Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Levisys industrialise près de Troyes (Aube) le stockage d’élec­tricité par volant d’inertie. Ses systèmes à rotor emmagasinent l’énergie produite et la restituent pour réguler le réseau électrique, sans recourir à des batteries.

Le stockage de l’électricité peut-il se passer de batteries électrochimiques ? Alors que Total a racheté Saft, la start-up Levisys incarne une filière industrielle novatrice pour stocker l’énergie lorsqu’on en a moins besoin, et la restituer en cas de pic de consommation. Fondée par deux scientifiques, elle a conçu des volants d’inertie, principe connu de longue date, qu’elle a rénové pour fournir une alternative aux batteries traditionnelles.
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Source : Une société française innove dans le stockage de l’électricité sans batterie

C’est le problème des voitures électriques. Vous êtes en pleine campagne, au milieu des champs blé. Le compteur indique “Il vous reste 2% de batterie”. Là vous êtes mal. Cette voiture est incroyable car elle se recharge toute seule, grâce à des panneaux solaires intégrés dans la carrosserie, sur le toit. C’est une start-up allemande, Sono Motors, qui l’a inventée. Les panneaux rechargent la batterie. Du moins une partie seulement. Il faut quand même la brancher à une borne tous le séjours. Le soleil ne permet pas de la faire fonctionner entièrement, mais il peut faire rouler la voiture 30 kilomètres (30 kilomètres d’énergie complètement gratuite)….

Source : “Sion”, la voiture électrique qui se recharge toute seule avec le soleil

Court-Circuit offrira un nouveau concept dans la région.Nul n’est passé à côté, notre société vit un retour aux sources aux produits régionaux voire locaux, au respect de l’environnement,… Tout simplement aux bonnes choses. C’est dans cet esprit qu’ouvrira prochainement à Mouscron Court-Circuit dans la rue des Brasseurs.

Avec ce nom équivoque, ce sont un restaurant et une épicerie bio qui travailleront main dans la main. Côté restaurant, c’est Felix Leconte qui se lance après plusieurs années passées dans divers établissements de la région. Et pour ce qui est de l’épicerie, c’est Aude Yzebaert qui a décidé de se lancer dans une nouvelle aventure pour rejoindre ses valeurs et sa passion….

Source : Mouscron: du commerce à l’assiette, il n’y a qu’un pas – DH.be

Les agriculteurs wallons et les consommateurs n’ont pas tout à fait la même définition du concept de durabilité. Le groupe allemand Bayer qui affirme vouloir soutenir les agriculteurs en attirant l’attention du grand public sur leurs problèmes a mené une enquête en collaboration avec la Fédération wallonne de l’agriculture. Pour le géant du secteur agronomique – qui fusionne avec Monsanto, le spécialiste américain des OGM et des pesticides, pour 66 milliards de dollars -, la question de la durabilité s’entend en termes environnementaux, économiques et sociaux. Pour assurer la longévité, la viabilité économique s’avère cruciale….

Source : L’agriculture durable, une notion floue en Wallonie – La Libre.be

Nous produisons encore trop de déchets Chaque jour, d’énormes quantités de déchets sont générées : déchets d’emballages, déchets d’objets défectueux et irréparables, déchets alimentaires, déchets industriels, etc. En France, la production de déchets s’élève à 345 millions de tonnes par an, soit 5,3 tonnes rapporté à chaque Français….

Source : Tous mobilisés pour la Semaine Européenne de Réduction des Déchets ! | France Nature Environnement

À Caminando, la rentrée des classes a plus de saveur que dans les écoles conventionnelles. Située en pleine nature, dans le Diois (Drôme), cette école pas comme les autres enseigne aux enfants les mathématiques, le français, mais aussi le jardinage, l’échange et la communication….

.Source : Cette école a tout compris : elle place la nature au centre de l’enseignement | Daily Geek Show

 

La Fondation “Mons 2025“, nouveau nom de la Fondation “Mons 2015“, dont la mission est notamment de perpétuer la dynamique culturelle de la Capitale Européenne de la Culture en 2015, a annoncé mardi la première Biennale “Mons 2018“. Le projet se veut citoyen et sera financièrement alimenté, entre autres, par un solde de quelque 5,2 millions d’euros de Mons 2015.

La Capitale Européenne de la Culture “Mons 2015” se projette dans le futur avec le nouveau nom de sa Fondation, “Mons 2025“, dont les administrateurs ont annoncé mardi, avec les instances de l’opérateur culturel montois, “Le Manège“, le lancement de “Mons 2018“. Dans deux ans, en effet, aura lieu la première “Biennale“, futur grand rendez-vous culturel montois, de dimension internationale et qui perpétuera la dynamique de “Mons 2015“….

Source : Mons, Capitale Européenne de la Culture en 2015, annonce la première biennale “Mons 2018”

Le réchauffement climatique abîme les océans comme jamais, diffusant des maladies aux animaux comme aux êtres humains et menaçant la sécurité alimentaire partout dans le monde, met en garde un rapport scientifique publié lundi.

Source : Des océans “malades” du réchauffement, préviennent des scientifiques – Environnement – LeVif.be

Si le monde des startups vous intéresse, vous n’êtes pas sans connaitre le phénomène NEST’up, ce programme d’accélération propulsé par Creative Wallonia en 2012 et qui a déjà vu naître plusieurs startups à succès comme Do eat, SortList, Koalect, I Love Climbing ou encore le regretté Take Eat Easy. NEST’up à Charleroi Cette nouvelle édition du NEST’up s’installera dans les locaux […]

Source : NEST’up, le booster belge de startups innovantes débarque à Charleroi – Blog de Technofutur TIC

 

Enfiler des lunettes connectées, regarder ses cultures, et savoir en quelques secondes si elles sont malades, de quoi elles souffrent et quel soin leur apporter: l’agriculteur de demain sera-t-il un geek accro à internet?

Ce qui existe et ce qui existera demain

Ce n’est pas pour demain”, reconnaît Pascaline PIERSON, responsable de la “digiferme” installée par Arvalis-Institut du végétal à Saint-Hilaire-en-Wöevre (Meuse). “Mais sans doute pour après-demain”.

Sur cette ferme expérimentale, entourée d’ingénieurs et de techniciens, elle teste ce qui pourrait être l’agriculture de demain: ultra-connectée, moins pénible, mais aussi plus écologique. “Il y a trois niveaux de recherche”, explique Mme PIERSON: “tester l’existant, tester ce qui peut exister demain, et faire de la recherche et du développement”.

C’est via ce troisième axe que sont nées les lunettes connectées, qui permettent notamment de garder les mains libres en envoyant directement les données par commande vocale. La recherche porte aussi beaucoup sur les solutions de pâturages, la ferme comptant quelques 55 têtes de bétail.

Aujourd’hui, la hauteur de l’herbe, ça se mesure à la main”, explique Mme PIERSON. “Notre ambition, c’est de trouver le bon capteur – laser, infrarouge… – qui permette de mesurer”. Et d’imaginer un agriculteur qui attacherait l’outil à ses bottes et saurait, uniquement en se promenant dans ses prés, combien de temps il peut encore laisser ses vaches paître à tel ou tel endroit….

Source: Les fermes connectées, futur de l’agriculture?

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