. Les barrages militaires cernent le Donbass. Des soldats ukrainiens sont morts dans des accrochages ces dernières semaines. Cette guerre n’est pas seulement la conséquence d’un pays écartelé entre l’Europe et la Russie. C’est aussi un ballet mortel autour de la distribution du gaz russe.

C’est en tout cas le cœur du plaidoyer d’un des…

Source : Power to change, un film qui relie énergies renouvelables et paix – Sciencesetavenir.fr

Depuis plus de deux ans, Adrien Laduron, 28 ans, s’est découvert la passion de brasser la bière. Lui, qui jouait au petit chimiste dans sa cuisine, va bientôt voir son rêve se réaliser. Il finalise les travaux d’installation de la brasserie La Rogère dans une grange de Thuillies.

«  J’ai commencé à brasser ma bière dans des petites casseroles de deux litres chez moi  », nous raconte-t-il. C’est, en fait, inspiré par l’un de ses amis brasseur et en suivant ses conseils qu’il se lance et qu’il se laisse prendre au jeu.

«  Ouvrir ma brasserie, c’était quelque chose de totalement imprévu  ». En effet, le matériel nécessaire à cette pratique étant très coûteux, il est périlleux de s’y lancer seul. Mais l’année dernière, le passe-temps d’Adrien prend un tout autre tournant lorsqu’il a la possibilité d’acheter des cuves de seconde main, beaucoup plus abordables…..

Source : Thuillies: une nouvelle brasserie va ouvrir ses portes – lanouvellegazette.be

Un Néerlandais a mis au point un concept d’exploitation agricole 100 % durable à partir de principes éthiques et écologiques. Une production en autosuffisance va procurer la moitié de leurs besoins alimentaires à deux cents familles.

« Ce petit gars est le fermier du XXIe siècle. Il va devenir célèbre », lance le propriétaire du chemin qui longe la clôture. Seules les hautes bottes en caoutchouc vert caca d’oie donnent crédit à cette présentation de Geert van der Veer dont la chemise dernier cri au col bicolore dépasse d’une veste cintrée en molleton bleu marine. Sur les terres qu’il a louées en fermage à l’homme qui s’éloigne, ce Néerlandais de quarante ans
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-services/conso-distribution/0211667458292-aux-pays-bas-le-developpement-durable-sinstalle-a-la-ferme-2055315.php#ur6oDqP24ISVXp3A.99

Source : Aux Pays-Bas, le développement durable s’installe à la ferme, Conso – Distribution

Les PME wallonnes travaillent souvent seules, sans relation commerciale avec de grandes entreprises. Beaucoup ne sollicitent pas d’aides publiques, par manque d’information. Les principaux freins à la croissance des PME sont le coût du travail, la fiscalité et les charges administratives.

Un indépendant n’est pas fait pour le jeu d’équipe, il compte d’abord sur lui-même. L’image relève quelque peu du cliché, mais elle se vérifie pourtant à la lecture de l’enquête de l’Union des classes moyennes (UCM) auprès de ses membres. Une enquête qui illustre à quel point les PME ont besoin de soutien extérieur et dont voici les principaux constats….

Source : Quel est le problème des PME wallonnes? | L’Echo

Créatis va s’installer à l’ING Art Center, à Bruxelles, et compte héberger une dizaine d’entreprises culturelles et créatives à partir du 1er février 2017.

Source : Incubateur pour start-up culturelles | Entrepreneuriat – lesoir.be

Dans cette vidéo de la Nasa, il est possible de visualiser, pour la première fois, avec un niveau de détails impressionnant et en trois dimensions, le cycle du dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère, sur une année. Dans la perspective de mieux prédire l’évolution du changement climatique en cours sur le long terme, les scientifiques ont besoin de recueillir un maximum de données sur la circulation de ce gaz à effet de serre émis massivement par nos activités humaines.

Si les êtres humains pouvaient voir le dioxyde de carbone (CO2) injecté dans l’atmosphère chaque heure, chaque jour, chaque année, il est probable qu’ils auraient choisi d’agir beaucoup plus tôt dans l’histoire pour en limiter les émissions, principales responsables du réchauffement global en cours.

Au lieu de cela, le fameux gaz carbonique issu des combustibles fossiles est invisible (ou presque) et de nombreux Terriens ne mesurent pas les conséquences sur le long terme des rejets massifs et croissants depuis la Révolution industrielle (XIXe siècle)…..

Source : Vidéo | La circulation du CO2 dans l’atmosphère comme vous ne l’avez jamais vue

 

Inter Environnement Wallonie, le WWF et Greenpeace publient un “scénario électrique” à l’attention des pouvoirs publics. Il s’agit d’une projection de la production et de la consommation d’électricité en Belgique, à l’horizon 2030. Commandée au centre de recherches européen spécialisé dans la transition énergétique 3E, cette étude se base sur les objectifs renouvelables imposés par l’accord de Paris et la sortie du nucléaire prévue en 2025. Pour respecter les engagements tout en garantissant l’approvisionnement électrique, 58% de la consommation devrait, selon ce scénario, être assurée par les énergies renouvelables d’ici 2030.

Des coûts de production en baisse

Ces énergies renouvelables seraient beaucoup moins coûteuses aujourd’hui, explique Arnaud Collignon, chargé de mission Energie chez Inter Environnement Wallonie: “la production d’électricité dans l’éolien en mer est le meilleur exemple. Il y a un an, les prix étaient doubles par rapport à ce qu’on observe aujourd’hui, notamment avec les derniers appels d’offre des Pays-Bas”. …

Source : Environnement: quel scénario pour sortir du nucléaire et atteindre les objectifs de Paris?

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