La proximité avec certains problèmes de pollution, de corruption ou de gouvernance rend les investisseurs de pays émergents plus sensibles à ces problématiques.
La prise en compte de critères ESG (environnementaux, sociaux et de bonne gestion) dans le choix d’un investissement reste largement secondaire et les investisseurs belges y sont moins sensibles en Flandre qu’en Wallonie et à Bruxelles. C’est ce qui ressort d’une étude dont le gestionnaire d’actifs britannique Schroders vient de dévoiler les résultats.
Cette enquête sur les pratiques liées à l’investissement solidaire et responsable (ISR) chez les clients privés a été menée au niveau mondial. Ce sont 20.000 investisseurs privés qui ont été interrogés, dont environ 300 sur le marché belge….
Source : Les Belges peu sensibles aux critères de l’investissement durable | L’Echo