Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Province, région et commune se sont mis d’accord pour proposer un balisage commun et cohérent du bois indivis d’Angre.

Plus facile à dire qu’à faire mais ils l’ont fait !  La Province de Hainaut, la Région Wallonne et la commune d’Honelles ont accordé leurs violons pour proposer un balisage commun et publier une carte des promenades possibles dans le bois d’Angre.  Tout bénéfice pour le promeneur.

Source : TéléMB : Angre : le bois est signalé ! – Les reportages

ENVIRONNEMENT. La start-up francilienne Echy a mis au point un dispositif permettant d’éclairer des espaces sombres ou sans fenêtre grâce à la lumière naturelle. Et ce, sans consommer d’énergie !

Peut-être avez-vous déjà travaillé au fond d’un open-space mal éclairé ou pire dans une pièce sans fenêtre… Ces dernières années, la flambée des prix de l’immobilier et les nouveaux modes d’aménagement des espaces de travail ont détérioré le confort des salariés.

Source : Echy : éclairer sans consommer d’énergie, c’est possible

Les pesticides sont interdits depuis le mois de janvier dans les jardins publics. Pour les particuliers, ce sera en 2019.

Comment se passer du Roundup et d’autres tue-limaces chimiques ? La loi va interdire tout ce qui est chimique. C’est déjà le cas depuis trois mois pour les collectivités locales, et ce sera bientôt à le tour des particuliers (en 2019). Les rayons jardinerie dans les magasins ont changé de tête ces derniers temps. Pour bien préparer son jardin, il faut faire analyser sa terre. Des petits kits vous permettent d’envoyer un échantillon à un laboratoire qui va vous dire en trois semaines si vous avez trop ou pas assez de vers de terre, de micro-faune, de minéraux. ..

Source : Pesticides : comment jardiner sans produits chimiques ?

Pratique et bien pensée, la plateforme chezvosproducteurs.fr facilite la vente directe, en créant le lien entre producteurs et consommateurs. Antoine Pineau a déjà une liste d’expériences hallucinante alors qu’il n’a pas atteint la trentaine. Durant ses études à Angers (master Production et technologies végétales), il a aussi développé pendant plusieurs mois une ferme à vocation environnementale au Bénin, et peaufiné son anglais en Irlande. « J’ai fini mon master avec un stage chez InVivo AgroSolutions. Je cherchais les leviers d’actions pour améliorer les pratiques agricoles des fermes Dephy. Puis pendant 6 mois, j’ai étudié les moyens de protection des plantes au sein du Pool Productions Légumières. Enfin, j’ai intégré pendant 18 mois le réseau B-Motived pour tester l’intérêt des produits de biocontrôle en grandes cultures. J’ai terminé cette mission en septembre dernier et je suis parti un mois en Inde pour aider l’ONG Annadana Soil and Seed Savers. » ChezVosProducteurs, plateforme présentée comme un annuaire, qui évoluera vers la vente en ligne Dès son retour, il lance le site internet chezvosproducteurs.fr. Il s’agit d’une plateforme qui met en relation les producteurs et les consommateurs. Aujourd’hui présentée comme un annuaire des producteurs fermiers, elle évoluera très vite vers la vente en ligne. « Je ne suis pas du tout informaticien, j’ai tout appris en autodidacte. Pour moi, ce projet est un acte citoyen. Je suis fils d’éleveur et j’ai grandi dans le Maine-et-Loire. Mes parents avaient des difficultés à vendre leurs produits localement et je voulais concevoir un outil pour rapprocher consommateurs et producteurs. Demain, les circuits courts seront essentiels pour valoriser correctement les produits fermiers de qualité, de saison, avec une traçabilité exemplaire », estime-t-il. 140 membres inscrits en deux mois Enregistrant pour le moment 100 à 150 visites par jour (consommateurs mais aussi restaurateurs), le site internet « chez vos producteurs » réunit déjà 140 producteurs alors que la communication n’a débuté qu’en janvier dernier. Le secret ? Un démarchage efficace pendant le salon de l’agriculture, un bouche à oreille viral, et une communication active sur les réseaux sociaux. « D’ici la fin de l’année, j’espère avoir inscrit 600 producteurs. Le site a déjà une bonne diversité de produits mais pour être encore plus proche des consommateurs, il faudrait encore densifier le nombre d’éleveurs, de maraîchers, de produits typiques régionaux…», projette Antoine Pineau. Pour s’inscrire, les agriculteurs signent une charte éthique qui exclut les produits issus de l’agriculture intensive ou transformés loin des lieux de production. La charte incite aussi à une communication claire sur les modes de production. De nombreux services Il suffit d’une dizaines de minutes pour créer sa page sur le site, sachant qu’un module d’assistance est disponible en permanence au bas de la page. « J’ai envoyé un questionnaire de satisfaction aux 100 premiers membres et tous s’estimaient satisfaits du design du site. Il est lisible pour les clients, simple, ergonomique et facile à prendre en main », se réjouit Antoine Pineau. Les consommateurs peuvent notamment trouver en un clic des produits fermiers assez rares sur le marché : fleur de sel de Vendée, moutarde au piment d’Espelette, viande de cabri ou de vaches maraîchines, glaces fermières, sève de bouleau, safran… Il y a même une dizaine de producteurs de fleurs ! Sur sa page personnelle, on peut décrire la ferme en quelques mots et quelques photos, afficher ses coordonnées, ses réseaux sociaux, ses horaires d’ouverture et ses prix. Il est possible ensuite d’ajouter des actualités pour maintenir le lien avec leurs internautes. Une carte interactive permet de localiser précisément l’itinéraire jusqu’à la ferme et le client peut lister tous les producteurs proches de son domicile. On peut aussi retrouver les producteurs par thématique, à l’aide de mots clés doublés d’items : agriculture biologique, vente à la ferme, vente par livraison…  Pour aller plus loin dans l’interaction, le producteur dispose d’un calendrier pour indiquer ses prochaines portes ouvertes. Le consommateur peut partager les pages sur les réseaux sociaux et laisser un avis, à la façon de TripAdvisor.  « Au final, ces pages personnelles sur le site font office de véritable site internet », conclut le concepteur de Chez vos producteurs. Enfin, un blog animé par Antoine Pineau permettra de générer du trafic sur le site internet. A terme, il pourrait devenir un forum d’échange autour des circuit courts. Des retombées commerciales directes Déjà 20 % des producteurs inscrits ont reçu une commande via le site, ou ont été contactés par des consommateurs. D’ici deux mois, il sera possible de vendre ses produits fermiers en ligne, ce que souhaiteraient 65 % des producteurs inscrits. « C’était l’idée de départ. Je ne connaissais aucun site qui recensait des producteurs au niveau national et permettait d’acheter des produits. Ce sera désormais possible. » Concrètement, les producteurs auront accès au back-office du site internet pour traiter les commandes et les produits seraient acheminés par Chrono Fresh, le nouveau service de la poste pour l’acheminement des produits frais. « Les clients recevront les produits dès le lendemain de la commande. Bien sûr, cela inclut des frais de livraison supplémentaires et le service ne sera pas gratuit », prévient Antoine Pineau qui réfléchit encore au mode de rétribution du site : par abonnement ou commission sur les ventes. Cependant, dans tous les cas, les producteurs pourront toujours éditer leur page gratuitement. Après avoir investi 1500 euros dans le lancement du site internet (hébergement, développement sur les réseaux sociaux…), Antoine Pineau songe au crowdfunding pour assurer l’avenir du site.   En savoir plus : http://www.chezvosproducteurs.fr (site internet chezvosproducteurs) ; https://www.facebook.com/chezvosproducteurs (page Facebook) ; @vos_producteurs (compte Twitter). Ci-dessous, copie d’écran de la page d’accueil du site internet Chez Vos Producteurs.  Vente Directe, Produits Fermiers , Communication, Vente En Ligne, Commercialisation, Circuit Court Source : ChezVosProducteurs crée le lien entre consommateurs et producteurs – Wikiagri.fr

Le déploiement d’une « quatrième révolution industrielle verte » permettrait la relance durable de l’économie mondiale. Par Patrick Criqui, Directeur de recherche au CNRS, laboratoire GAEL axe Économie du développement durable et de l’énergie (EDDEN), Université de Grenoble Alpes

La première révolution industrielle, au XIXe siècle, aura été celle de la vapeur, du charbon et des chemins de fer ; la deuxième, un siècle plus tard, celle de l’électricité, du pétrole et de l’automobile. La troisième, celle des technologies de l’information et de la communication (TIC), n’aura pas entraîné de transition énergétique, renforçant même les industries en place par des progrès technologiques (notamment pour l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels). Quarante ans après le premier choc pétrolier, les énergies fossiles représentent toujours plus de 80 % de l’approvisionnement énergétique mondial….

Source : La quatrième révolution industrielle sera verte ou ne sera pas !

 

L’homogénéisation des forêts diminue la diversité de leurs services écosystémiques.

L’homogénéisation des écosystèmes forestiers et le déclin de la diversité des arbres réduisent la capacité des forêts à fournir des services écosystémiques essentiels tels que la production de bois ou le stockage de carbone. Un collectif de chercheurs européens impliquant l’Inra et le CNRS (1) vient de publier dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) ces résultats qui s’appuient sur une approche de modélisation comparative des forêts de six pays européens…

source : http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=14984

S’ils emportent leur repas, ce n’est pas tant pour le manger dans la rue ou au bureau, qu’à la maison.

Oserait-on dire que les Belges aiment manger chez eux mais… pas trop cuisiner ? Selon une étude réalisée par la société française TNS Sofres pour l’association belge Bemora ((Belgian modern restaurants association), d’entre tous les Européens, ce sont ceux qui emportent le plus leur repas tout fait. Quasiment 6 visites sur 10 (57 %) dans un endroit où l’on peut manger de manière informelle (boulangeries, sandwicheries, restaurants de burgers ou de pizzas, kebab, brasseries, cafés, friteries, supermarchés et magasins de proximité) débouchent sur une vente à emporter

Source : Les Belges, champions du “take away” – La Libre.be

NCP WallonieLe NCP Wallonie organise, la matinée du 26 avril, une séance d’information sur le contenu des appels 2017 du programme Horizon 2020.

Elle s’articulera autour de deux moments-clés :

  • Une séance plénière qui consistera en une présentation générale des aspects légaux, financiers et transversaux, ainsi que du support fourni par le NCP Wallonie.
  • Des ateliers au cours desquels vous découvrirez, par thématique, les appels des Work Programmes 2017.

La séance d’information se tiendra à l’Aula Magna à Louvain-la-Neuve. Le NCP Wallonie vous offre le lunch à midi.

Source : Horizon 2020 : Séance d’info sur les appels 2017

Le paquet économie circulaire va démarrer avec les déchets comme les farines animales et autres boues d’épuration, qui pourraient remplacer un tiers du phosphate importé par l’UE. Un article de notre partenaire le JDLE.

On pourra bientôt épandre dans les champs, aux mêmes conditions que les engrais inorganiques traditionnels, des boues d’épuration, des déchets biodégradables, des farines de viande et d’os ou du fumier labellisés CE. Ces biodéchets font l’objet d’un règlement européen, qui vise à encourager l’utilisation des engrais organiques et à base de déchets. Ce réemploi de matières premières actuellement éliminées en tant que déchets est l’un des principes essentiels du paquet Economie circulaire adopté en décembre 2015 par la Commission. A terme, l’ambition est de remplacer jusqu’à 30% des engrais inorganiques par des biodéchets.

Source : L’UE veut favoriser les engrais organiques – EurActiv.fr

Marre des légumes chers et insipides ? Alors ce mouvement collectif et solidaire va vous emballer !

Cet article s’adresse à ceux qui trouvent que les fruits et légumes de nos supermarchés sont de plus en plus chers… et de moins en moins bons ! Vous en faites partie ? Alors cette nouvelle va vous plaire : sachez que, grâce à un phénomène en plein boom, vous pourriez bientôt trouver, au coin de votre rue, des fruits et des légumes de première qualité… et pour pas un rond !

Ce phénomène qui déferle sur la France, c’est celui des Incroyables comestibles. Un mouvement spontané et solidaire né il y a huit ans en Angleterre. Retour sur les premices d’une révolution urbaine !…

Source : Des potagers urbains en libre service ? Vive les “Incroyables comestibles” !

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