Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Marc Vanoverschelde n’est pas un exploitant agricole comme un autre. D’ailleurs, il ne veut pas exploiter la terre et les bêtes. Juste les respecter. Et respecter le consommateur. Un cycle vertueux.

«Je ne suis pas un exploitant agricole, car je ne veux pas exploiter la terre. L’agriculture c’est travailler la vie en permanence et nous, les paysans, nous sommes en lien avec ce monde du vivant, nous sommes simplement des facilitateurs de vie, pas des producteurs. Car ceux qui travaillent et produisent, ce sont la vache et la plante.»

+ La leçon de Marc: «Je n’exploite pas la terre, je facilite la vie»

+ Le regard de l’expert : l’agroécologie doit devenir l’agriculture du futur

Ce mode de fonctionnement, cette philosophie de vie même, Marc Vanoverschelde l’applique en prenant soin et en établissant un lien particulier avec chaque plante, chaque animal dans le cadre d’un «organisme ferme» où chaque élément à sa place et son rôle, expose-t-il. Le fermier étant là pour veiller à ce que ce système reste pérenne….

Source : Agriculture: «C’est le consommateur qui me fait grandir» – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

 

La Commission européenne va dévoiler ce mercredi ses propositions pour organiser le marché de l’énergie et en particulier le renouvelable.

La Commission a coulé dans des textes les engagements pris par les 28 États membres avant la COP21 de Paris, il y a deux ans. Ils s’étaient engagés à réduire de 40% les émissions de gaz à effet de serre en Europe dans les 15 ans à venir, donc d’ici 2030. Pour y arriver, l’objectif est de porter à 27% la part du renouvelable dans la production d’électricité et d’arriver aussi à 27% d’économies d’énergie, tout cela d’ici 2030.

Ces objectifs ont été concrétisés dans une série de mesures très techniques.

Avant même que ces propositions soient publiées, les commentaires sont déjà assez nombreux à gauche, comme à droite.

Les ONG environnementalistes par exemple sont sur le pied de guerre. Elles redoutent que la Commission supprime l’accès prioritaire au réseau des énergies renouvelables sous prétexte que ces énergies sont assez matures aujourd’hui. Cela reviendrait, selon les ONG, à favoriser les centrales classiques au détriment des éoliennes, plus faciles à arrêter en cas de surplus d’électricité…

Source : Energie renouvelable: la Commission européenne dévoile ses propositions, déjà très critiquées

Mobilier en briques de lait recyclées, application pour mesurer les émissions polluantes de ses déplacements, maison en kit à isolation performante: start-up et PME redoublent d’imagination pour réduire l’impact environnemental de nos modes de vie.

Une plaque de béton, une mousse isolante conforme aux réglementations les plus strictes et une couche de gypse prête à enduire et à peindre, la société Easymur présente un concept innovant de mur à isolation intégrée pour le logement, à l’occasion du salon Pollutec des entreprises de l’environnement à Lyon.

“Ces panneaux, fixés sur une charnière métallique, s’emboîtent ensuite comme un Lego pour réaliser une maison ou un bâtiment plus important”, explique Edouard Burel, cofondateur de la société, créée à Valence il y a deux ans et dont le site de production est dans l’Ain.

Après une dizaine de chantiers déjà réalisés, Easymur vise une centaine de chantiers l’an prochain. En mettant en avant les atouts de son mur isolant: “il permet d’avoir une consommation d’énergie deux à trois fois inférieure par rapport à une maison” aux meilleures normes, et réduit de trois mois la durée du gros oeuvre….

Source : Au salon Pollutec, des innovations pour réduire notre impact sur l’environnement

L’Union européenne publie son “paquet climat” sur les énergies renouvelables et les économies d’énergie en 2030

La Commission européenne a présenté ses propositions de production d’énergie renouvelable et d’économies d’énergie à l’horizon 2030. Ce “paquet d’hiver” gros d’un millier de pages se donne des objectifs trop frileux selon les ONG.

PAQUET. Les 28 Etats membres de l’Union européenne n’ont plus que trois ans pour atteindre l’objectif du “trois fois 20” du “plan climat” de 2008 c’est-à-dire 20% en moins de gaz à effet de serre par rapport à 1990, 20% d’énergie renouvelable en plus et un gain d’efficacité énergétique de 20%. L’heure du bilan n’a pas encore sonné pour cette première étape qu’il faut déjà se projeter à 2030 tant les politiques énergétiques sont lourdes à mettre en œuvre. Pour ce nouvel horizon baptisé “paquet d’hiver”, la Commission européenne vient de proposer 40% d’émissions de gaz à effet de serre en moins (par rapport à 1990), 27% d’énergie renouvelable en plus et 30% de consommation d’énergie en moins via l’efficacité énergétique et les politiques d’économie.

Les énergies renouvelables
VOIE CONTRAIRE? « Parvenir au premier rang mondial pour les énergies renouvelables », tel est l’objectif proclamé par la Commission. Si les 27% d’énergie renouvelable concernent tous les secteurs y compris les transports encore largement dominés par le pétrole, la moitié de l’électricité devra en revanche provenir du solaire, de l’éolien, des énergies marines ou de l’hydraulique. La Commission table pour cela sur des marchés de l’énergie donnant un accès équitable à toutes les sources de production. C’est donc la fin de l’accès prioritaire au réseau des énergies renouvelables, Bruxelles estimant que désormais solaire et éolien sont suffisamment concurrentiels pour lutter à armes égales avec le charbon ou le nucléaire. Cette disposition déplaît fortement au Réseau Action Climat France qui dénonce une voie contraire à l’accord de Paris sur le climat. «C’est tout le contraire que se proposent de faire ces projets de directives sur les énergies renouvelables : en fixant un objectif de seulement 27 % de renouvelables en 2030 (l’Europe atteindrait 24 % sans nouvelles politiques), en menaçant de supprimer l’accès prioritaire au réseau et certains mécanismes de soutien pour ces énergies, en autorisant les subventions déguisées aux énergies fossiles et en n’adoptant pas les règles de gouvernance adéquates », dénoncent les ONG françaises. De même, les associations environnementales sont vent debout contre la proposition européenne d’accélérer le développement des biocarburants s’ils émettent 70% de gaz à effet de serre de moins que les carburants fossiles. Pour les ONG, il faudrait au contraire se donner pour objectif d’abandonner biodiesel et essence à l’éthanol d’ici 2030….

Source : L’UE publie son “paquet énergie” pour l’horizon 2030 – Sciencesetavenir.fr

Si la production d’énergie éolienne est souvent associée aux grands groupes énergétiques, elle peut également s’effectuer à plus petite échelle. Au Royaume Uni, l’organisation V3 Power propose des ateliers destinés à construire de toute pièce une éolienne fonctionnelle.

L’histoire commence en 1978, lorsque Hugh Piggott imagine et construit son premier prototype d’éolienne. “Mon but premier est de concevoir des designs faciles à construire, fiable et efficace même lors de faibles vents”, explique-t-il sur son site internet .

Après presque 40 ans d’expérimentation et d’apprentissage, Hugh Piggott est aujourd’hui une référence dans le domaine de l’énergie éolienne. Disponible dans ses livres d’instructions détaillées, l’expertise de cet ancien fermier originaire du Nord de l’Écosse sert de base aux stages d’auto-construction proposés par de nombreuses organisations autour du monde.

“Si de nombreuses communautés mettent en place ce type d’actions concrètes, ça peut avoir un impact incroyable”, commente Caro, qui a participé en mai dernier à un projet de construction d’éolienne organisé par V3 Power à Édimbourg. Cette coopérative, créée en 2006 à Nottingham, se propose d’éduquer la population aux énergies renouvelables en recentrant la production d’énergie sur les communautés locales.

Elle organise, pour ce faire, des ateliers…

Source : “J’ai construit mon éolienne” : Comment des citoyens reprennent le contrôle de leur production d’énergie

 

Zoé a décidé de se battre. Chacun doit faire sa part. Et si on est beaucoup, on va gagner ! Vous êtes prêts à suivre Zoé ?

La plateforme de financement participatif Miimosa propose au public de soutenir des projets agricoles et alimentaires locaux, durables et de qualité.

“J’adore casser les idées reçues.”Florian Breton a fait fi d’une certaine perplexité ambiante (“Des agriculteurs feraient appel au financement participatif ? Le public financerait des agriculteurs ? Mais non !”) quand il a lancé en France, il y a pile deux ans, Miimosa, une plateforme de crowdfunding exclusivement dédiée à des projets agricoles et alimentaires. En 2014, ce petit-fils de viticulteur des Pyrénées orientales, qui a travaillé comme saisonnier, a plaqué son boulot dans les médias pour créer ce concept unique qui débarque aujourd’hui en Belgique. Et c’est une première du genre. “Je suis parti du constat que le secteur de l’agriculture était fragilisé, à cause notamment de la crise. Avec Miimosa, j’ai voulu soutenir les petites et moyennes structures agricoles, les circuits courts, une alimentation et une agriculture locales et de qualité mais pas forcément bio, pérenniser des emplois”, explique Florian Breton. Et ça marche ! Depuis son lancement, la plateforme française a levé 2 millions d’euros et accompagné 400 projets, dont le taux de réussite est de 79 %….

Source : Le crowdfunding agricole est lancé en Belgique – La Libre.be

Chez nous, seulement 12 % des éoliennes sont aux mains des citoyens et du secteur public. Le reste est aux mains de grandes compagnies privées. Zoé ne trouve vraiment pas ça juste. Et vous… ? #REScoop #COCITER www.rescoop-wallonie.be

 

Elle produira 2,2 millions de kilowatts/heure par an.

Équiper la basse Sambre de centrales hydroélectriques en exploitant les chutes d’eau de six barrages entre Charleroi et Namur : ce projet de quinze millions d’euros a connu un ralentissement entre 2011 et 2015.

Relancé en début d’année, il voit l’achèvement de la construction de la deuxième unité à Monceau, après Marcinelle. D’une puissance de 660 mégawatts utiles, elle produira 2,2 millions de kilowatts/heure par an, soit l’équivalent de la consommation de 600 à 700 ménages, selon Stéphane Verraes, administrateur délégué du bureau d’études liégeois Merytherm en charge de ce projet…

Source : Une centrale hydroélectrique sur la Sambre – DH.be


REScoop Wallonie: Zoé a appris un beau mot : coopération. Mais qu’est-ce que ça veut dire exactement ? Comment ça marche, une coopérative ? Découvrez-le avec Zoé…

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