La Région s’appuie sur les municipalités qui ont adopté des chartes anti-dumping social pour fédérer l’ensemble des communes. Elle fournit une aide pour inclure des clauses sociales dans les marchés publics et surveiller les chantiers.
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Source : Aider les communes contre le dumping | Liège – lesoir.be
Samuel Colasse, enseignant et chercheur au Carah, un centre de recherche pour l’agronomie et l’agro-industrie situé dans le Hainaut (est de la Belgique), relativise: le concept d’agronomie urbaine n’est “pour l’instant pas hyper convaincant” dans des pays comme la France ou la Belgique “car la distance entre les champs et la ville n’est pas énorme”, estime-t-il.
Source : Des salades cultivées dans des fermes verticales en Belgique
Depuis le début du mois, les cyclistes Polonais de Lidzbark Warminski sont des pionniers : ils roulent sur une piste cyclable 100% autonome en énergie, exclusivement éclairée grâce au soleil!
Une invention spectaculaire qui marie parfaitement le progrès technologique avec les considérations écologiques.
Cette piste cyclable unique au monde a été mise au point par les ingénieurs de l’Institut de recherche technologique. Son secret ? Elle est revêtue de luminophores, des particules luminescentes qui absorbent l’énergie du soleil pour la restituer le soir sous forme de lumière !
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Source : En Pologne, cette piste cyclable est éclairée par l’énergie du soleil
Que ce soit en libérant des composés chimiques ou en communiquant via les champignons du sol forestier, les plantes s’échangent des informations. Est-ce pour autant une forme de communication ?
Un livre récemment paru au Royaume-Uni, The Hidden Life of Trees, affirme que les arbres se parlent. Mais est-ce vraiment le cas ? On pourrait commencer par répondre en disant que les plantes échangent en effet des informations entre elles et avec d’autres organismes, comme les insectes.
Prenons, par exemple, les odeurs qui montent de l’herbe fraîchement coupée ou de la sauge broyée. Certains des éléments chimiques qui composent ces odeurs avertiront les autres plantes d’une attaque ou appelleront les insectes à les défendre. Ces effluves peuvent ainsi être considérées comme autant de cris d’alerte ou d’appels à l’aide.
Lorsque les plantes sont affaiblies par une infection ou dévorées, elles libèrent toute une série de molécules dans l’air et autour d’elles. Après avoir reçu ces éléments chimiques, les plantes à proximité de la même espèce, ou même d’une espèce différente, deviennent moins vulnérables, en produisant par exemple des toxines ou d’autres substances qui les rendent difficiles à digérer. Ces changements ne se produisent en général pas de manière instantanée, mais les gênes concernés réagissent bien plus vite quand ils sont sollicités.
Il y existe aussi des preuves selon lesquelles les éléments chimiques libérés par les plantes en un lieu précis diffèrent légèrement de ceux relâchés ailleurs par la même espèce. Il semble dès lors que si les plantes parlent, elles ont même des langues et même des accents régionaux !
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Source : Les arbres se parlent-ils ?
La mutation du modèle barcelonais de ville créative : de22@ à Fab City
Dès la fin des années 1990, Barcelone s’interroge sur les mécanismes permettant la transformation d’une ville industrielle en une ville créative et adaptée aux exigences de la nouvelle économie. Comment créer un milieu attractif vis-à-vis des activités innovantes ? Quels sont les ingrédients à même de produire une atmosphère urbaine créative ? Ces questionnements vont inciter à l’écriture d’un plan métropolitain avant-gardiste car fondé sur une vision intégrée du développement économique et urbain.
L’enjeu : attirer les activités cognitives à forte valeur ajoutée, en lien avec les industries créatives, les technologies de l’information et de la communication (TIC) ou les biotechnologies.
Afin de légitimer ce positionnement, Barcelone invoque une longue tradition dans les domaines de l’imprimerie, de la publicité, de l’architecture ou du design, et survalorise un héritage culturel issu de personnalités comme Gaudi, Picasso, Joan Miró ou Salvador Dali.
En prélude au festival mondial “Big Data Week” (Londres), Vincent Blondel, recteur de l’UCL, interviendra au coeur du “Google de papier”, le Mundaneum.
ig data et vie privée
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En annonce du festival « Big Data Week » (Londres)
Grande conférence de Vincent Blondel, Recteur de l’UCL
Introduction par Monsieur Philippe Busquin, Ministre d’Etat et Commissaire européen chargé de la Recherche scientifique de 1999 à 2004L’Internet promeut nos libertés et est source de possibilités extraordinaires. En même temps, les technologies de l’information et de la communication créent des risques majeurs vis à vis de nos libertés et de la protection de notre vie privée.
La surveillance sous toutes ses formes est devenue commune et les grands acteurs de l’internet et les États ne s’en privent pas. Les révélations de Snowden ont ouvert bien des yeux. Les technologies qui permettent de nous espionner peuvent pourtant aussi servir à nous protéger. Mais où trouver l’équilibre ?
(Académie Royale de Belgique)
Le débat à l’issue de la conférence sera modéré par André Blavier (Agence du Numérique).
Vincent Blondel est recteur de l’Université catholique de Louvain depuis le 1er septembre 2014. Ses recherches sont à l’interface des mathématiques et des technologies de l’information. Il a obtenu un Master of Science à l’Imperial College à Londres et a réalisé des postdoctorats à Oxford, Stockholm et Paris. Il a été professeur invité au MIT, ainsi que Fulbright Scholar et a été invité à intervenir dans de nombreuses institutions, dont Stanford, Harvard, Princeton et Cambridge. Il a en outre collaboré à de nombreux projets transversaux à l’UCL.
Source : Big data et vie privée | Expositions
L’achat de mobilier et d’électro de seconde main a le vent en poupe. Le nombre d’appareils révisés vendus dans les ressourceries va galopant. Les petits électros cessent d’être délaissés.
L’achat en seconde main a le vent en poupe. Et ce tant pour le mobilier que pour les électros. A quelques jours du lancement de la Semaine européenne de la Réduction des déchets (du 19 au 27 novembre 2016), voilà qui fait du bien à la fois au portefeuille et à la nature.
Un kot à meubler, la quête d’une solution d’appoint lors d’une séparation ou encore des familles cherchant des alternatives durables préservant leur pouvoir d’achat, toutes les histoires de vie se croisent dans les ressourceries. Elles fleurissent en Wallonie et à Bruxelles et sont une trentaine à œuvrer dans le réemploi des encombrants. Mobilier, jouets, petits articles du quotidien, livres, l’ensemble de cette filière traite plus de 14.000 tonnes d’objets par an.
Connaître l’origine géographique et la durabilité de tous les produits achetés par les Wallons. Voilà l’idée d’étudiants de l’UCL qui souhaitent faciliter le choix des familles lors l’achat de produits qui ne nuisent plus à la biodiversité locale ou mondiale.
Des étudiants de l’UCL viennent d’être primés par la Région wallonne pour la réalisation d’un guide sur la consommation durable.
Le «Guide local du consommateur wallon heureux» vient de valoir à des étudiants de l’UCL le prix de la Région wallonne en consommation durable. Ce guide a été conçu par étudiants en Master Biologie des organismes et environnement. Il contient une quarantaine de pages et trace l’origine géographique et la durabilité de tous les produits achetés par les Wallons, de façon à faciliter pour les familles l’achat de produits qui ne nuisent plus à la biodiversité locale ou mondiale….
Source : Voici un guide pour consommer durable en Wallonie – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net
La région a adopté le système flamand des itinéraires balisés par des points nœuds en 2015. Et ce fut d’emblée un succès, notamment auprès des touristes flamands.
Dans un secteur touristique en berne en Hainaut – 9 % de fréquentation en moins en 2015 –, la Maison du tourisme de Wallonie picarde tire son épingle du jeu en affichant une hausse du taux d’hébergement – 220.000 nuitées hors camping – et un taux de fréquentation des attractions stable ou en hausse avec 2,5 millions de visiteurs au total. Certes, la Wallonie picarde a la chance de disposer sur son territoire d’un des blockbusters du tourisme en Belgique : Pairi Daiza a attiré, à lui seul, 1,8 des 2,5 millions de visiteurs dans la région. Mais le succès du parc animalier de Brugelette n’explique pas tout. En effet, la Maison du tourisme a fait un choix stratégique payant en misant sur sa nature riche, diversifiée et préservée. Ces dernières années, elle a ainsi balisé quelque 1.600 km d’itinéraires cyclables en adoptant le système des points nœuds qui a déjà fait ses preuves en Flandre. « Nous avons mis en place un réseau de 660 points nœuds qui traversent les 23 communes du territoire, deux parcs naturels et qui sont en liaison avec le maillage qui existe déjà en Flandre et dans le nord de la France, explique Nicolas Plouvier, directeur de la Maison du tourisme. C’est un système bien rodé qui se base sur un réseau de 120 opérateurs de tourisme partenaires qui signent une charte dans laquelle ils s’engagent à proposer un accueil particulier pour les vélos. Les retours sont très positifs tant de la part des utilisateurs que des opérateurs qui voient un réel impact sur leur fréquentation. »…..
Source : La nature, le pari gagnant en Wapi | Hainaut – lesoir.be
Dégager un revenu mensuel de 1500 euros en cultivant une parcelle en maraîchage un peu plus de 40 heures par semaine… En pleine crise agricole, vivre décemment grâce à une petite exploitation paraît improbable. Une étude de l’institut national de recherche agronomique (Inra) assure pourtant que c’est envisageable. L’étude s’appuie sur les données collectées pendant quatre ans à la ferme du Bec Hellouin, près de Rouen, en Normandie (lire notre reportage). Cette ferme pratique le maraîchage bio-intensif et la permaculture : pas de produits phytosanitaires (pesticides), pas d’engrais de synthèse, peu de mécanisation, une grande diversité de production (une soixantaine de légumes différents), une commercialisation en circuits courts directement aux consommateurs (paniers) ou pour des restaurants.
Source : Les micro-fermes bio seraient économiquement viables – Basta !