Selon une étude de l’ONG Nature Conservancy, en investissant à peine 3,6 euros par habitant dans la plantation d’arbres, les villes pourraient sauver entre 11 000 et 37 000 vies par an.
Développement du réseau de transports en commun, des services d’autopartage, aménagement de pistes cyclables, de zones piétonnes, restriction de la circulation dans le centre-ville, couverture de voies rapides… Les villes se montrent de plus en plus soucieuses d’améliorer la qualité de l’air sur leur territoire. Dans le même temps, sous l’effet du changement climatique, elles sont appelées à connaître des épisodes caniculaires de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/11/03/les-arbres-rafraichissent-l-air-des-villes-tout-en-reduisant-leur-pollution_5024971_3244.html#k9IAbPg14yXGlZDw.99
Source : Les arbres rafraîchissent l’air des villes tout en réduisant leur pollution
La réglementation qui définit les conditions d’utilisation des produits phytosanitaires va faire l’objet d’une révision d’ici la fin de l’année notamment la partie concernant l’agriculture bio. Une réforme qui fait débat.
A partir du 6 janvier prochain, la réglementation européenne concernant l’application des produits phytosanitaires en France arrive à son terme. La Commission, le Parlement et le Conseil européen se réunissent, en ce moment, à huis clos pour établir un nouveau règlement d’ici la fin de l’année. Cette nouvelle réforme inquiète les associations environnementales.Il y a peu de temps encore, l’Europe avait envisagé d’assouplir ses critères pour l’obtention d’un label bio. L’agriculture biologique risque de perdre la qualité sanitaire et l’intégrité de ses produit. Un marché du bio qui risque d’être contestée tandis qu’elle connaît une forte progression depuis quelques années.
Vers une réglementation plus indulgente ?
Adoptée en 2007, la réglementation sur les OGM et pesticides proposée par la député européen, Christine Lagarde, autorise la présence de ces derniers à hauteur de 0,9% dans les produits bio. On estime qu’en dessous de 1%, la présence d’OGM et pesticides n’est que sous forme de traces. Aujourd’hui encore, les produits labellisés biologiques respectent, tous sans exception, cette réglementation.
Pourtant, une nouvelle réglementation sur l’utilisation des produits phytosanitaires risque de bouleverser l’avenir de l’agriculture biologique. Les institutions européennes s’interrogent sur l’éventuelle instauration d’un seuil de produits non autorisés (OGM et pesticides) qui aujourd’hui, pourtant, fait perdre la certification bio d’un produit. Une question qui vient heurter les pratiques de l’agriculture biologique et provoquer de virulentes réactions au sein des associations environnementales…
Source : L’Europe envisage d’instaurer des seuils de pesticides dans l’agriculture bio | Bio à la une
La capitale du Grand-Duché, avec ses 22.000 arbres, est la ville la plus boisée du continent. Pour les gérer, Luxembourg a fait appel à la technologie de geoVAL.
L’écran de l’ordinateur de Roland Kirch se remplit de cercles. De grands cercles, de petits cercles, chacun d’une couleur différente, et chacun contenant un chiffre. Bienvenue au bureau d’enregistrement des arbres de la ville de Luxembourg. Avec ses 111.000 habitants, la capitale du Grand-Duché abrite à présent quelque 20.000 arbres, et Kirch, qui est responsable de la gestion des arbres au Service des parcs de la ville, en connaît beaucoup personnellement.
La ville de Luxembourg, qui s’étend sur une superficie d’environ 5.000 hectares, peut se vanter d’avoir à peu près 970 hectares de forêt, ce qui est une proportion unique en Europe. Les équipes travaillant avec Roland Kirch s’occupent sans relâche de prendre soin des arbres de la ville, en particulier ceux qui bordent les rues et les terrains de jeux, ainsi que ceux qui poussent dans les parcs et d’autres endroits fréquentés par les piétons. En tant qu’inspecteur arboricole certifié, il sait combien il peut être difficile de déterminer si un arbre est malade ou pas. « Ainsi, l’anthracnose (Kretzschmaria deusta) ne peut pas toujours être identifiée de l’extérieur », commente l’expert. « Le champignon détruit l’arbre de l’intérieur, et peut l’affaiblir à un tel point qu’il arrive que l’arbre tombe soudain, sans prévenir. » Dans de tels cas, des appareils de tomographie sonore sont utilisés….
Source : Quand le numérique gère les arbres de la ville de Luxembourg, Énergie – Environnement
La start-up liégeoise Hytchers développe une application logistique à destination des e-commerçants. Particularité : la livraison sera effectuée par Monsieur Toutlemonde, sur le modèle collaboratif à la Blablacar, sauf que les colis remplacent les personnes.
Beaucoup d’e-commerçants belges se plaignent des frais logistiques, relativement élevés dans notre pays comparés à certains pays voisins, surtout pour les expéditions internationales, même à 10 km de la frontière.
Antoine Dessart et Jonas Douin, ingénieurs civils qui se sont rencontrés au Master en entrepreneuriat d’HEC Liège, explorent le modèle collaboratif pour alléger les coûts de livraison de colis pour les PME.
Leur start-up Hytchers, actuellement accompagnée au Venturelab, l’incubateur liégeois pour étudiants et jeunes diplômés, se prépare à lancer une version bêta d’une application qui mettra en rapport e-commerçants et automobilistes désireux de ‘rentabiliser’ leurs trajets en emportant l’un ou l’autre colis….
Source : Un « Blablacar du colis » ciblant les e-commerçants belges | Entrepreneuriat – lesoir.be
DESCRIPTION
“Un seul clic malencontreux peut suffire à paralyser l’activité de votre société et mettre ses avoirs en péril !’’
La cybercriminalité, un sujet parfois méconnu mais pourtant d’actualité. En partenariat avec Synergie, la Regional Computer Crime Unit de la Police Judiciaire Fédérale de Mons vous présentera ses activités et vous donnera des conseils et bonnes pratiques pour réagir à un incident informatique en s’appuyant sur des exemples concrets.
Source : Agenda | Synergie PME
A partir du 1er janvier 2017, un statut fiscal un peu particulier verra le jour, celui de l’étudiant-entrepreneur. C’est en tout cas ce qu’a annoncé la Haute Ecole provinciale de Hainaut-Condorcet dans le cadre d’une série d’ateliers animés destinés à ses étudiants de terminale, toutes sections confondues, lors de la journée de l’entrepreneuriat. Un véritable succès pour une première avec, environ, 500 inscrits!
L’esprit d’entreprise fait partie intégrante du projet pédagogique de Hainaut Enseignement. La Haute Ecole Condorcet prévoit des aménagements afin de permettre à ses étudiants-entrepreneurs de poursuivre leur cursusus tout en développant leur business !
Avantages
Marc Vandercammen est référent entrepreneurial à Condorcet. “Moyennant certaines conditions que l’etudiant-entrepreneur devra respecter, la Haute Ecole va lui accorder des avantages”. Par exemple, des dispenses à certains cours pratiques obligatoires ou des sessions d’examens déplacées. “Par ailleurs, ils auront l’opportunité de réaliser des stages et un travail de fin d’études en lien avec leur entreprise”. Le TFE entrepreneurial comprendra deux parties. “La première devra concerner le métier faisant l’objet des études : diététicien, assistant social, enseignant…”. La seconde partie sera un business plan. “S’il réussit son TFE, l’étudiant pourra l’utiliser comme document officiel pour trouver des investisseurs”. La Haute Ecole semble déjà avoir établi des accords avec des incubateurs d’entreprises, comme Héraclès à Charleroi. “Des coachs accompagneront les étudiants dans leurs démarches, ils bénéficieront d’un accès à des locaux pour travailler ou rencontrer des clients”, ajoute le coordinateur du projet.
A noter, également, que les compétences acquises dans le cadre de ce statut donneront accès à l’attribution de crédits comptablisés pour la réussite des études.
Un véritable contrat entre l’école et l’étudiant
Pour bénéficier de pareils avantages, l’étudiant-entrepreneur doit évidemment s’engager à respecter certaines conditions. D’abord, rentrer un dossier de candidature qui fera l’objet d’une sélection devant commission. “Il devra rendre un planning des tâches à réaliser pour les 12 mois à venir”, précise Marc Vandercammen. Et d’ajouter que “le business proposé par l’étudiant doit tenter d’apporter une solution à un problème. Il doit être acceptable au niveau des valeurs et de l’éthique”. Maxime, qui participe à l’atelier, est étudiant ingénieur industriel. “Je souhaite développer une activité liée aux produits “bio”, aux entreprises locales et de proximité”.
Environ 100 jeunes ont marqué un intérêt par rapport à l’atelier etudiant-entrepreneur. Il est évident que tous ne vont pas lancer leur business. ” Au-delà de vouloir créer sa propre entreprise, c’est avant tout une démarche intellectuelle”, précise l’enseignant. Les étudiants semblent réaliser de manière très mature que l’entrepreneuriat est une dynamique à adopter au quotidien dans un job : “ils savent qu’ils sont maîtres de leur destin et qu’eux seuls peuvent mettre en place ce qu’il faut pour se plaire là où ils travaillent ou aller là où ils se plairaient davantage”.
Infos :
marc.vandercammen@condorcet.be
0475/78 44 51
Source : Etudiant-entrepreneur, un nouveau statut fiscal? | Dialogue@Hainaut
Le projet Proxial, mené par la Province de Hainaut, vise à développer une alimentation saine, durable et responsable dans ses écoles depuis environ deux ans. Objectif : intégrer davantage de produits frais, de saison et peu transformés dans l’assiette des jeunes. Un véritable système de management de développement durable dans l’enseignement provincial.
Sa mise en place nécessite le rassemblement des compétences et la formation du personnel de cuisine, du personnel enseignant et des autres partenanires chargés d’accompagnés les élèves. Une démarche déjà d’application au mess de l’école de nursing de Tournai.
Motivation et gestion autonome
“Nous travaillons avec 40 fournisseurs locaux et régionaux”, explique Marie-Ange Voet, gestionnaire du messe et de l’internant de l’IESPP Tournai. Ses cuisiniers utilisent des produits bio et de saison. “Cela fonctionne car mes équipes acceptent de ne pas utliser du “tout fait”. Ca prend plus de temps, il faut des moyens humains pour y arriver”. Autre clé du succès : une autonomie de gestion dans le choix des produits. “On doit savoir s’adapter à notre public”.
Proximité, gage de qualité ?
“Nous travaillons avec le boulanger du coin et le seul poissonnier de la région”, confie la gestionnaire. “Cela crée inévitablement une proximité avec nos fournisseurs”. Une négociation et des échanges qui favorisent la qualité dans l’assiette. “Nos yaourts viennent de la ferme”. Au début, il semble que les jeunes étaeint réticents, habitués au packaging des grandes marques. “On a continué à servir les deux pendant un temps, on les a mis dans des coupelles”. Au final, c’est le local qu’il a emporté auprès des élèves !
Manger local ne coûte pas plus cher
“A Tournai, on cuisine et on sert le légume de la semaine”. Il est disponible en quantité chez le producteur et à un prix plus qu’abordable. “On le décline différemment au fil des jours”. Les jeunes adhèrent, ils découvrent des nouveautés : “Ils connaissent tous la courgette farcie, ils adorent à présent le flan de courgette !”
Les responsable du projet Proxial estiment que l’implication des parents apparaît comme un défi essentiel auquel chaque école doit se confronter. “La sauce prend à Tournai, on a un véritable return. Les parents viennent nous demander les coordonnées de nos producteurs car leurs enfants sont satisfaits”.
Des réticences dues aux contrôles de l’AFSCA pourraient être un frein à la motivation des autres mess dans démarche. Marie-Ange Voet conseille simplement à ses collègues qui vont se lancer de “séparer la zone de lavage des fruits et légumes de la zone de découpage”.
A l’heure où les médias ne parlent que de commerce global, Hainaut Enseignement veut donner la priorité aux productions de proximité dans le but de promouvoir l’agriculture et l’économie locale.
L’agriculture mondiale, à la fois source et victime du réchauffement climatique, doit réaliser une transformation profonde pour relever le défi de nourrir l’humanité, estime l’Organisation de l’ONU pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) dans un rapport présenté lundi à Rome.
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Les arbres seraient bien plus doués que nous le pensions pour fabriquer des nuages et rafraîchir le climat. C’est ce que montrent des simulations de l’effet des aérosols dans l’atmosphère préindustrielle, réalisées à partir de l’expérience Cloud, au Cern, et qui explore cette question depuis plusieurs années.
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Source : Climat : selon le Cern, les arbres influent sur la formation des nuages (MAJ)
Espace Environnement et ses partenaires du projet Interreg Va FAI-Re (Former, Accompagner, Inspirer, Rénovation efficiente) vous invitent à la conférence de lancement du projet qui se tiendra le vendredi 21 octobre prochain de 14 à 17 h lors du Salon Energie & Habitat de Namur. Sous l’angle de la formation, de l’emploi et de la rénovation énergétique du […]
Source : Conférence de lancement du projet Interreg Va FAI-Re le 21 octobre à Namur – Espace Environnement