Inter Environnement Wallonie, le WWF et Greenpeace publient un “scénario électrique” à l’attention des pouvoirs publics. Il s’agit d’une projection de la production et de la consommation d’électricité en Belgique, à l’horizon 2030. Commandée au centre de recherches européen spécialisé dans la transition énergétique 3E, cette étude se base sur les objectifs renouvelables imposés par l’accord de Paris et la sortie du nucléaire prévue en 2025. Pour respecter les engagements tout en garantissant l’approvisionnement électrique, 58% de la consommation devrait, selon ce scénario, être assurée par les énergies renouvelables d’ici 2030.
Des coûts de production en baisse
Ces énergies renouvelables seraient beaucoup moins coûteuses aujourd’hui, explique Arnaud Collignon, chargé de mission Energie chez Inter Environnement Wallonie: “la production d’électricité dans l’éolien en mer est le meilleur exemple. Il y a un an, les prix étaient doubles par rapport à ce qu’on observe aujourd’hui, notamment avec les derniers appels d’offre des Pays-Bas”. …
Source : Environnement: quel scénario pour sortir du nucléaire et atteindre les objectifs de Paris?
August 2016 has been the hottest August ever measured by NASA’s Goddard Institute of Space Studies. In fact, it’s also the 11th consecutive month to break that record. Moreover, NOAA (US National Oceanic and Atmospheric Administration) reports that each of the last 16 months were the warmest they’ve ever measured since records began in 1880. You know you’re in serious trouble when you’re breaking a record every month, 16 times in a row.
Source : Low-carbon electricity production: who’s ahead? – Tmrow – Medium
Que cache ce « collectif anonyme » de vignerons ? Une joyeuse bande qui opère, depuis quelques années dans les Pyrénées-Orientales, une petite révolution dans le monde viticole français. Vignerons et vigneronnes adeptes du bio y expérimentent un mode de production alternatif, depuis la taille de la vigne jusqu’à la mise en bouteille. La philosophie de ce « collectif anonyme », soucieux de ne pas attirer l’attention sur le travail d’une seule et unique personne : utiliser le savoir-faire traditionnel, la permaculture, et leurs propres essais afin de produire des vins de qualité.
Au fond d’une impasse de Port-Vendres, dans les Pyrénées-Orientales, deux portes bleues marines. Aucun signe distinctif si ce n’est un gros van noir sur lequel est apposé le logo du collectif anonyme, un tire-bouchon limonadier semi-ouvert qui vient rappeler le « A » de « anarchie ». Tout est calme. Loin de l’agitation de la veille, quand Kris et ses deux partenaires, Julia et Jackie, ont mis en bouteille les 650 litres de leur millésime 2015 de grenache gris et blanc, soit plus de 800 bouteilles. A l’intérieur de l’ancien garage dont les murs ont été repeints à la chaux et les poutres à l’huile de lin, on est indéniablement dans un chai. Et plutôt atypique…..
Source : Zéro pesticide, travail collaboratif, permaculture : le pari réussi d’un collectif de vignerons anonymes – Basta !
Les forêts publiques wallonnes plus facilement vendues à des particuliers ou des investisseurs, ce n’est pas pour tout de suite. La levée de boucliers d’une quinzaine d’associations, essentiellement environnementales, a été entendu par le gouvernement régional, qui va demander le gel d’une proposition de décret pourtant adoptée il y a quelques jours en commission du parlement wallon. Explications.
Sonnette d’alarme
Ce texte co-signé par 4 députés PS et cdH, c’est une modification du Code forestier. Il s’agit, notamment (et pour faire simple), de faciliter la vente de pans de forêts appartenant en partie ou totalement à la région, en donnant les pleins pouvoirs au gouvernement, sans devoir passer par le parlement.
C’est technique, mais en substance, la Wallonie pourrait ainsi se séparer de centaines ou de milliers d’hectares de la forêt d’Anlier, de la forêt de Baudour, de la forêt de la Vecquée à Seraing et Neupré, ou encore de la forêt d’Herbeumont, pour ne citer que quelques exemples….
Source : Le projet de privatisation d’une partie des forêts wallonnes est reporté
Bourse de préactivité, bourse à l’innovation, primes e-business… toutes ces «petites» primes à l’entreprise disparaissent dans leur état actuel ce 31 décembre. Pour être remplacées par quoi?
Les entrepreneurs qui veulent introduire leur dossier en ligne découvrent, étonnés, que la prime qu’ils comptaient solliciter disparaît tout simplement fin 2016. Et qu’ils n’ont aucune garantie que les heures passées à formaliser leur demande puissent déboucher sur un quelconque résultat. Certes, dans le cadre de son vaste Plan PME, le ministre régional de l’Économie a plusieurs fois annoncé son intention – très louable – de simplifier le régime d’aides actuels. Mais la Région wallonne ne brille pas par sa communication proactive sur ce dossier. Même les professionnels de l’accompagnement (incubateurs, centres d’innovation, etc.) sont dans le brouillard. Un « plan de communication » est prêt à être enclenché, mais il dépend encore de l’issue de discussions (budgétaires) essentielles ces prochains jours sur les plafonds et taux d’intervention…
Source : Primes wallonnes: le grand chambardement | Entrepreneuriat – lesoir.be
Avec une équipe internationale de 80 chercheurs, le professeur Marielle Saunois vient de publier le premier bilan complet des émissions de méthane sur Terre. Selon elle, diminuer les émissions de ce gaz polluant est nécessaire et loin d’être impossible.
Le méthane pourrait bien devenir le nouvel ennemi numéro 1. Car si ce gaz polluant contribue pour 20% ‘seulement’ au réchauffement climatique -là où le CO2 en est responsable à 80%- il est 28 fois plus réchauffant que le CO2 sur 100 ans. Or les émissions de méthane sont en pleine augmentation depuis 2006 et explosent carrément depuis 2014. Bref, si l’on veut contenir le réchauffement sous 2°C supplémentaire, l’ambitieux seuil fixé fin 2015 lors de la Cop21 à Paris, la lutte contre les diffusions de méthane doit devenir prioritaire.
LIRE AUSSI >> Climat: la flambée des émissions de méthane inquiète les chercheurs
C’est ce qu’explique l’Inaugural global methane budget, une étude dressant pour la première fois un bilan complet des émissions de méthane sur Terre. L’occasion d’interroger Marielle Saunois, enseignante-chercheuse en physique-chimie de l’atmosphère au LSCE-IPSL, principal auteur de l’étude menée par plus de 80 chercheurs de 15 pays et publiée dans le journal Earth System Science Data.
D’où vient le méthane? …..
Source : “Les solutions pour baisser les émissions de méthane existent” – L’Express
La majorité des salariés connaissent peu la stratégie de RSE au sein de leurs entreprises, mais s’ils en étaient mieux informés, ils seraient prêts à s’engager plus, d’après une étude réalisée par Ekodev et Des Enjeux et des Hommes. En partenariat avec l’institut de sondage ViaVoice, ils ont interrogé plus de mille salariés sur leur perception de la RSE.
La responsabilité sociétale des entreprises ou RSE est l’idée selon laquelle les entreprises doivent “contribuer au développement durable” en intégrant les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leurs activités.
De plus en plus d’entreprises passent aujourd’hui d’une RSE “subie” ou “pour la com’” à une RSE active devenant stratégique pour leur business, l’innovation, l’attraction et la rétention des talents. Oui mais voilà, les contours de la RSE sont flous et cette notion est encore trop méconnue des salariés eux-mêmes et du grand public. D’où l’intérêt d’y voir plus clair avec des études comme celle-ci….
Source: http://www.socialter.fr/fr/module/99999672/317/les_salaris_prts__simpliquer_plus_dans_lentreprise_responsable_malgr_une_mconnaissance_de_la_rse_
C’est ce que montre l’ étude d’une scientifique australienne.Une nouvelle étude étonnante menée par une scientifique australienne Monica Gagliano vient ébranler notre conception de la végétation. Elle a démontré qu’un type de plante, le mimosa pudica, était capable d’intégrer des informations et de les retenir pendant plusieurs semaines. Cette découverte étonnante remet en question l’idée que les végétaux ne disposent pas d’une forme d’intelligence.
Le mimosa pudica a la particularité de fermer ses feuilles quand un élément extérieur vient le perturber ou le toucher. Les scientifiques y voient une technique de protection d’autodéfense face aux prédateurs. Pour Monica Gagliano, professeure de biologie à l’Université d’Australie Occidentale, la particularité de ce végétal était surtout un moyen de tester son intelligence. Pour ce faire, la chercheuse a mis au point une sorte d’ascenseur à sensations fortes pour le mimosa. L’objectif : tester si celui-ci réagit en rétractant ses feuilles. Ce fut le cas….
Source : Les plantes ont une mémoire – DH.be