Abeilles, coccinelles, bourdons… de nombreux insectes s’avèrent essentiels à la vie du jardin. Et si on leur donnait un petit coup de pouce?
Lorsqu’il s’agit de mentionner un insecte utile au jardin, l’abeille vient systématiquement en tête de liste. Louée pour ses vertus pollinisatrices, elle tend parfois à occulter le rôle fondamental de ses voisins. Beaucoup de familles d’insectes contribuent en effet au développement de nos espaces verts.
L’une de leurs missions? Combattre les phytophages. «Il s’agit des scarabées ou encore des pucerons, qui sont des indésirables. Ils vont manger les plantes, et ponctionner leur sève», indique François Verheggen, bio-ingénieur et chef de travaux à l’ULg (Gembloux Agro-Bio Tech). Ceux-ci n’ont alors d’autre fonction que de servir de nourriture à leurs prédateurs, les insectivores.
Véritables alliés du jardinier, les insectivores, comme la coccinelle et la guêpe, dévorent les indésirables. En évitant ainsi les dégâts dans le potager, de même que sur les plantes ornementales. À côté du chasseur de phytophages, le pollinisateur – soit le bourdon, l’abeille ou le papillon – assurera, quant à lui, la reproduction des fleurs, pour un jardin aux tons colorés….
Source : Insectes utiles : les alliés du jardinier – L’avenir
Une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) remet en cause le bénéfice économique d’une agriculture fondée sur la chimie.
Hasard du calendrier, le lancement de la semaine mondiale des alternatives aux pesticides, organisée du 20 au 30 mars, coïncide cette année avec la publication d’une vaste étude sur les « coûts cachés » de l’utilisation de ces substances. Ce travail de longue haleine, entrepris par deux chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) et publié dans la dernière édition de Sustainable Agriculture Reviews, est le premier à colliger l’ensemble des connaissances disponibles sur ce que les économistes appellent les « externalités négatives » liées à l’utilisation des produits phytosanitaires. Ce fardeau économique, estiment les chercheurs, peut dans certains cas excéderlargement les bénéfices offerts par les herbicides, fongicides et autres insecticides.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/03/19/et-si-les-pesticides-coutaient-plus-qu-ils-ne-rapportent_4886135_3244.html#sIPzorgBWj7m43dg.99
Pour qu’une plante sorte de terre et développe ses feuilles et ses graines, elle a besoin de nourriture : pas moins de 13 éléments nutritifs, dont trois essentiels : l’azote, le phosphore et le potassium. Pourtant, l’un d’eux pourrait bien disparaître dans les prochaines décennies. État des lieux.
Source : La fin du phosphore et la prévisible crise agricole | ICI.Radio-Canada.ca
Ce sont juste des mats sans rien qui tourne au sommet. Ces appareils produisent de l’électricité sans bruit.
Ce sont des mâts blancs pointés vers le ciel. Ultra-légers, ils sont composé en fibre de carbone. Quand le vent souffle, ça les fait vibrer. C’est l’énergie produite par les vibrations qui est transformée en électricité. L’éolienne se met à balancer très vite de droite à gauche, ce qui permet d’actionner une petite turbine. Chaque mât produit 30% d’énergie en moins qu’une éolienne classique avec des pales, mais l’installation est deux fois moins chère.
Son gros avantage : l’éolienne ne fait quasiment pas de bruit. Comme il n’y a pas de pale qui tourne au sommet, on peut en installer beaucoup plus sur une même surface. Enfin ces engins sont sans danger pour les oiseaux : pas de risque de terminer en steak haché. …
Source : VIDÉO – Des éoliennes sans pales testées en Espagne
Selon l’Irena, multiplier par deux la part des filières vertes éviterait aussi quatre millions de morts par an dues la pollution de l’air.
Au lendemain de la conférence sur le climat de Paris (COP21), l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (Irena) avait publié, en janvier, un rapport en forme d’appel à la mobilisation générale. Il établissait qu’à l’échelle de la planète le doublement de la part des filières vertes dans le bouquet énergétique, d’ici à 2030, aurait pour effet une hausse du PIB mondial comprise entre 0,6 % et 1,1 %, soit un gain de croissance de 700 à 1 300 milliards de dollars (de 630 à 1 170 miliards d’euros) par an. Cela, tout en générant plus de 24 millions d’emplois.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2016/03/17/doubler-les-energies-renouvelables-genererait-des-milliards-d-euros-d-economies_4884232_1653054.html#EX5tikgxFkQZUiJp.99
Source : Doubler les énergies renouvelables générerait des milliards d’euros d’économies
Le secteur agroalimentaire, c’est environ 800 entreprises en Hainaut. La concurrence est rude. Il faut sans cesse inventer de nouveaux produits et trouver de nouveaux débouchés. En Belgique, le salon #Tavola à #Kortrijk est assurément « the place to be » pour développer la clientèle. Cette année, #Hainaut #Développement y a emmené cinq producteurs hainuyers. #province #agroalimentaire #économie #courtai #alimentation #entreprise
Comment décrire cet ovni du net ? A la fois manifeste, annuaire, cartographie, lieu de mise en relation, de débat et de réflexion, le site internet utopies-concretes.org est un espace de liberté en ligne autogéré. Grâce aux outils de l’immatériel internet, les inventeurs de cette plate-forme cherchent à donner corps au phénomène des alternatives à travers quatre formats. D’abord des textes « pour composer d’autres manières de voir le monde ». Ensuite une carte, qui recense plus de 3.000 lieux en France et (…)
Source : La carte des utopies concrètes pour que les alternatives se rencontrent
TéléMB : Mons-Borinage – Un tas d’activités pour mieux connaître l’eau de notre région ! – Les reportages
On vous emmène à la découverte de l’eau. L’eau de notre région! Ce week-end débutent en effet les journées wallonnes de l’eau. 3 semaines durant lesquelles de nombreuses activités sont organisées. Pour mieux découvrir nos cours d’eau, mais pas seulement.
Yves CITTON est professeur de littérature française à l’université de Grenoble-Alpes, membre UNE CONFERENCE “POINT CULTURE” AU MUNDANEUMLe numérique, l’Internet des objets ou encore les big data font surgir une économie de l’abondance, qui se traduit aussi dans la sollicitation continuelle de notre attention. Le temps qu’on leur consacre est un enjeu majeur de firmes comme Google ou Facebook. Il est donc urgent de repenser l’attention en termes d’une écologie où empathie, altruisme et environnement seraient les maîtres mots.
“Il y a plusieurs voies d’accès pour mieux comprendre les discours sur ce que j’appelle le “dérèglement attentionnel”, qui me semble aussi important que le dérèglement climatique (qui en est d’ailleurs la conséquence)”
Yves Citton, in Les Inrocks
voici l’adresse de la Note de Tendance sur l’ubérisation de l’économie par ARADEL
http://www.aradel.asso.fr/telechargement/-NOTE%20DE%20NOTE-DE-TENDANCE-2016-UBERISATION-ECONOMIE.pdf